AlloCiné
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Votre avis sur Logan ?
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Le premier "X-Men" est pour moi le meilleur film de super-héros et ça fait du bien de voir quelque chose de sérieux et intéressant qui ne dénature pas ce qui a été fait avant. "Logan" est un film crépusculaire et très violent qui va au bout de son propos, il manque toutefois à ce road movie sanglant un petit quelque chose d'originalité pour en faire un must.
«
spoiler:
Vas-y... Ne sois pas ce qu'ils ont fait de toi.
»
Coécrit et réalisé par James Mangold, d'après son histoire, "Logan", troisième et dernier volet de la trilogie Wolverine et dixième épisode de l'univers cinématographique des X-Men, est conçu comme un western crépusculaire qui pourrait tout aussi bien être un film indépendant.
James Mangold excelle tant dans les scènes intimistes que dans les scènes d'action, leur conférant une puissance visuelle que seuls les plus grands peuvent offrir.
Finement conçu, "Logan" bénéficie des performances exceptionnelles de Hugh Jackman et Patrick Stewart, qui donnent aux derniers jours de leurs personnages emblématiques une dimension et une profondeur qui résonnent dans l'éternité. Ainsi que de la jeune Dafne Keen, qui joue la spoiler: première jeune mutante que Charles/Professeur X et Logan/Wolverine rencontrent au cours du dernier quart de siècle
, avec la même passion et la même compétence que ses illustres aînés.
La photographie de John Mathieson, le montage de Michael McCusker et Dirk Westervelt, ainsi que la bande originale de Marco Beltrami complètent cette œuvre majeure, qui est, à mon humble avis, le meilleur film X-Men à ce jour (je n'ai pas encore vu Deadpool & Wolverine).
4.9/5
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Coécrit et réalisé par James Mangold, d'après son histoire, "Logan", troisième et dernier volet de la trilogie Wolverine et dixième épisode de l'univers cinématographique des X-Men, est conçu comme un western crépusculaire qui pourrait tout aussi bien être un film indépendant.
James Mangold excelle tant dans les scènes intimistes que dans les scènes d'action, leur conférant une puissance visuelle que seuls les plus grands peuvent offrir.
Finement conçu, "Logan" bénéficie des performances exceptionnelles de Hugh Jackman et Patrick Stewart, qui donnent aux derniers jours de leurs personnages emblématiques une dimension et une profondeur qui résonnent dans l'éternité. Ainsi que de la jeune Dafne Keen, qui joue la spoiler: première jeune mutante que Charles/Professeur X et Logan/Wolverine rencontrent au cours du dernier quart de siècle
, avec la même passion et la même compétence que ses illustres aînés.
La photographie de John Mathieson, le montage de Michael McCusker et Dirk Westervelt, ainsi que la bande originale de Marco Beltrami complètent cette œuvre majeure, qui est, à mon humble avis, le meilleur film X-Men à ce jour (je n'ai pas encore vu Deadpool & Wolverine).
4.9/5
Si il y avait moins de 0 étoiles, je mettrais, tout simplement une honte ce film, pas techniquement mais les idées sont désastreuses, et je lis du comics depuis 40 ans.
Pourtant habituellement bon client, là je trouve qu'on est vraiment dans la surenchère, c'est de la violence pour de la violence sans queue ni tête.
spoiler: Maintenant venant en au film en lui même,le problème viens avant tout de x-23, malgré le charisme évident de la demoiselle, ben elle ne fait que crier toutes les 2 min et c'est vite insupportable, et les fameux reavers, une des meilleurs team jamais vu dans un comics, des chasseurs de mutants ayant chacun des aptitudes spécifiques, playboy peux pirater les cerveaux, lady deathstrike peux tout couper avec ses ongles, brisos à un châssis de char à la place des jambes, et le chef de cette joyeuse troupe, l'antagoniste principal du film, Donald Pierce, ancien membre du club et damnés, cyborg et ingénieur. C'est quoi cette version wish, le mec à une minable prothèse à la main et c'est tout, aucun charisme, aucune menace, pour à la fin nous ressortir x-24.
.
J'ai passé un bien meilleur moment devant venom c'est dire.
