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    Nymphomaniac - Volume 2
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    210 critiques spectateurs

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    Joce2012
    Joce2012

    204 abonnés 581 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2023
    Comme tous les films de Lars beaucoup de questionnements sur la vie et le comportement humain qui font réfléchir
    Christophe Élui
    Christophe Élui

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 avril 2023
    Charlotte a payé de sa personne!
    Très actrice et tellement naturelle dans ce jeu d'actrice!.
    Extrême et dangereux pour elle.
    Y a-t-elle pris du plaisir ?
    eldarkstone
    eldarkstone

    219 abonnés 2 074 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 janvier 2023
    Plus Trash, plus torride, avec plus de choses à dire ... mais toujours aussi lent et froid. Avec toujours ce dialogue incessant et sans intérêt entre les deux protagonistes principaux dans une chambre.
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    37 abonnés 1 442 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 novembre 2024
    Seulement 1 mois après la sortie du premier volet, sortait donc "Nymphomaniac - Volume 2" dans nos salles de cinéma. Mais cette suite n'en est finalement pas une, car elle vient simplement compléter un film assez bêtement coupé en deux. Et autant le dire, je suis ressorti de ce second visionnage en me disant qu'une lecture complète des deux projets serait bien plus intéressante. Sans même avoir tenté l'expérience, je pense que si vous voulez une véritable expérience via ce projet, je vous conseille la version longue, sortie un peu après. Je ne l'ai personnellement pas vu, mais il est clair que voir les deux films à la suite doit résoudre un paquet de problèmes. Il n'y a qu'à voir comment nous sommes introduits à ce film pour s'en rendre compte. On débute ce second long-métrage complètement au milieu de nulle part, reprenant de façon assez grossière là où la première partie s'était arrêtée. On se rend vraiment compte de l'échec de cette coupe, via tout ce que le second opus va aborder. On sent que cette œuvre avait beaucoup de choses à dire, ainsi que beaucoup d'éléments à proposer au spectateur. Mais il est clair que c'est assez compliqué de comprendre le message global du film quand cette séparation vient donc séparer les deux parties. Toutes ces questions autour de la sexualité, mais aussi toute l'évolution de ce personnage, peuvent vraiment être intéressantes, mais dans un visionnage d'une traite. Ici, la coupe casse vraiment l'évolution de l'histoire et le développement de notre personnage, même s'il est toujours intéressant de la suivre, car Charlotte Gainsbourg est toujours aussi intéressante à voir jouer. Mais malgré tout, ce second opus n'est toujours pas ce que j'apprécie, n'étant vraiment pas fan de ce genre de délire d'auteur. Cependant, d'un point de vue objectif, il est préférable de tout visionner d'un coup. Si vous souhaitez vous intéresser à ce projet, vous savez ce que vous devez faire. Pour conclure, un film qui souffre beaucoup trop d'une décision pourtant si banale à première vue.
    Nicolas N.
    Nicolas N.

    30 abonnés 748 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2022
    Suite où volume 2 de ce film erotique et particulier. Excellente prestation comme dans le volume 1 de Stacy Martin qui est tout à fait remarquable. Charlotte Gainsbourg a un rôle plus important que dans le premier. On la sent à l'aise dans la nudité l'une comme l'autre. Auto diagnostiqué nymphomane elle se sent de plus en plus special... attention aux scene sexuelle
    Daniela Ribeiro
    Daniela Ribeiro

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 avril 2021
    J'ai beaucoup aimé le choix des acteurs, le texte, choix musicaux etc. Je découvre une jeune fille qui n'a pas d'amour venant de sa mère. Elle découvre à l'adolescence son plaisir sexuel. Elle a un lien particulier avec le père. Elle retrouve ce lien avec Seligmann où elle espère voir en lui un être humain capable de la respecter. Mais elle est encore déçu... Elle cherche à exister dans le regarder de l'homme et cherche à trouver sa place en se soumettant au désir de l'autre, en acceptant la violence... C'est en se confiant enfin qu'elle réalise qu'elle doit renoncer à ce désir, au désir de l'autre...
    Shelby77
    Shelby77

    163 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 novembre 2020
    Autant le premier volet avait capté mon attention et parfois captivé mon intérêt, autant ce second volet me laisse un gout amer... Trop violent dans son ensemble... Je ne dois pas être assez ouvert d'esprit pour apprécier la mise en scène de Van Trier. Je lui accorderais quand même encore une fois son aspect direct et sans fioritures qui en font un réalisateur "à part" ainsi que l'originalité de sa conception quand par exemple il compare les amants avec les notes de musique.
    Lena M.
    Lena M.

