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    Nymphomaniac - Volume 2
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    3,2
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    210 critiques spectateurs

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    alain-92
    alain-92

    318 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 janvier 2014
    J'attendais ce deuxième volume avec impatience.
    Au final une certaine déception. Les images trop démonstratives finissent par lasser.

    Si le choix du réalisateur n'est en rien condamnable, il n'en reste pas moins regrettable que ces deux heures de pellicule se cantonnent pour la plus grande partie dans des images purement sexuelles et trop appuyées.

    Voire grotesques. Entre autres, la scène avec les deux hommes de couleur, très ou trop bien membrés, se disputant la meilleure façon d'assouvir leurs envies respectives. Un autre moment pénible, lourd et totalement monstrueux. Celui ou Joe part pour sa nouvelle addiction sado-masochiste sans que le bras de son fils, tendu vers le sien, soit suffisant pour la retenir. Grosse batterie pour laisser passer une émotion qui tombe à plat.

    Les dialogues étaient suffisamment explicites, crus et souvent savoureux pour laisser la place aux comédiens mentionnés au générique, sans les étouffer dans leurs propres rôles.

    Charlotte Gainsbourg, après avoir lu le scénario qui l'aurait captivée assure que "Tourner nue me gênait le plus. Le technicien qui confectionne de faux sexes pour Lars m’a décontractée en me faisant visiter son laboratoire. Il y avait des dizaines de pénis et de vagins sur son étagère ! Le jour où on m’a posé une prothèse dès 8 h du matin, j’ai immédiatement dédramatisé", a-t-elle révélé à Victoria Laurent pour glamourparis.

    Du toc, donc, pour donner une illusion du réel. Ce n'est pas nouveau.

    Loin des feuilles de frênes de son enfance, Joe croise sur son chemin quantité d'hommes en multipliant ses rencontres. Autant d'excellents acteurs comme l'inquiétant Willem Dafoe dans une courte apparition. Ou encore Jamie Bell dans un rôle qui aurait mérité d'être plus approfondi.

    Loin de moi l'idée de condamner le sujet du film. Ces pratiques existent chez les femmes tout autant que chez les hommes. La liberté de chacun reste primordiale. Mais en cherchant à trop imposer son point de vue on finit par se perdre. C'est ce que j'ai ressenti.
    andika
    andika

    106 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mai 2014
    bien plus trash que son prédécesseur, la légèreté et la drôlerie du premier volume laisse ici place à la brutalité et à la perversité dans toutes ses formes. Il y a de nombreux moments difficiles à soutenir. Mais d'un autre côté, on était prévenu. L'interprétation de Gainsbourg est excellente ainsi que son vis à vis Selingman. La conclusion de cette histoire est parfaite, et la morale n'a pas sa place au sein cette plongée dans la subversion.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 janvier 2014
    On avait quitté Joe en train de raconter à Seligman ses premières frustrations sexuelles en dépit de sa nymphomanie galopante. Leur dialectique ne s’écartait pas de l’obsessionnelle question : le plaisir, comment ça marche ? Quand on les retrouve, Joe est adulte - et c’est Charlotte Gainsbourg qui s’y colle - Mais elle court toujours après un premier orgasme et quelques fantasmes...
    Puisqu’elle ne parvient pas à assouvir une jouissance qui se refuse à elle, Joe poursuit donc ses explorations en repoussant à chaque fois les limites de son corps. Partenaires simultanés, jeux sado-maso hyper violents, découverte de l’homosexualité… Ca ne l’empêche pas de faire un enfant dont elle est bien incapable de s’occuper.
    La boucle ne sera pas bouclée de la manière la plus élégante par Joe et son psy confident qui cacherait bien Lars Von Trier lui-même. Même si la première avoue sortir « apaisée » de ce chaos. LVT continue à disserter brillamment autour de la sexualité et de la liberté, en confrontant ses provocations au corpus social autant qu’au dogme religieux. Ce second opus est plus sombre et dépressif que le premier.
    Flore A.
    Flore A.