Pourtant habituellement bon client, là je trouve qu'on est vraiment dans la surenchère, c'est de la violence pour de la violence sans queue ni tête.
spoiler: Maintenant venant en au film en lui même,le problème viens avant tout de x-23, malgré le charisme évident de la demoiselle, ben elle ne fait que crier toutes les 2 min et c'est vite insupportable, et les fameux reavers, une des meilleurs team jamais vu dans un comics, des chasseurs de mutants ayant chacun des aptitudes spécifiques, playboy peux pirater les cerveaux, lady deathstrike peux tout couper avec ses ongles, brisos à un châssis de char à la place des jambes, et le chef de cette joyeuse troupe, l'antagoniste principal du film, Donald Pierce, ancien membre du club et damnés, cyborg et ingénieur. C'est quoi cette version wish, le mec à une minable prothèse à la main et c'est tout, aucun charisme, aucune menace, pour à la fin nous ressortir x-24.
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J'ai passé un bien meilleur moment devant venom c'est dire.
RealPrime
Un adieu, une ultime aventure, un récit de super-héros produit par la Fox mais scénarisé et mise en boite à échelle humaine, tel un réel récit d'auteur. Un adieu sanglant puisqu'il s'agit d'un des rares films Marvel -12 avec un sacré respect de la signalétique. Qualité visuelle démontante, fluidité des combats hypante, regards perçant et destructeur, rarement un film X-Men aura si bien montrer les crocs et la violence jusque là gentillette. Un récit d'autant plus frappant qu'il est le tout premier Marvel à avoir été sélectionné à un festival international, La Berlinade de 2017. Cela pourra rappeler "Joker" qui, chez le concurrent DC, sera sélectionné et projeté en première mondiale à La Mostra Vénitienne de 2019.
spoiler:
Véritable récit intimiste donc, il est le premier à montrer, psychologiquement, l'après époque des mutants, la traque de es derniers par des milices armées, le professeur Xavier (Patrick Stewart) en tourmente cérébrale et offrant des scènes comico-dramatique comme jamais auparavant. Logan (Hugh Jackman) en nouvel homme pourtant tourmenter par d'un côté, son mentor en perte de vie, de l'autre, leur propre survie à l'aube d'une arrivée pour le moins déconcertante. Dafne Keen (première fois à l'écran) percute par son charisme explosif, regard sincère et la découverte d'un monde lui étant totalement nouveau. Le trio puis duo qu'elle forme avec nos principaux mutants fait mouche mais est pourtant très percutant. Quant aux 2 scènes de paralysie totale, une maîtrise ultime du jeu, visuel simple mais surpuissant, son parfait, stress décupler et résultat d'acteur complet. Le final consacré de nouveau au duel des Wolverines fut aussi sanglant que déboitant, une perfection visuelle et une performance d'acteur totale
. Un adieu qui n'aura que peu souffert des longueurs d'auteur, mais à vrai dire, pour un adieu, on n'aurait pas pu s'attendre à autre chose qu'une sorte de nostalgie programmée et d'ultimes combats ultra badas. En conclusion, cette affiche n'est pas prête de vieillir.
. Un adieu qui n'aura que peu souffert des longueurs d'auteur, mais à vrai dire, pour un adieu, on n'aurait pas pu s'attendre à autre chose qu'une sorte de nostalgie programmée et d'ultimes combats ultra badas. En conclusion, cette affiche n'est pas prête de vieillir.
Comment conclure en beauté, l'histoire de Wolverine ? Avec ce film qu'est "Logan ! Changement radicale, de vision, de réalisation, de prouesse etc... Place à un Thriller/Drame pouvant ressembler à des films d'auteurs. Prise de risque payant, qui donne un des meilleurs films de l'année 2017 mais aussi un des meilleurs films de super-héros. Au delà de ça, c'est un film qui se sort du lot par son côté "humain". Accompagnés par des acteurs géniaux, "Logan" est une conclusion qu'on aimerait avoir dans toute saga existante : touchante.
J'avais vu ce film à sa sortie il y a maintenant 7 ans wow , j'avais moyennement apprécié et je ne pourrai pas argumenter sur ça . Mais ce revisionnage après END GAME , après la nouvelle phase de Marvel qui est en déclin scénaristiquement parlant . Et bien ce film je vous le certifie est un chef d'œuvre . Personnellement j'y ai retrouvé un petit côté Mad Max avec le futur un poil dystopique et le sable . Bref un chef d'œuvre
Avec Logan, James Mangold livre une interprétation mature et introspective du mythe de Wolverine. Ce n’est pas tant un film de super-héros qu’un drame sur la déchéance, la rédemption et l’héritage. Bien que le film propose une vision unique et audacieuse du genre, il vacille parfois dans son exécution, peinant à maintenir une cohérence émotionnelle et narrative tout au long de ses 137 minutes.