    5 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 août 2020
    Voici l'enjeu du film: les étiquettes societales ne font qu'oppresser nos désirs et nous remplissent de culpabilité. De cette manière, une nymphomane n'est qu'une étiquette or le droit au sexe même à l'extrême est notre droit. 'Pourquoi avoir des ailes si on nous laissent pas voler ?' il demande. De même pour un pédophile, c'est un homme malheureux et oppressé, d'après Trier. C'est qui me dérange réellement c'est que Trier est persuadé qu'une femme féministe et libérée a forcément une sexualité froide et détachée de tout sentiment. Je passe les illustrations des dits avec des scènes ridicules tout droit sorties des docus animaliers, sa vision trop masculine de la nymphomanie, le désir, la maternité. .. Je conseille les réalisateurs hommes de se concentrer sur les choses qu'ils connaissent par expérience ! Il faut quand même prévenir qu'il faut un estomac bien accroché pour regarder jusqu'au bout.!
    Bicheyrejp
    Bicheyrejp

    12 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 août 2020
    Cette seconde partie ne m'a beaucoup plu. La continuité avec le film précédent n'est pas évidente. Hormis la scène comique avec les deux noirs, la rencontre avec le sado-maso pervers ne m'a pas convaincu. Le pire est à venir à la fin avec cette scène presque finale de violence de l’homme qui frappe une femme qui m’a particulièrement révolté et irrité. Et puis le vieux pervers mille unième n’a que ce qu’il mérite.
    Arnaud R
    Arnaud R

    89 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mars 2020
    Une 2e partie beaucoup plus glauque que la première et qui perd un peu de sa substance poétique pour être plus gore.
    Acidus
    Acidus

    721 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2020
    C'est en toute logique que ce volume II s'inscrit dans la continuité du premier. Lars Von trier monte d'un cran dans la subversion avec des scènes plus violentes et plus explicites. Heureusement, il ne se contente pas d'une simple provocation et il y a une réelle histoire derrière les scènes de sexe. Bon, celle-ci est assez redondante et n'est pas exemptée de quelques longueurs (ainsi que d'une fin bâclée). Mais on suit avec intérêt les aventures de cette nymphomanes ainsi que leséchanges entre elle et son "bienfaiteur". La réalisation de Lars von Trier est au top en apportant beaucoup à ce long métrage qui sans elle serait plutôt fade. Un peu long et d'un intérêt inégal mais plutôt sympathique dans l'ensemble.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 décembre 2019
    Et du coup pour la deuxieme partie, c'est la meme chose. C'est du grand cinéma.

    La découverte de l'arbre est magnifique. Non vraiment. La composition des plans, la photographie, la musique, la mise en scene et la symbolique de ce moment. C'est juste la perfection. Et dire que le réalisateur s'est fait taxer de misogyne alors qu'il nous livre ici un film ultra féministe. Dans le bon sens du terme. Dans l'excellent sens du terme.