    34 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 février 2014
    Le volume 2 est bien plus sombre que le premier. Il y a encore de très belles scènes, Charlotte Gainsbourg est impeccable dans son rôle mais ce film centré sur la culpabilité est moins juste et réussi que le premier volet.
    brunetol
    brunetol

    189 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 janvier 2014
    C’est en voyant ce deuxième volet qu’on constate à quel point la diffusion en deux parties, apparemment « mutilées », du film de Lars Von Trier, dessert le projet et amoindri la qualité de l’expérience du spectateur. Si vous n’avez pas vu le premier, n’y allez pas ! Attendez la version intégrale, qui s’annonce comme un director’s cut et devrait sortir plus tard. On est là devant une erreur de stratégie de distribution, et on ne s’étonne pas que le film soit dès sa sortie cantonné aux petites salles. Or il n’est pas moins bon que la première partie, il ne fait qu’enfoncer le clou.
    Trier pourrait sans doute se contenter de faire des films de genre en y mettant le minimum syndical de ses talents de styliste, façon Scorcese, ce serait encore au-dessus du lot. Mais non. Il continue de jouer sa partition d’artiste tourmenté et provocateur, et d’aller farfouiller dans les tréfonds de ses obsessions et de ses angoisses existentielles. Manifeste féministe ouvertement misandre, mais sans la misanthropie, le cynisme ou le nihilisme que beaucoup de critiques se croient malins d’avoir soi-disant décelé, Nymphomaniac frappe surtout par la lucidité de son auteur sur la condition humaine, et son empathie pour notre déréliction.
    On retrouve son sens du burlesque, son goût de la provocation, on voit le plaisir des acteurs entrainés dans des séquences extrêmes, comme Jamie Bell mué en « sadologue » spécialiste des cravaches et des nœuds de sang, mais sans effet « m’as-tu-vu », sans innovation formelle majeure pour épater la galerie. Trier s’auto-cite à plusieurs reprises, notamment dans une séquence mémorable qui boucle avec « Antichrist », démontrant à quel point les deux projets sont connectés. A ceux qui comme Pierre Murat voit là-dedans une « haine des rapports sexuels », aveuglés par une hypocrisie inconsciente, on a envie rétorquer qu’ils feraient bien d’aller faire leur propre analyse. C’est justement là où ça fait mal que Trier vient appuyer, pour débusquer ce qui tient de la malédiction plutôt que de la culpabilité ou d’une quelconque aversion. De fait, son dispositif rhétorique peut paraître aussi pataud que celui d’un Gaspar Noé, et renvoyé à de la philosophie de comptoir, assaisonnée d’un peu d’érudition Wikipédia. Mais, comme chez Noé, le discours théorique est un moteur narratif passionnant, transcendé par le souffle de la mise en scène, la qualité des interprètes (tous excellents, Gainsbourg en tête) et la cohérence de la démarche. En œuvrant de la sorte, Trier ne sera probablement jamais considéré comme un vieux maître et c’est tant mieux, ça le préserve de la stérilité et l’académisme qui frappe tant de réalisateurs parvenus à la respectabilité (comme Cronenberg par exemple, qui ne fait plus rien de bien depuis « Existenz »).
    Danny N.
    Danny N.

    103 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 janvier 2014
    Même traitement pour ce second volet que le premier : très très peu de médias signalent la sortie du film cette semaine qui n’est présent que dans 2 salles à Lyon et en VO uniquement, encore une fois !
    Charlotte Gainsbourg fait la couv’ de ELLE et MARIE CLAIRE mais pour le reste, LES INROCK et LE PARISIEN AUJOURD’HUI EN France ainsi que LE FIGARO ont détesté le film le qualifiant « d’ânerie » et n’ont rien compris disant qu’au Festival de Berlin 1h30 supplémentaires vont être projetées et qu’ils y ont échappé belle déjà que les 2H là sont insupportables !

    Après le premier volet où Charlotte jouait uniquement du blah blah, elle passe enfin à l’action dans cette suite
    et ça vaut le coup d’œil avec les scènes sado maso et les tabassages de Charlotte qui va toujours plus loin dans la provoc’ et se livre totalement. Charlotte Gainsbourg /Jo est bouleversante, rongée par son vice quoi l’a détruit mais qui en même temps est le but de sa vie et lui permet de survivre !
    Slater que je pensais ne pas revoir a une scène supplémentaire
    et le final de l'histoire est décapant en coup de théâtre !
    Si j’apprécie toujours autant la démarche osée et provocatrice du réalisateur, les tunnels de dialogues entre Charlotte et son soit disant ange gardien qui l’a recueillie, sont tout de même souvent de qualité et profonds.
    Ce qui dégage une expérience cinématographique qui dépasse le film pornographique.

    Dommage qu’on ne voit pratiquement pas Shia Laboeuf dans ce volet mais Jaimie Bell en tyran supra violent est impressionnant.