Hugh Jackman donne ici une performance impressionnante, portant sur ses épaules toute la douleur et l’épuisement de Logan. Ce Wolverine affaibli, à la fois par les années et par ses propres blessures intérieures, est captivant. Le personnage devient une métaphore de l’obsolescence et du sacrifice, des thèmes rarement explorés dans ce genre.
Patrick Stewart, quant à lui, est bouleversant en Charles Xavier, dont la démence transforme son esprit brillant en une source de danger incontrôlable. Leur relation père-fils dysfonctionnelle est au cœur du film, offrant les moments les plus poignants et sincères du récit.
La jeune Dafne Keen, en Laura, impressionne par sa présence physique et émotionnelle. Sa rage silencieuse et sa vulnérabilité émergent avec force, bien qu’elle aurait mérité un arc narratif plus étoffé pour pleinement briller.
Visuellement, Logan se démarque par son esthétique de western crépusculaire. Les paysages désolés et les couleurs délavées renforcent le sentiment de fin de cycle, tandis que les scènes d’action, brutales et sans concession, rappellent que ce n’est pas une aventure de super-héros classique.
Si Logan impressionne par son ton sombre et réaliste, le film souffre parfois de ses propres ambitions. Le rythme est inconstant, notamment dans sa seconde moitié, où certaines scènes semblent superflues ou trop prolongées. L’effort pour insérer des moments de réflexion ralentit souvent l’histoire au point de rompre sa tension dramatique.
Les antagonistes, bien qu’efficaces dans leur rôle de catalyseurs pour les héros, manquent de profondeur. Donald Pierce, incarné par Boyd Holbrook, est charismatique mais reste sous-exploité, tandis que le Dr Rice n’a qu’un impact limité en tant qu’antagoniste principal.
Enfin, l’univers plus large des X-Men est évoqué de manière fragmentaire, laissant un sentiment d’incomplétude. Certains éléments, comme les motivations derrière les expériences génétiques de Transigen ou les origines de Laura, méritaient un traitement plus approfondi.
Le choix de classer Logan dans la catégorie R permet des scènes d’action plus sanglantes et viscérales, mais ce réalisme brutal n’est pas toujours justifié narrativement. Si les affrontements soulignent le désespoir des personnages, ils peuvent paraître excessifs ou répétitifs, diluant leur impact.
Logan touche à des thèmes profonds : la perte, la parentalité, la transmission d’un héritage. Cependant, ces thématiques ne sont pas toujours exploitées à leur plein potentiel. Le film tente de jongler entre drame introspectif et action intense, mais ce mélange entraîne des déséquilibres qui l’empêchent d’atteindre une véritable excellence.
Logan est une œuvre à la fois ambitieuse et imparfaite, qui réussit à marquer par ses performances et son atmosphère, mais qui trébuche par moments dans son exécution. Si son exploration des failles humaines est louable, elle n’atteint pas toujours la profondeur qu’elle ambitionne. Un bel adieu à Wolverine, certes, mais qui aurait pu être plus mémorable encore.
Hugh Jackman donne ici une performance impressionnante, portant sur ses épaules toute la douleur et l’épuisement de Logan. Ce Wolverine affaibli, à la fois par les années et par ses propres blessures intérieures, est captivant. Le personnage devient une métaphore de l’obsolescence et du sacrifice, des thèmes rarement explorés dans ce genre.
Patrick Stewart, quant à lui, est bouleversant en Charles Xavier, dont la démence transforme son esprit brillant en une source de danger incontrôlable. Leur relation père-fils dysfonctionnelle est au cœur du film, offrant les moments les plus poignants et sincères du récit.
La jeune Dafne Keen, en Laura, impressionne par sa présence physique et émotionnelle. Sa rage silencieuse et sa vulnérabilité émergent avec force, bien qu’elle aurait mérité un arc narratif plus étoffé pour pleinement briller.
Visuellement, Logan se démarque par son esthétique de western crépusculaire. Les paysages désolés et les couleurs délavées renforcent le sentiment de fin de cycle, tandis que les scènes d’action, brutales et sans concession, rappellent que ce n’est pas une aventure de super-héros classique.
