Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
3,5
Publiée le 25 octobre 2015
un sujet intéressant, traité partiellement. un casting de qualité. par contre, je reprocherai par moment le manque de crédibilité du scénario, mais au delà de ça, je recommande ce film, qui assure 2h de divertissement.
J'ai vu ce film sans avoir vu la bande annonce et sans connaître le sujet. Ne sachant pas à quoi m'attendre, j'ai été d'autant plus surprise par la tournure que ce film prenait. Mon passage préféré, très simple, mais efficace: lorsqu'ils rentrent de canyoning... La jeune fille qui observe cet homme dans cette voiture... Même si ça m'avait vaguement traversé l'esprit, je ne m'y attendais pas... A cet instant, le film est en place...! Au final, j'ai aimé ce film qui traite d'un sujet délicat avec un Vincent Cassel, il faut bien le dire, plein de charme, pris dans cette tourmente un peu malgré lui...
Très bon acteurs féminins et masculins!! L'ensemble des relations entres les personnages est très bien abordé, tant le coté amitié que jeux de séduction!!! On passe un très bon moment, le réalisateur dose bien les séquences émotions et séductions, ce qui en fait un film sans prétention bien réalisé! Petit bémol, la fin aurait pu être pu mieux traitée!!!
Je ne comprends pas certains ici qui écrivent que cette version est différente de l'originale, c'est exactement la même mais avec d'autres acteurs. L'évolution de l'histoire est la même seuls le lieu est différent et quelques détails sans importance. Et justement, ce que je reprochais au premier film se reproduit ici aussi c'est à dire une fin abrupte, un peu en queue de poisson, pas exploitée. Sinon, bons acteurs, des scènes succulentes. On passe un bon moment.
Antoine et Laurent (Cluzet/Cassel) deux amis quadras accompagnés de leurs filles respectives (Alice Isaaz/Lola le lann) se retrouvent en Corse dans la maison familiale de l'un (Cluzet).
Tiraillés entre leur devoir d'autorité et la volonté de ne pas être trop stricts, les deux compères ménagent comme ils peuvent la chèvre et le chou sans vraiment réaliser que les deux jeunes filles ne sont plus vraiment les bébés d'antan, l'une (Le lann) s'étant entiché du père de l'autre (Cassel) qu'elle finira par corrompre dans un moment d'égarement (sur fond de cocktail fatal alcool/frustration sexuelle)...
Construit sur la double problématique âge/amitié, le film de Richet multiplie les pistes de réflexion sur le coté morale d'une relation intergénérationnelle entre un homme mûr et une nymphette délurée qui s'imagine éprise du meilleur ami de son père (lui même en crise dans son couple avec la mère de sa fille) quand tout concours à traduire le mal être d'une gamine tiraillée entre son besoin d'émancipation (l'exhibition de ses charmes pour exister socialement) et le coté sécurisant de rester la fifille à papa (le personnage allant dans le lit de l'un ou de l'autre au gré de l'émotion du moment) dans le plus classique complexe d'Oedipe qui soit
A cela s'ajoute un regard non sans pertinence d'une génération de papas cools, désireux de s'affranchir des traditions tout en en portant la nostalgie (Cluzet), dont le laxisme en matière d'éducation se manifeste à la fois dans le langage et dans les tenues hypers sexualisées des deux ados (qu'on s'attendrait presque à voir jouer à touche pipi tant elles frisent l'indécence!) se pensant femmes, mais à des années lumières d'en saisir les réelles responsabilités (peu aidées il faut dire par des mères elles même démissionnaires
Evocation subtile de tout ces manquements qui transforment le regard bienveillant en regard concupiscent (le sein dépassant du maillot de bain) produit d'une société de l'inversion des valeurs, des Lolitas perverses aux papas poules devenus papa gâteaux qu'elles manipulent par le bout du manche à un âge où elles n'ont pas encore le permis de conduire, que le progressisme à tout crin interdit de contester sous peine de se voir relégué au statut de vieux réactionnaire.
Alors quoi, mission accomplie me direz vous? Hélas non comme le suggère les dernières secondes d'un film qui aurait tant gagné à ne pas trahir ses analyses, en suggérant sournoisement la possibilité d'une idylle assumée entre un Cassel repentant (d'avoir blessé son ami, pas d'avoir culbuté une gamine) et une adolescente puérile comme pas possible (l'antithèse de la femme avec un grand F) que ne renierait pas Nabokov, le tout sous le regard complice d'un Cluzet s'imaginant noble et courageux d'accepter l'immoralité sous son toit, avec sait on jamais, la possibilité d'une partie à quatre avec la fille de l'autre (dans l'esprit sordide et pervers de Perfect Mothers!) pour un final confondant d'ignominie pour quiconque à un niveau de réflexion un peu plus élevé que le niveau de la braguette!
