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Manon
3 critiques
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4,5
Publiée le 2 septembre 2024
J'ai découvert ce film par hasard et ça a été une très belle surprise. C'est un très bon thriller psychologique romantique avec une bonne intrigue du début à la fin.
Pour ma part, j'ai trouvé ce film long et ennuyeux, indépendamment de la qualité des acteurs... On ne sait pas trop où veut nous mener le réalisateur si ce n'est à nous faire bailler ...
Les grands moments de cinema ou de serie je trouve , s'incarnent quand on s'attache aux personnages au point qu'a la fin ... un sentiment de tristesse vous envahi... on plonge ici dans les coulisses du film mythique le parrain ...
la photo est superbe, la lumiere incroyable , on se croirait au cinema ... Le protagoniste principale est pour moi (avec tout le casting) la valeur sur de cette serie qui oscille tantôt en tre action mais aussi moments d'intimité sans que jamais l'ennuie ne vienne ...
On sent le travail de titan , les dialogues au couteau, au millimètre... Les idées sont la et ils servent toujours l'émotion , rien n'est gratuit ...
une scene magnifique, quand la camera est dirigée sur les yeux des spectateurs et ou on peut voir l'emotion des gens devant le film... a voir et a revoir pour donner des lecon de cinema et prendre du plaisir ... Un incontournable pour les amoureux du grand cinema !!!
Vraiment, je ne comprends pas la note de ce film. Que d'atermoiements ! Je veux. Non je ne veux plus. Si en fait je veux. Ce "thriller romantique" n'a rien d'un thriller. Les ficelles du scénar sont énormes. Pour le romantisme, je suis dépassé par la niaiserie des sentiments dépeints... Passé la première demi-heure, on sombre dans un ennui total. Le film reprend une heure plus tard pour une fin totalement convenue et sans surprise.
Le suspense est bien là, tout le long film on se pose des questions, on nage en plein mystère. L'interprétation de Geoffrey Rush est remarquable. Belle image et bon rythme.
Un début assez accrocheur, même si le déroulement de l'intrigue est sans surprise : on se doute bien que le pauvre Geoffrey Rush va se faire avoir ! Mais il y a des films comme ça qui ont un charme et une saveurs particuliers, qui font qu'on s'en souvient longtemps après les avoir vus, me^me si sur le fond il n'y a rien de révolutionnaire ! Est-ce le personnage campé par Geoffrey Rush, tout en retenue, qui finit par sortir de son costume impeccable, à la fois cultivé et guindé, précieux et ridicule, touchant de naïveté et pédant, qu'on finit presqu'à plaindre quand il se rend compte combien il est détesté par ses amis ? Ou la mise en scène parfaite de Guiseppe tornatore, avec de image parfaitement léchées, la musique d'Ennio Morricone ou la crinière blanche de Donald Sutherland ? Un très bon divertissement...
A l’instar de l’automate de Vaucanson, ce « The best offer » est une admirable mécanique, ingénieuse et sophistiquée. Qui relève du film sentimental, par la relation entre Virgil et Claire, du thriller, par un scénario qui multiplie intrigues, surprises et découvertes, et du film fantastique, par l’ambiance qui le baigne. C’est autour de la question du vrai et du faux, de l’authentique et du contrefait, que Giuseppe Tornatore a construit son histoire, les questionnements sur le sujet dans le domaine de l’art s’appliquant aussi dans la vie ; le faux peut il parfaitement imiter le vrai ? N’y a-t-il pas dans toute falsification une forme d’authenticité ? Histoire parfaitement racontée, avec des dialogues incisifs, un rythme et un montage efficaces, et une habile façon de susciter la curiosité et de distiller l’inquiétude. Le dernier plan, par un lent mouvement arrière de caméra centré sur Virgil, fait découvrir au spectateur de multiples engrenages et rouages, qui symbolisent à la fois les machinations dont les hommes sont capables et le fonctionnement du cerveau, …qui peut être déréglé. Cette conclusion est à la hauteur d’un film que n’aurait certes pas renié le Mankiewicz du « Limier ».
Un bon film qui mêle habilement romance et thriller. Il nous fait découvrir le monde du marché de l'art à travers ce personnage de commissaire (magnifique Geoffrey Rush) qui tombe amoureux d'une mystérieuse jeune femme agoraphobe qui vit cloitré dans une immense maison et qui souhaite vendre sa collection d'art. Une sorte de jeu de chat et la souris va naitre entre ces deux personnages. Le scénario est prenant et réserve quelques surprises jusqu'au bout.
Voilà une découverte surprenante chez Tornatore, autour d'un Cinéma paradisio qui illumina sa filmographie. Le personnage maniaque, mysogine et cassant de mr Oldman (Geoffrey Rush) domine la grande majorité du film, d'autant que la jeune nymphe dont il va tomber amoureux a tendance à jouer à cache-cache avec lui. D'autant que les personnages autour de lui sont éclipsés par sa stature, à l'exception de ce jeune horloger hyperdoué et méthodique. Morricone compose des airs légers dont on pourrait se dire qu'il ne sont pas entièrement originaux, mais parfois des variations de ses meilleures créations. La chute est brillante et ne rougirait pas devant un Hitchcock, on peut seulement regretter que la longueur du film nuit à sa densité et nous laisse le temps de nous interroger sur le genre de film que l'on regarde. TV1 vo - avril 21
Ce n'est pas avec ce film que j'ai découvert le réalisateur mais Geoffrey Rush en tout cas, que j'ai du apercevoir dans plusieurs films auparavant sans le remarquer. Ici il joue le rôle principal d'un marchand d'art redoutable et sans scrupule, épaulé par un D. Sutherland charmant. Le scénario original nous livre une belle histoire d'arnaque à laquelle, il faut bien le dire, on ne s'attend pas. C'est bien fait, subtil et la présence de la naine n'est pas anodine. A se demander pourquoi on met un titre en anglais pour un film italien: s'il faut changer le titre autant prendre un titre français ou garder l'original selon moi.
Geoffrey Rush compose avec brillance, commissaire priseur solitaire et méprisant, seulement mû par sa passion pour l'art, jusqu'a ce qu'une rencontre vienne bouleverser son quotidien ronronnant. La narration est réussi et fluide, on prend plaisir devant ce film qui vous intrigue très vite et on finit décu. Le problème, c'est qu'après vingt minutes, on se doute très fort de ce qui va se passer...et le pire c'est qu'on ne se trompe pas. Le portrait si bien entamé de cet homme finira même par perdre son acuité initiale quand les seconds rôles ont bien peu d'épaisseur à offrir. On se consolera grace à la mise en scène assez virtuose de Guiseppe Tornatore, les tableaux et oeuvres d'art qui ponctuent le film, voire avec le score d'Ennio Morricone (qui a puisé dans Il était une fois l'Amérique) mais on a l'impression d'etre passé, de peu, à coté d'un grand film
Un thriller sentimental intriguant et élégant en dépit de quelques lourdeurs, sur un commissaire-priseur bien coinssos découvrant que l'amour est le seul art qui résiste à toute expertise, interprété par le très raffiné Geoffrey Rush.
Un film inattendu, un film rare. Aussi captivant qu'intriguant, le récit nous ensorcèle... sans nous trahir. Que dire sinon de l'acteur principal qui nous fait une démonstration. Ce film parle d'art, sans oublier qu'il appartient au 7ème. A voir, mais à voir pleinement (sans être distrait)