Si Logan impressionne par son ton sombre et réaliste, le film souffre parfois de ses propres ambitions. Le rythme est inconstant, notamment dans sa seconde moitié, où certaines scènes semblent superflues ou trop prolongées. L’effort pour insérer des moments de réflexion ralentit souvent l’histoire au point de rompre sa tension dramatique.
Les antagonistes, bien qu’efficaces dans leur rôle de catalyseurs pour les héros, manquent de profondeur. Donald Pierce, incarné par Boyd Holbrook, est charismatique mais reste sous-exploité, tandis que le Dr Rice n’a qu’un impact limité en tant qu’antagoniste principal.
Enfin, l’univers plus large des X-Men est évoqué de manière fragmentaire, laissant un sentiment d’incomplétude. Certains éléments, comme les motivations derrière les expériences génétiques de Transigen ou les origines de Laura, méritaient un traitement plus approfondi.
Le choix de classer Logan dans la catégorie R permet des scènes d’action plus sanglantes et viscérales, mais ce réalisme brutal n’est pas toujours justifié narrativement. Si les affrontements soulignent le désespoir des personnages, ils peuvent paraître excessifs ou répétitifs, diluant leur impact.
Logan touche à des thèmes profonds : la perte, la parentalité, la transmission d’un héritage. Cependant, ces thématiques ne sont pas toujours exploitées à leur plein potentiel. Le film tente de jongler entre drame introspectif et action intense, mais ce mélange entraîne des déséquilibres qui l’empêchent d’atteindre une véritable excellence.
Logan est une œuvre à la fois ambitieuse et imparfaite, qui réussit à marquer par ses performances et son atmosphère, mais qui trébuche par moments dans son exécution. Si son exploration des failles humaines est louable, elle n’atteint pas toujours la profondeur qu’elle ambitionne. Un bel adieu à Wolverine, certes, mais qui aurait pu être plus mémorable encore.
l'un des meilleurs films Marvel que j'ai vu de tout ma vie ( films Marvel du mcu et or du mcu ) et la fille x-23 elle d'aichir
Alexarod
Fan de comics j’étais obligé d’aller voir ce dernier opus, pour Jackman notamment, puis surtout vu les critiques dithyrambiques qui le décrivent comme un genre à part amenant un renouveau. Bon puis avouons que la bande annonce, pour une fois, faisait envie, la musique (qu’on ne retrouve pas dans le long métrage) collant bien à l’univers a priori.
Et en effet, ça change des films de super héros classique. Dans sa forme déjà car on a affaire à un road trip version western. De ce point de vue là il est très traditionnel, notamment parce que la trame l’est aussi, mais les scènes d’action modifient la donne. Elles s’insèrent bien, sont nombreuses, bien montées, rythmées à fond et font ressortir le côté bestial de Wolverine, enfin. On comprend l’interdiction aux USA, même si on devait s’y attendre, et l’envie de faire un contenu plus « mature » (car ce n’est pas un synonyme de gore) devait déboucher là-dessus. Cependant, si la mise en scène est relativement claire (il manque quelques indications géographiques pour juger de la progression par exemple), il y a un souci concernant l’histoire. En effet, le titre est Logan, or ici on ne relate en fait que les origines de X-23. Si vous prenez les comics vous retrouverez sensiblement la même chose, on inclut juste plus de Wolvy dedans. Certes ce n’est pas rédhibitoire car le côté père-fille, vieux loup attendrit par une gamine (bien que ça ne saute pas assez aux yeux), l’apprivoisement des 2 bêtes, ou la fougue de la jeunesse associée à l’expérience de l’ancien ça passe toujours. Cela n’empêche que pour une dernière j’aurai préféré plus de Logan, voir de Xavier.
Ce dernier n’est pas assez exploité, son aura est zappée, son influence (même passée) n’entre pas en ligne de compte, ses pouvoirs ne sont qu’un handicap, sa puissance n’est abordée que dans une phrase, son histoire n’en parlons pas car personne ne s’en soucie (rappelons qu’il est mort et que son âme est transférée dans un autre corps à l’issue de Xmen 3). Bref pas top, il apporte juste une touche d’humour ainsi qu’une réflexion quant à la vieillesse avec son cortège de déchéances. D’autant plus qu’on nous allèche avec l’incident de Westchester : sauf qu’on ne sait pas ce que c’est, on le suppose c’est tout. J’imagine qu’on en saura davantage lors de la sortie du dvd avec des scènes coupées, mais ne pas l’exploiter dans le long métrage est une erreur. Pensez : ça pourrait être une crise de Xavier (le plus probable), ou Onslaught (le rêve), ou une hécatombe de la part du héros façon Old Man Logan.
