Mon compte
    Bande de filles
    Note moyenne
    2,9
    2657 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Bande de filles ?

    284 critiques spectateurs

    5
    16 critiques
    4
    65 critiques
    3
    80 critiques
    2
    65 critiques
    1
    36 critiques
    0
    22 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 novembre 2014
    Ca se regarde tranquillement malgrés des longueurs et quelques scènes un peu caricatural on arrive tout de même à s'attacher aux personnages
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 novembre 2014
    Super film
    Moi et mes amis on a adoré
    J'avoue que sa fais un epux clicher mais lady c'est Sophie sa ma dead
    Et qand elles se sont tap rail ail ail
    Et quand elle se clash dans le metro
    Et tous les bons moments dans l'hotel c'etait telement heureux quand elles ont chanter diamonds ... MERCI ??RIHANA??
    J'ai verser ma petite larme quand elle a dit a Euro Disney et vous etiez belles
    Par contre j'ai pas compris la fin ...
    jloup13
    jloup13

    40 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 novembre 2014
    Si le sujet est novateur et potentiellement courageux, le traitement est assez décevant. Certes l'actrice principale est pleine de qualité et sait être touchante, mais on sent tout de même un certain amateurisme de la part des autres comédiennes et, plus grave, une sensation de précipitation dans la réalisation.
    Céline Sciamma sait très bien filmer, mais elle ne pointe pas toujours sa caméra au bon endroit, et certaines parties du film (les premières vingt minutes puis le troisième acte) sont trop caricaturaux pour émouvoir.
    Restent quelques idées brillantes de mise en scène par ci par là, à commencer par la magnifique scène "Rihanna", la seule qui m'ait vraiment touché.
    BeatJunky
    BeatJunky

    154 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 novembre 2014
    L'introduction laissait présager le meilleur avec ce groupe de filles qui papotent, ca va dans tous les sens jusqu'à ce qu'elles arrivent à la cité... Plus un mot! Ensuite c'est un enchaînement de scènes qui n'ont aucun rapport, qui commencent à aborder un sujet et bing, on passe à autre chose, un autre plan qui n'a rien à voir... dur d'accrocher de cette façon! Cette jeune fille se laisse embrigader bien trop facilement par ces filles qui se la jouent racailles sur leur banc sans qu'on ne comprennent vraiment ses raisons....Bref, Qu'y a t'il à retenir alors? Vivre en banlieue n'est pas simple surtout quand on est une fille, merci pour l'info! Ces filles sont comme forcés de se donner cette image pour avoir l'impression de vivre libre. Voilà ce que j'en ressors. C'est certainement plus profond, mais j'ai trouvé son essai bien trop brouillon pour capter les intentions de Céline Sciamma. Dommage, c'est une déception.
    John Henry
    John Henry

    108 abonnés 708 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2014
    Bande de filles c'est un scénario pratiquement parfait, fin, posé, qui évoque les différentes embuches de ces filles de cité, abandonnées à leur sort, à devoir créer leurs propres repères. Le film parait même avoir l'ambition de présenter avec exhaustivité les différents profils de femmes, les différentes emmerdes qui pourraient leur barrer la route d'une belle vie. Du coup, le film est un peu désincarné, il est un peu osseux, ça manque de chair, c'est un produit théorique et militant, pas un grand film fait de sueurs et de sang.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 novembre 2014
    J'ai vraiment beaucoup apprécier ce film rempli de vérités sur ce qui se passe au sein d'une cité, l'aisance des actrices dans leurs rôles.
    Je recommande vraiment ce film !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 10 novembre 2014
    Dur, lunaire et réaliste, un peu trop expéditif peut être vers la fin, on en ressort perturbé, la bouche sèche, peut être trop.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 10 novembre 2014
    J'avais adoré Tomboy, j’avais donc hâte de découvrir le nouveau film de Céline Sciamma. Plein de sujets intéressants, mais j'en suis sortie un peu déçue. La faute a un scénario qui prend un peu trop de place et qui fini par noyer le film dans un souci de dramatisation. Autant ça marchait très bien pour Tomboy, autant là ça fait un peu trébucher le film. Dommage.
    J'ai trouvé que le jeu des jeunes comédiennes manquait un peu de justesse et de spontanéité par moment.
    20centP
    20centP