    9 / 10
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 janvier 2014
    Après le grand vide ("Je ne sens plus rien") vient le temps de la punition. Et quand il s'agit de châtier ses personnages, LVT sait comment s'y prendre: Joe va payer l'insouciance de ses jeunes années selon des règles que les teasers du film ont déjà plus ou moins révélées. Passée à l'âge adulte, Joe est devenue Charlotte Gainsbourg, c'est une bourgeoise dépressive et surtout coupable. Comme Michael Haneke, LVT doit établir la culpabilité de son personnage pour lui infliger le châtiment qu'il mérite. L'agréable légèreté des trois premiers chapitres du volume 1 (son côté conte érotique) disparaît avec Stacy Martin, qu'on voit très peu. Avec Charlotte G., le film bascule dans un autre registre : châtiment, pénitence et rédemption. J'ai dû mal à me faire une idée exacte de l'ampleur de la catastrophe que représente ce volume 2: c'est un désastre à tout point de vue, je crois qu'on ne peut rien sauver. La structure en chapitres (il en reste encore trois) n'organise plus rien et certaines séquences, comme celle où Joe donne rendez-vous, dans une chambre d'hôtel, à deux Africains, frappent par leur gratuité : incapable de donner le moindre relief à cette scène, LVT fait le choix de mettre deux sexes en érection dans le cadre. Veut-il nous faire rire? Qui croit-il choquer? Cette scène, assez secondaire, est très symptomatique de ce qu'est devenu le cinéma de LVT: un cinéma qui filme les personnages à hauteur de leurs sexes tout en refusant d'y goûter. Un cinéma de frustré en somme. On a presque envie de lui dire ce que Nicole Kidman dit à Tom Cruise à la fin d'Eyes Wide shut: "Let's fuck"!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 janvier 2014
    Plus extrême et provocateur que le premier, mais indissociable! Excellent! Vivement le regroupent des deux films en un seul.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 mars 2014
    Nymphomaniac volume 2 est un objet étrange. Empreint d'une volonté ambitieuse de décrire le plus précisément possible l'intériorité d'un personnage rempli de contradictions, Lars Von Trier se perd parfois (notamment avec l'histoire d'une autre jeune fille) mais parvient quand même à renverser notre regard, en revendiquant la place du désir féminin et en le plaçant au cœur d'un récit tortueux. Il serait essentiel de pouvoir découvrir la version intégrale, qui contrairement à ce qu'on croit, ne contient pas plus de scènes de sexe. Reste que dans le paysage des réalisateurs contemporain, LvT est celui qui prend le plus de risque en interrogeant nos certitudes.
    Santu2b
    Santu2b

    251 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 mai 2016
    Avec le premier volet de "Nymphomaniax", Lars von Trier s'est refait une santé cinématographique c'est certain, retrouvant sa créativité disparue. Cependant, au cours du second volume, le cinéaste se fait rattraper par ses vieux démons. Il cède à l'obscénité facile à laquelle il avait su justement si bien échapper au préalable. Son inventivité, sa puissance métaphorique ou intellectuelle s'envolent au profit d'un racolage insipide. Trier enchaîne les situations, parfois sans savoir où il va, visiblement avec l'unique perspective du gore. Dans sa perte soudaine d'inspiration, il en vient même à recopier son très mauvais "Antichrist". On aurait pu aisément croire à une réelle renaissance ; on n'aura eu droit qu'à un battement de cil. C'est pas gagné !
    nicperpignan
    nicperpignan

    40 abonnés 253 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 février 2014
    quelle daube ! on s'ennuie terriblement , un film pour attardés mentaux ! la gainsbourg aime faire des me*des !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 janvier 2014
    Sans transition, sans introduction, sans rien, le début de cette seconde partie du film ultra-controversé de Lars von Trier nous remet directement dans le bain, même en ayant vu la première partie quasiment un mois avant. Certes, à ce moment-là, on sent bien que le film n'était à la base pas fait pour être charcuté en deux, mais qu'importe, ça ne pose pas plus de problème que ça, en tant que spectateur tout au moins.
    Si le maître-mot de la première partie était clairement "nuance", celui de la seconde serait plutôt "rage", "obstination", "audace" ou encore "insolence". Là, von Trier fait clairement le film qu'il veut (quasiment "sans filtre" si je puis dire), et non celui qu'on aurait pu attendre qu'il fasse. En tout cas celui qu'on aurait pu attendre qu'il fasse avant d'avoir vu la première partie, parce que cette seconde partie n'est bel et bien qu'une suite logique.