Au niveau des erreurs je relève deux incohérences : les crises de Xavier car la 1ère dure une minute et manque de tuer Kaliban, par contre dans l’hôtel Wolvy a le temps de traverser le hall, prendre l’ascenseur, parcourir le couloir spoiler: et de tuer des soldats sans que ça ne fasse de victimes pour autant. L’autre concerne le méchant principal qui se prend une grenade à bout portant et survit,
sans pouvoir régénérateur. Je pourrai rajouter une remarque qui valait déjà lors de X-men 2 : on rappelle que l’adamantium est un métal rare, sauf que X23 et 24, plus lady Deathstrike, Logan et Sabretooth etc… faut pas pousser, ça devient commun. Enfin le côté apocalyptique on ne le voit guère, et le côté muet de la gosse ne sert à rien, autant le zapper.
Par contre j’ai bien aimé les nombreux clins d’œil, notamment la leçon avec les comics, ou le X final. La musique s’insère correctement, c’est réaliste jusque dans les dialogues, de très bons FX, de belles images notamment de décors naturels et l’acting est top surtout la petite. Les fights sont aboutis, même si ça va très (trop ?) vite et que certains combattants restent trop immobiles, mais alterné avec des scènes plus intimistes (avec la famille de Morgan) ça n’en rend l’ensemble que meilleur.
Je conseille donc à tous de voir ce film, même si on n’est pas fan des super héros. Ce n’en est pas un, pas besoin de connaître l’univers Marvel, ni les persos, ni même les autres opus de la franchise, il se suffit à lui-même. La preuve ? Pas de caméo de Stan Lee ni de scène post générique. On passe un bon moment, on a de l’action, de l’émotion, le tout dans un format inhabituel, malgré quelques erreurs ça restera comme un super final.
Et en effet, ça change des films de super héros classique. Dans sa forme déjà car on a affaire à un road trip version western. De ce point de vue là il est très traditionnel, notamment parce que la trame l’est aussi, mais les scènes d’action modifient la donne. Elles s’insèrent bien, sont nombreuses, bien montées, rythmées à fond et font ressortir le côté bestial de Wolverine, enfin. On comprend l’interdiction aux USA, même si on devait s’y attendre, et l’envie de faire un contenu plus « mature » (car ce n’est pas un synonyme de gore) devait déboucher là-dessus. Cependant, si la mise en scène est relativement claire (il manque quelques indications géographiques pour juger de la progression par exemple), il y a un souci concernant l’histoire. En effet, le titre est Logan, or ici on ne relate en fait que les origines de X-23. Si vous prenez les comics vous retrouverez sensiblement la même chose, on inclut juste plus de Wolvy dedans. Certes ce n’est pas rédhibitoire car le côté père-fille, vieux loup attendrit par une gamine (bien que ça ne saute pas assez aux yeux), l’apprivoisement des 2 bêtes, ou la fougue de la jeunesse associée à l’expérience de l’ancien ça passe toujours. Cela n’empêche que pour une dernière j’aurai préféré plus de Logan, voir de Xavier.
Ce dernier n’est pas assez exploité, son aura est zappée, son influence (même passée) n’entre pas en ligne de compte, ses pouvoirs ne sont qu’un handicap, sa puissance n’est abordée que dans une phrase, son histoire n’en parlons pas car personne ne s’en soucie (rappelons qu’il est mort et que son âme est transférée dans un autre corps à l’issue de Xmen 3). Bref pas top, il apporte juste une touche d’humour ainsi qu’une réflexion quant à la vieillesse avec son cortège de déchéances. D’autant plus qu’on nous allèche avec l’incident de Westchester : sauf qu’on ne sait pas ce que c’est, on le suppose c’est tout. J’imagine qu’on en saura davantage lors de la sortie du dvd avec des scènes coupées, mais ne pas l’exploiter dans le long métrage est une erreur. Pensez : ça pourrait être une crise de Xavier (le plus probable), ou Onslaught (le rêve), ou une hécatombe de la part du héros façon Old Man Logan.