    17 abonnés 235 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 novembre 2014
    Un film attachant sur les adolescentes dans les cités. La beauté formelle de la réalisation de a fonctionne pour moi ici davantage que dans son précédent film. Qq. scènes un peu étirées mais l'ensemble est plutôt réussi. Les jeunes actrices donnent bien corps à leur personnage. Attachant !
    mazou31
    mazou31

    98 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 novembre 2014
    Belle réussite que ce film bourré d’énergie et d’humanité. Un film riche, documentaire par certains côtés, qui traite de l’émancipation adolescente dans un milieu que peu connaissent, corseté dans la gêne financière, les codes, l’isolement. Jamais facile de s’en sortir. C’est noir mais chargé d’espoir car l’énergie, la combativité et la solidarité sont fortement présentes. L’interprétation par toutes ces débutantes est remarquable, avec une mention à Karidja Touré qui crève l’écran de son regard et de sa présence. Sans omettre la science du cadrage et du décor de la réalisatrice qui réussit là un autre sacré film après Tom boy.
    Noah S.
    Noah S.

    6 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 novembre 2014
    Enfin un film réaliste sur la banlieue ! Les actrices sont géniales et Céline Sciamma est une grande réalisatrice. Bande de fille nous éclair de façon touchante et souvent très drôle sur ce que c'est d'être une fille dans la banlieue parisienne. Le film a toute fois tendance à tirer en longueur et montre la vie de ces filles de façon un peu trop documentaire. Un très bon film tout de même !
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    24 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 novembre 2014
    On attendait ce film avec circonspection : les deux premiers de la réalisatrice avaient tellement plu qu'on pressentait une suite en mode mineur. Oui et non. Oui, c'est un poil en deça des deux premiers et la fin est un peu ratée. Non, cela reste un bon film et le sujet était "casse-gueule" mais elle s'en sort bien. La faute à la qualité de réalisation, toujours au rendez-vous, et à la direction d'actrices, qui sont excellentes (la principale d'entre elles, K. Touré, est vraiment remarquable) . Et puis, trente ans après, mutatis mutandis, on semble revivre Les nuits de la pleine lune, mais cette fois qu'avec des filles, quoique Fabrice Luchini en est aussi une merveilleuse dans son genre et Pascale Ogier (sans commentaire, trop de regrets). Mlle Sciamma, continuez, s'il vous plaît, encore à nous enchanter et nous apprendre toujours plus sur cette si merveilleuse part de l'humanité.
    Roman G.
    Roman G.