    Moins découpée que la première (5 chapitres dans le Volume 1 contre 3 chapitres dans le Volume 2... Oui, 5 et 3, ce sont bien ces fameux nombres, qu'il est malin le Larsou !), la seconde partie pourrait être vue comme étant la même que la précédente mais multipliée par 10. En effet, tout y est "plus" dans ce film. Les comparaisons et métaphores de Seligman sont passées de la surrexplication tirée par les cheveux à une présence farfelue, absurde voire ridicule mais totalement assumée, l'auto-critique/analyse de von Trier y est plus visible, plus poussée et donc plus amusante et, enfin, le réalisateur danois y montre plus de culot que jamais. Quelle n'est pas la réaction outrée du public quand von Trier auto-référence ultra grassement son Antichrist ! (Il y avait la même chose dans la première partie avec Melancholia, mais en un peu moins obvious tout de même.) Certes, il faut être extrêmement sûr de soi pour oser faire un truc pareil, mais ça rejoint selon moi l'idée que la provocation dans Nymphomaniac n'est pas là où on l'attends. On est beaucoup moins gênés quand Charlotte Gainsbourg se prends 40 coups de fouet par Jamie Bell jusqu'à en avoir les fesses en sang que quand Lars von Trier fait une auto-conversation sur le côté politiquement correct du mot "nègre" ou sur "les bons pédophiles qui ne passent pas à l'acte"... Sans doute des pistes de sujets de conversation pour sa prochaine conférence de presse à Cannes. Oui, en l'état ça peut être choquant, révoltant, douteux, tout ce qu'on voudra, mais c'est surtout très malin et bien trop appuyé pour que ce ne soit pas volontaire. Von Trier s'amuse clairement de ça et, avec un peu de chance, le spectateur éclairé s'en amusera également.
    Je crois que c'était sur le commentaire audio de Melancholia que von Trier disait qu'aucun de ses films ne pourrait un jour se "terminer bien". Après l'éprouvante expérience que fut ce Nymphomaniac, c'est pourtant vers ce quoi il se dirige. Von Trier nous sort la totale ; rédemption, amitié, morale pompeuse sur l'égalité entre hommes et femmes... Et là, on pourrait presque parler de twist ending tant le revirement est à la fois total et inattendu. Après la débauche de bons sentiments, Lars von Trier redevient un pur Lars von Trier et crée cette fin d'un cynisme exacerbé, difficilement supportable pour nous, spectateurs qui nous sommes finalement attachés à ce "bad human being" qu'est Joe. On sort de la salle quasiment aussi sonné qu'à la sortie de la salle de Melancholia.

    Il ne fait aucun doute que Nymphomaniac restera une oeuvre majeure dans la filmographie de von Trier. Il n'a peut-être pas réatteint le pur chef d'oeuvre comme c'était le cas avec Melancholia, mais a en tout cas su innover et proposer quelque chose d'inattendu. Il ne fait aucun doute que désormais chacun de ses films sera attendu au tournant (c'était sans doute déjà le cas mais encore plus après celui-ci) et qu'il continuera d'être autant haï qu'adulé.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 mai 2014
    le second volume que j'ai tant attendu!! un peu désarçonné. il est moins passionnant plus lent. on cherche à comprendre où va l'histoire presque autant que ce cherche le personnage.
    l'ensemble de ce film est perturbant et bien. c'est un bon film.
    donniedarko1
    donniedarko1

    37 abonnés 189 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2014
    Déroutant, la suite de Lars Von trier n'en est pas moins originale esthétique et sublime. Assez violent mais indispensable, rien de tel cette année, un ovni dans l'offre cinématographique tellement formatée actuellement... Une grande réflexion pleine de digressions et des clins d'œil à la trilogie melancholia/Antéchrist et nymph(0)maniac volume 1 avec des emprunts et motifs de répétitions à la fois jouissifs et terrifiants... Un must
    Viintage_dreams T.
    Viintage_dreams T.

    35 abonnés 413 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2014
    Étrange film qui nous laisse une étrange sensation à la fin. Ce film reste dérangeant mais nous donne envie. Ce film paraît gore mais attire notre curiosité. Ce film paraît cruelle mais réussit à nous donner de l'antipathie pour Joe. Ce film est sombre mais éclairé par une obscure clarté qui est difficile à observer. Le message du film, si y'en a un est difficile à décrypter. Charlotte Gainsbourg est vraiment parfaite dans son rôle, son jeu d'actrice est très crédible. La fin est misérable, dégueulasse, mais on a envie de l'accepter. Un film qui marque, selon les personnes, selon les humeurs (le volume 1 m'a plus entraîné que ce dernier), selon vos goûts bien évidemment. Malgré tout, ça reste un film à visionner absolument pour découvrir ce monde mystérieux dont nous fait part Lars Von Trier.
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