Au niveau des erreurs je relève deux incohérences : les crises de Xavier car la 1ère dure une minute et manque de tuer Kaliban, par contre dans l’hôtel Wolvy a le temps de traverser le hall, prendre l’ascenseur, parcourir le couloir spoiler: et de tuer des soldats sans que ça ne fasse de victimes pour autant. L’autre concerne le méchant principal qui se prend une grenade à bout portant et survit,
sans pouvoir régénérateur. Je pourrai rajouter une remarque qui valait déjà lors de X-men 2 : on rappelle que l’adamantium est un métal rare, sauf que X23 et 24, plus lady Deathstrike, Logan et Sabretooth etc… faut pas pousser, ça devient commun. Enfin le côté apocalyptique on ne le voit guère, et le côté muet de la gosse ne sert à rien, autant le zapper.
Par contre j’ai bien aimé les nombreux clins d’œil, notamment la leçon avec les comics, ou le X final. La musique s’insère correctement, c’est réaliste jusque dans les dialogues, de très bons FX, de belles images notamment de décors naturels et l’acting est top surtout la petite. Les fights sont aboutis, même si ça va très (trop ?) vite et que certains combattants restent trop immobiles, mais alterné avec des scènes plus intimistes (avec la famille de Morgan) ça n’en rend l’ensemble que meilleur.
Je conseille donc à tous de voir ce film, même si on n’est pas fan des super héros. Ce n’en est pas un, pas besoin de connaître l’univers Marvel, ni les persos, ni même les autres opus de la franchise, il se suffit à lui-même. La preuve ? Pas de caméo de Stan Lee ni de scène post générique. On passe un bon moment, on a de l’action, de l’émotion, le tout dans un format inhabituel, malgré quelques erreurs ça restera comme un super final.
Un très bon Marvel, d'un nouveau genre ... Plus sombre, plus violent, plus humain ! Prenant et poignant du début à la fin !
Un énième opus des X-men? Oui! N'est ce pas un de trop? non! Parce que même si le scénario de base est sensiblement toujours le même dans les films de super-héros Marvel, ici on y ajoute le renouvellement de la population X-Men, ce qui annonce peut-être des suites. Et il faut bien dire, que ce film est emballant, on ne s'ennuie pas, les combats sont toujours aussi bien chorégraphié. On y repère toujours ces petites incohérences qui font le lit de ce genre de film. Mais cela n'a pas vraiment le temps d'influer sur notre intérêt, tant notre attention est vite attirée par la scène suivante.
Les jeunes acteurs sont brillants.
A voir par tous les amateurs de film de super-héros et autre Marvel
Les jeunes acteurs sont brillants.
A voir par tous les amateurs de film de super-héros et autre Marvel
L'ultime représentation de Wolverine, héros x-men emblématique de ses dernières années, plus fort, plus charismatique, plus indomptable, plus, plus plus.
C'est au crépuscule d'une vie difficile, que le héros nous est présenté, fatigué par une existence faite de combats, il se raccroche à une piètre vie, entouré de survivants.
Mais là n'est pas le propos, une espèce à disparue, et tout ce que combattait Magnéto, tout ce en quoi il croyait s'est avéré juste. Plus de mutants, enfin, pas comme on a pu les connaitre; on retrouve les thèmes de la manipulation, de l'exploitation d'une minorité.
Le film repose sur un déclin annoncé et sur une possible résurrection, à travers une nouvelle race de mutants, création de laboratoire à des fins militaires, tout est si bien amené que le film dépasse toutes les mièvrerie post ado de ces derniers temps avec des super-héros caricaturaux et en manque d'inspiration.
La saga X-Men a toujours été à part dans le tourbillon des films marvel, et ce Logan restera comme un point d'exclamation à la fin d'une phrase: percutant!
Bien naturellement la relève est bien là, puisque tout pense à croire que ces jeunes enfants, mutants vont relevés de futurs défis...on verra.
C'est au crépuscule d'une vie difficile, que le héros nous est présenté, fatigué par une existence faite de combats, il se raccroche à une piètre vie, entouré de survivants.