    19 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2014
    Détonnant, déroutant, une œuvre sur la place des femmes et Jeunes Filles en Banlieue. Mais aussi sur l'avenir que l'on transmets à ces nouvelles générations. On en sort désorienté !!! A voir .
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 novembre 2014
    Belle surprise! Film émouvant, drôle et plutôt réaliste.Sans tomber dans le cliché ou la moralisation il nous plonge dans le quotidien de jeunes femmes vivant dans la réalité "de la cité", on en sort avec un regard différent..
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 7 novembre 2014
    Ce film de par son ambition ultra-réaliste pour dépeindre le quotidien à la fois haut en couleurs et glauque de jeunes filles noires issues des banlieues défavorisées s’enferre hélas trop dans cette réalité faute de la transcender. En effet, dès le départ, leurs comportements évoquent un désir paradoxal, à la fois, de retour aux racines tribales par le biais d’attitudes et cris d’animaux ainsi qu’un désir inaltérable de nouveauté et d’affranchissement social. Tout ceci en réaction à cette soumission aux hommes laquelle s’avère non seulement trop ostentatoire mais les précipite d’autant plus dans une schizophrénie les faisant alterner tantôt vers des statuts de bourreaux intimidantes tantôt de victimes désarmantes.
    Les seuls autres acteurs de confrontation qui s’offrent à elles s’érigent comme étant d’autres congénères, leurs familles et une représentation très accessoire et transitoire du système éducatif. Mais sont relégués totalement au titre d’abstraction tous les « autres », en l’occurrence la société dans sa diversité sociale, morale et culturelle. En effet, nous ne partageons leur réalité qu’en comapgnie de leurs voisins de cités ou familles au détriment de réelles confrontations avec des individus étrangers à leurs microcosmes.
    Entre racket, décrochage scolaire, vols à l’étalage et pugilats verbaux et physiques, à défaut de passer en section supérieure,
    ces filles excellent en section « loubardes » exigeant d’elles des singulières aptitudes.
    Ce qui est dommage, c’est que ces rebelles manquent cruellement d’idéaux hormis l’instinct de domination sur les autres, les réunions intimes et festives à l’écoute des chansons de Rihanna et la séduction facile. Leur misogynie qui leur est inspirée avant tout par leurs familles et les hommes du quartier les empêche de faire évoluer leurs préjugés. Quand l’une prétexte à l’autre la perte de ses cheveux par l’assaut injuste d’une coupe faite par un père irrespectueux et tyrannique, elle passe sous silence la difficulté d’assumer la perte de féminité et donc d’identité au travers de l’absence de perruque les obligeant à affronter leur image véritable. Quand elles revoient leur ancienne acolyte de bande devenue jeune mère, on en vient à se demander si l’alternative n’est pas trop réductrice sur les opportunités d’épanouissement personnel : maternité ou délinquance ? Les études semblent hélas exclues de par l’aspect faussement émancipateur des 2 premières échappatoires où règnent alternances de rivalités et de réconciliations par lesquelles leurs égos faillibles ouvertement « surdimensionnés » se construisent.
    Ainsi, à l’instar de quantités de films relatant les dérives propres à l’âge ingrat et ce d’autant plus dans un cadre et une époque difficile, la fascination procurée par ce film fonctionne d’autant plus chez leurs semblables mais aussi chez les spectateurs qui ne sont pas régulièrement exposés voire importunés par leurs frasques. En effet, ils appréhendent le film comme une plongée unique et inédite dans un monde inédit à l’image d’un documentaire traitant d’une couche de population trop longtemps négligée. L’approche ethnologique du film a beau permettre ce regain d’intérêt, la dimension personnelle de renouvellement positif et constructif à travers des valeurs pas si idéalistes telles que l’élévation intellectuelle et spirituelle qui aurait pu nous faire sublimer leurs vécus et psychés est vraiment trop sous-exploitée.
    Et malgré les deux occasions au cours desquelles on les voit se balader et se réunir hors de leurs cités nous renvoient à chaque fois à leurs invectives bruyantes et agressives avec d’autres bandes de filles noires, la réalisatrice laisse dans la plus totale abstraction les réactions des gens autour, en l’occurrence les usagers du métro et le tenancier de la sandwicherie. Ils sont comme littéralement « gommés » et tenus complètement à distance face aux bruyantes élucubrations destructrices de toute tranquillité et donc de respect des autres. La totale absence de feed back des gens autour les fait apparaître tels des amazones fières et insouciantes de mortifier tous ceux amenés à les croiser. En faisant la part belle à une telle impunité d’attitude, le film perd en crédibilité voire pire, semble la cautionner.
    Faute d’accepter de pouvoir continuer à mener sa vie d’amazone urbaine, le choix de vie que fait l’héroïne Marieme paraît une fois de plus trop partial en offrant un choix de vie des plus manichéens : vivre avec son amoureux le bonheur trop lisse des gens normaux ou la « liberté » de se livrer à un mode de vie marginal.
    En voulant fuir la répétition des mêmes schémas, et surtout ceux liés à sa condition féminine qu’elle trouve aliénants, Marieme s’enferme dans leurs équivalents masculins, propres au marchés parallèles rendant sa quête d’identité encore plus douloureuse.

    C’est pourquoi, je crains que ce film vienne conforter les groupes de filles (Les fatous) issues de ces communautés noires de banlieues qui n’ont hélas rien à envier à leurs homologues masculins en termes de comportements, belliqueux, provocateur et fortement bruyant. En effet, les mettre en scène a certes, le mérite de dénoncer un univers difficile jalonné d’humiliations, de désespoirs et d’agressions dans lequel ces filles sont contraintes de surnager et d’exister. Mais ce film, en exaltant cette part de folie dont elles peuvent faire preuve dans leurs quotidiens et à tout moment (pourvu qu’elles soient en groupe) pourrait aussi leur donner raison de se complaire dans des positions frisant parfois l’hystérie révélatrice de leurs psychés en construction dont elles usent et abusent à l’égard non seulement des machos traditionnalistes et injurieux ainsi que de leurs rivales féminines mais aussi à l’égard de tout individu mécontent ou porteur de regard désapprobateur à l’égard de leurs attitudes. En effet, le simple fait d’être importuné par leur bruyante, extravagante et souvent excessive exubérance de groupe (parmi lequel elles se sentent surpuissantes) et de le leur manifester peut déchaîner leurs foudres. J’ajouterais que si l’individu en question a l’inconvénient d’être de race blanche, de sexe féminin et d’un âge jeune à moyen, la
    recrudescence de leur mépris et de leur animosité peut s’avérer d’autant plus forte.