    Regardons. Apprennons. Ce Lars Von Trier est juste un génie et il nous enseigne a tous, ici, une lecon sur tous les plans.
    Théo Pouillet
    Théo Pouillet

    6 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 octobre 2019
    Là où le premier volume était bien construit et cohérent, ici cette suite est totalement décousue et part vraiment dans tous les sens. Mais au-delà de cet aspect bordélique, le film reste bien écrit avec une bonne seconde lecture.
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    31 abonnés 1 094 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 septembre 2019
    On retrouve le story telling à la Lars von Trier avec un montage parfois hasardeux. L'histoire, elle, oscille entre le pseudo intellectuel et une réelle interrogation sur l'humanité en général. La fin déçoit vraiment.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    689 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juin 2019
    Appréhender le diptyque Nymphomaniac exige de passer outre la coupure entre le volume un et second, dans la mesure où ce n’est que par nécessité technique – afin de faciliter la diffusion en salles – que le film se divise en deux parties en réalité indissociables. Nous retrouvons ici le goût particulier de Lars Von Trier pour la construction mathématique et bien rangée à partir d’une matière brute et souvent insaisissable : ici, le désir sexuel, que les titres abstraits des parties viennent analyser à la manière d’une psychanalyse freudienne. Néanmoins, il serait inopportun de ranger l’œuvre dans la catégorie des films analytiques, car cela reviendrait à chercher à enfermer une énergie elle-même mobile et constamment redéfinie au gré des rencontres et des âges ; notons d’ailleurs que la figure du thérapeute et « meilleur ami » (sic) subit un renversement ultime de sa caractérisation qui déjoue aussitôt tout discours préconçu, toute thèse défendue. Si Nymphomaniac défend quelque chose, c’est davantage la propension de l’être humain à renier, à brimer, à censurer sa nature érotique – entendons le terme dans sa double acception de désir amoureux et sexuel – par conformisme avec les codes sociétaux en vigueur. Si Nymphomaniac explore quelque chose, c’est davantage un corps pris dans l’hésitation constante d’un assouvissement de sa nature ou d’une rétention de celle-ci, toutes deux sources de douleur et de plaisir. Ce lien entre souffrance et extase traduit littéralement le désir, et justifie la pensée analogique de Lars Von Trier qui cultive métaphores, allégories, images en tout genre. Si la structure du film se revendique de la polyphonie, à l’instar du thème traité, veillons toutefois à ne pas en attribuer l’exclusivité au cinéaste qui ne fait que réitérer une tradition philosophique – nous pouvons penser à Voltaire et à ses contes – qui se plaît à bâtir une réflexion à partir du mouvement de son protagoniste, de ses voyages tant physiques qu’intérieurs. Et les va-et-vient incessants entre instant de la narration et espace-temps narré n’en sont, en fin de compte, qu’une déclinaison pertinente et efficace. Nous pourrions reprocher à Von Trier le ralentissement parfois excessif de ses axes – surtout dans la deuxième partie – où les tableaux se succèdent de manière un peu trop automatique, mais passons. Nymphomaniac se pense comme le roman-fleuve de l’époque contemporaine, un fil directeur donnant lieu à de nombreux récits enchâssés, forme littéraire ici cinématographique et apte à rapporter les aléas du parcours de l’éros dans nos sociétés démocratiques. Le cinéaste revivifie un genre en adaptant les mœurs et les outrances : il s’agit bien, comme dans Artamène ou le Grand Cyrus, de jouer avec les conventions de la forme alors en vogue, conventions littéraires et organisatrices – logique de l’exposé scientifique et académique, central dans les sociétés occidentales –, conventions historiques et religieuses – connaissances des cultures occidentales et orientales –, conventions familières – la pêche, James Bond – etc. Le grand apport de Von Trier est imposé par le XXIe siècle : la pornographie. Et, en ce sens, le cinéaste se joue des clichés inhérents à la représentation du désir tant masculin que féminin dans ce genre de productions ; dès lors, si l’exploration sexuelle révolte le spectateur, c’est parce qu’elle lui renvoie un lot d’images ou détestées ou cultivées dans son intimité seule, dans tous les cas constitutives de sa mythologie personnelle. Nymphomaniac, un thème, une femme, une nuit : voilà les trois unités dramatiques respectées. Et dans ce théâtre rempli de sécrétions, de violences et de sexe, Lars Von Trier nous convie à une tragi-comédie déroutante et audacieuse qui prend pour horizon le combat de la femme dans une société régie par l’homme, combat dont la finalité doit conduire à imposer son droit à la jouissance strictement féminine. Un immense diptyque.
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