Mais là n'est pas le propos, une espèce à disparue, et tout ce que combattait Magnéto, tout ce en quoi il croyait s'est avéré juste. Plus de mutants, enfin, pas comme on a pu les connaitre; on retrouve les thèmes de la manipulation, de l'exploitation d'une minorité.
Le film repose sur un déclin annoncé et sur une possible résurrection, à travers une nouvelle race de mutants, création de laboratoire à des fins militaires, tout est si bien amené que le film dépasse toutes les mièvrerie post ado de ces derniers temps avec des super-héros caricaturaux et en manque d'inspiration.
La saga X-Men a toujours été à part dans le tourbillon des films marvel, et ce Logan restera comme un point d'exclamation à la fin d'une phrase: percutant!
Bien naturellement la relève est bien là, puisque tout pense à croire que ces jeunes enfants, mutants vont relevés de futurs défis...on verra.
J'attendais ce film avec impatience et la bande annonce m'a donné plus qu'envie de voir "Logan". Après une série de films pas terrible sur le personnage de Logan a.k.a Wolverine, interprété tellement parfaitement par Hugh Jackman, James Mangold nous a réalisé un chef d'oeuvre du film de super-héros, et nous avons enfin eu le film que Wolverine méritait.
Etant un grand fan de l'univers des comics de Logan, mais aussi de Laura (ou X-23), je ne pouvais qu'être satisfait de ce que ce film mettait en scène. Daphne Keen est incroyable en Laura, et toute l'histoire qui se déroule alors autour de celle-ci est magnifiquement écrite. Stephen Merchant incarne un personnage plutôt original qu'est Caliban et cela convient parfaitement avec l'esprit de ce dernier film.
Bien sûr, le retour de Patrick Stewart en Charles Xavier de nous a pas laissé de marbre, spoiler: et sa fin est très bien mise en place, que ce soit dans le film, à cause d'une confusion entre le clone de Wolverine et Logan, ou bien-même dans l'histoire du personnage de Xavier, de mourir aux côtés d'un des plus grands X-Men : Logan
. La relation entre Logan et Laura est adorable et colle parfaitement au scénario, avec une évolution tout au long du film. Le devoir de protection du X-Man, envers X-23 ne fait qu'accentuer cette relation et le côté émotionnelle du film. Le méchant est plutôt réussi, et la création d'un clone pour tuer Logan est une excellente idée. Les combats sont sanglants et violents et c'est ce qu'on aime chez ce personnage.
La fin du film est très bien réussie spoiler: et on ne peut qu'accepter la mort, malgré tout assez violente de Logan, permettant ainsi à X-23 de lui succéder : c'est la fin de l'homme aux griffes d'Adamantium.
"Logan" m'a particulièrement marqué et j'ai apprécié chaque seconde de ce chef d'oeuvre. Un de mes films préférés à ce jour !
Etant un grand fan de l'univers des comics de Logan, mais aussi de Laura (ou X-23), je ne pouvais qu'être satisfait de ce que ce film mettait en scène. Daphne Keen est incroyable en Laura, et toute l'histoire qui se déroule alors autour de celle-ci est magnifiquement écrite. Stephen Merchant incarne un personnage plutôt original qu'est Caliban et cela convient parfaitement avec l'esprit de ce dernier film.
Bien sûr, le retour de Patrick Stewart en Charles Xavier de nous a pas laissé de marbre, spoiler: et sa fin est très bien mise en place, que ce soit dans le film, à cause d'une confusion entre le clone de Wolverine et Logan, ou bien-même dans l'histoire du personnage de Xavier, de mourir aux côtés d'un des plus grands X-Men : Logan
. La relation entre Logan et Laura est adorable et colle parfaitement au scénario, avec une évolution tout au long du film. Le devoir de protection du X-Man, envers X-23 ne fait qu'accentuer cette relation et le côté émotionnelle du film. Le méchant est plutôt réussi, et la création d'un clone pour tuer Logan est une excellente idée. Les combats sont sanglants et violents et c'est ce qu'on aime chez ce personnage.
La fin du film est très bien réussie spoiler: et on ne peut qu'accepter la mort, malgré tout assez violente de Logan, permettant ainsi à X-23 de lui succéder : c'est la fin de l'homme aux griffes d'Adamantium.
"Logan" m'a particulièrement marqué et j'ai apprécié chaque seconde de ce chef d'oeuvre. Un de mes films préférés à ce jour !