    La seule "babtou" (femme blanche) à laquelle les filles se confrontent s’incarne en une vendeuse de vêtements soupçonneuse de les voir déambuler lascivement à travers les rayons en recherche d’opportunités pour commettre quelques larcins. Or, même s’il n’y a rien d’exceptionnel à ce qu’une vendeuse après réception de consignes soit méfiante à l’égard d’une bande de filles aux regards à l’envie et la frustration un peu trop appuyés, cette confrontation ne fait que mettre davantage en exergue une interprétation au détriment de l’autre au risque d’en déséquilibrer la portée morale : la discrimination raciale pousserait les jeunes issus de l’immigration aux actes délictueux par revanchardise et goût pour la provocation gratuite. Pourtant, bien sûr, ce parti-pris implicite n’est pas défendable pour autant que l’élan du groupe soit tout aussi responsable il n’en est hélas non moins blâmable.
    C’est pourquoi, pour ce film, il serait important, en parallèle à son encensement pour ses qualités et l’originalité de son sujet, d’en signaler les éventuelles dérives en termes d’influences sur les sujets réels représentés…
    J’en veux pour preuve que celui ou celle qui n’a jamais ou a été trop peu confronté à l’extrême égocentrisme et à l’arrogance, en clair, à l’impolitesse dont certaines font preuve notamment dans les gares, magasins ou lieux publics situés dans les grands axes de transport en commun tels que Chatelet les Halles ou St Denis, vont voir ce film en marge du problème identitaire d’une partie de la société dont elles sont le symptôme. Et ils resteront ainsi au sens propre comme au sens figuré de simples spectateurs…
    A l’exception de l’avoir vécu et subi soi-même, en ayant eu l’audace, le courage (ou la bêtise diront certains) de les interpeller et de les affronter dans le seul but de les inviter à modérer en public leur exubérance. Crime de lèse-majesté oblige, leurs réactions est que tantôt elles se foutent « superbement » de vous d’un air méprisant agrémenté de rires de mouettes ou vous crachent au visage toute leur rage et leur inculture (références socio-culturelles bling-bling et fautes de français à l’appui) pour traumatiser le/la pauvre quidam ayant osé perturber leur tranquille impunité. Car au final, ces bandes de filles, en recherche d’identité et d’affirmation de soi, à force d’être maltraitées, ont la fâcheuse tendance à faire de leurs réflexes de défense une réaction systématique à l’encontre de la moindre personne en désaccord avec leurs comportements. C’est ce qu’on pourrait appeler un amalgame de paranoïa relationnelle…

    Alors, oui ce film est salutaire s’il permet de sensibiliser les gens (voire les intéressées elles-mêmes) à un réel problème de société inquiétant sur l’aliénation morale et mentale que subissent ces jeunes filles noires tout en dressant les jolis portraits qui se cachent derrière leur masque social en vertu duquel néanmoins elles s’inventent un personnage à la fois glorieux et populaire mais hélas peu compatible avec la vie en collectivité. Car à force de compenser leurs complexes à travers une conviction de supériorité ouvertement assumée qui les font se prendre pour des déesses, elles ont tendance à se transformer trop souvent à la moindre petite remarque ou regard agacé en effrayantes hyènes, une image révélatrice de leur surenchère émotionnelle assez indigne pour des demoiselles en quête de respect…

    Par conséquent, ce film serait intéressant s’il ne prenait pas le risque (assumé ou pas) de servir d’exemple pour les jeunes noires en terme d’attitudes, de collusions et de choix de vie pas si épanouissants qu’il n’y paraissent sous peine de les exclure un peu plus d’une société à l’indulgence limitée.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top