Le genre de réalisateur à qui je ne confierais pas mes gosses!
L'histoire aurait pu être bizarre voir malsaine, mais le sujet est traité sur le ton de l'humour et c'est réussi. Tout le film repose sur cette relation entre Vincent Cassel, qui est excellent, il ne se prend pas au sérieux, c'est amusant de le voir complètement dépassé par la situation alors qu'il aurait pu dire non, et Lola Le Lann qui s'en sort aussi bien dans son rôle de midinette qui rend fou le meilleur ami de son père. Les deux autres ne sont pas en reste, François Cluzet dans le rôle du papa gâteau limite aveugle qui devient hystérique est très bon et Alice Isaaz fait ce qu'elle peut dans un rôle qui ne l'a met pas vraiment en valeur. Je n'ai pas vu l'original, mais ce remake est très bien, le réalisateur joue beaucoup sur le comique de situation en accentuant les ambiguïtés et les non-dits ce qui créé des situations amusantes et cocasses. Le film est réussi tant que tout cela dure ce qui n'est plus le cas dans les 20/30 dernières minutes ce qui baisse le niveau du film, mais dans l'ensemble, c'est un film très sympa.
Assez éloigné de la qualité du film des années 70, ce film n'en n'est qu'une pâle copie et a un air de déjà vu. Ce thème est trop souvent traité au cinéma et donc devient barbant.
Un bon film transgressif avec deux jeunes actrices et deux grands acteurs. Les quiproquos sont très marrants. Un bon remake du film de 1977 de Claude Berri.
Ce remake d'un film de Claude Berri dont je n'ai aucun souvenir aurait du rester pas make du tout. Très très bien joué par Vincent Cassel et François Cluzet qui arrivent à faire croire à l'impossible, c'est l'histoire glauque d'une gamine de 15 ans, qu'on a vieillie pour la circonstance, et qui séduit presque de force le meilleur ami de son papa, Vincent Cassel, très séduisant, et très enquiquiné par celle qui le poursuit jusque dans son lit. En vacances dans la maison de Cluzet, C'est le bal des clichés et des mensonges. Elle est enquiquinante, la petite. Oh, elle est enquiquinante spoiler: ! Cassel, évidemment, n'avoue jamais (il a bien raison), et le pauvre Cluzet gobe tout. Ca a fait rire des gens dans la salle. Moi ça m'a barbée du début à la fin.
J'avais peur que tout soit dans la bande-annonce, mais en fait, pas du tout. j'ai été agréablement surprise par ce film, autant par la qualité de jeu des acteurs (y compris les jeunes actrices), que par les dialogues. Vincent Cassel et François Cluzet sont convaincants, et ce film dégage une grande sensualité, sans tomber dans le "graveleux". Le sujet était pourtant assez évocateur, un quadra qui se laisse, dans un moment d'égarement, attirer dans les filets de la fille de son meilleur ami. Le sujet est traité avec habileté. J'ai franchement passé un excellent moment.
Il était vraiment inutile de faire un remake de ce film qui déjà à l'époque était lourd, fade, plat, long.... ça frôle la pédophilie ! histoire d'une gamine qui ne sait pas quoi faire pour se rendre intéressante et un homme de 40 ans qui regrette d'avoir cédé. Cela ne s'appelle pas le démon de midi, non le démon de midi, c'est plutôt un homme dans la quarantaine qui a une histoire avec une fille de 25, 28 ans et pas avec une adolescente qui suce encore son pouce ! désolé, mais ce film est une honte ! à l'heure ou tant de crime pédophile sont commis, c'est vraiment choquant.....vincent cassel n'est pas du tout crédible quant à la gamine ont lui mettrait bien 2 paires de claques tellement elle est agaçante. le film devrait s'appeler moment de déchéance mais certainement pas un moment d'égarement ! ce film est un encouragement à la pédophilie c'est tout, car le fond de l'histoire c'est bien le complexe d'oedipe.
Le film français de l'année. Excellent Vincent Cassel, A.Isaaz toujours à son top niveau, et superbe Lea Lelann. Scénario simple mais très bien exploité, et paysages superbes.