James Magnold réalise le meilleur film sur le personnage de Logan incarné par Hugh Jackman avec Patrick Stewart et Dafne Keen. Un petit bijou de cinéma. Un très bon survival.
«Certains naissent pendant que d’autres meurent» : Johnny Cash «The Man Comes Around»
Troisième long-métrage consacré à l’être aux griffes d’Adamantium, mais ici comme pour mieux humaniser son héros, James Mangold dirigeant pour la deuxième fois Hugh Jackman après «Wolverine : le combat de l’immortel» titrera son film : «Logan». Bien loin d’un cinéma estampillé Marvel trop longtemps ressassé, Mangold nous livre un film d’une puissance émotionnelle rarement atteinte, inédite dans ce genre de production. L’histoire se déroule en 2029, James «Logan» Howlett/Wolverine (Hugh Jackman toute barbe dehors) n’est plus que l’ombre de lui-même, fatigué, fugitif malgré lui, marqué par des années d’errance ; il se terre au Nouveau Mexique avec son ami de toujours, le Pr Charles Xavier recherché lui aussi à cause de crises de délirium cataclysmiques. Un troisième mutant du nom de Caliban (Stephen Marquant) est là pour assurer la survie de Xavier pendant les absences répétées de Logan devenu chauffeur pour une société de limousine. Le passé rattrapera Logan quand il devra protéger Laura, une jeune mutante devenue la proie d’une dangereuse organisation. Dès lors, l’enfer va s’abattre sur le spectateur. Durant plus de 2h00, Mangold sera l’instigateur d’une œuvre crépusculaire oscillant entre le western et le film post-apocalyptique. Le réalisateur ne lésine pas sur l’hémoglobine et nous imprègne la rétine de scènes d’action à la fois magnifiques et gores à la hauteur de son héros en perdition. Ne boudons pas notre plaisir, enfin un VRAI Marvel pour adultes mêlant avec brio réflexion et action. Plus qu’un film, «Logan» est le poignant Requiem d’un homme en fin de parcours, un homme aux blessures psychologiques qui ne se referment pas et aux blessures physiques qui ne se referment plus. Logan n’a plus rien à perdre, mais la jeune Laura, véritable miroir de lui-même, saura insuffler à ce cœur vieillissant assez d’air pour un dernier baroude d’honneur, assez d’humanité pour accéder à la rédemption…
Troisième long-métrage consacré à l’être aux griffes d’Adamantium, mais ici comme pour mieux humaniser son héros, James Mangold dirigeant pour la deuxième fois Hugh Jackman après «Wolverine : le combat de l’immortel» titrera son film : «Logan». Bien loin d’un cinéma estampillé Marvel trop longtemps ressassé, Mangold nous livre un film d’une puissance émotionnelle rarement atteinte, inédite dans ce genre de production. L’histoire se déroule en 2029, James «Logan» Howlett/Wolverine (Hugh Jackman toute barbe dehors) n’est plus que l’ombre de lui-même, fatigué, fugitif malgré lui, marqué par des années d’errance ; il se terre au Nouveau Mexique avec son ami de toujours, le Pr Charles Xavier recherché lui aussi à cause de crises de délirium cataclysmiques. Un troisième mutant du nom de Caliban (Stephen Marquant) est là pour assurer la survie de Xavier pendant les absences répétées de Logan devenu chauffeur pour une société de limousine. Le passé rattrapera Logan quand il devra protéger Laura, une jeune mutante devenue la proie d’une dangereuse organisation. Dès lors, l’enfer va s’abattre sur le spectateur. Durant plus de 2h00, Mangold sera l’instigateur d’une œuvre crépusculaire oscillant entre le western et le film post-apocalyptique. Le réalisateur ne lésine pas sur l’hémoglobine et nous imprègne la rétine de scènes d’action à la fois magnifiques et gores à la hauteur de son héros en perdition. Ne boudons pas notre plaisir, enfin un VRAI Marvel pour adultes mêlant avec brio réflexion et action. Plus qu’un film, «Logan» est le poignant Requiem d’un homme en fin de parcours, un homme aux blessures psychologiques qui ne se referment pas et aux blessures physiques qui ne se referment plus. Logan n’a plus rien à perdre, mais la jeune Laura, véritable miroir de lui-même, saura insuffler à ce cœur vieillissant assez d’air pour un dernier baroude d’honneur, assez d’humanité pour accéder à la rédemption…
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