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    Jeune & Jolie
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    3,3
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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 22 septembre 2013
    en un mot : MOUAIS..
    Isabelle est belle, jeune, et n'a a priori aucune raison de se prostituer. Tout arrive comme un cheveu sur la soupe, tout tombe du ciel et rien n'est expliqué, ce qui laisse le spectateur perplexe...
    Marie B
    Marie B

    1 abonné 35 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 septembre 2013
    Si ça continue comme ça, le cinéma français est de plus en plus mal barré...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 22 septembre 2013
    Un film sans beaucoup d'intérêt. Le personnage principal tenu par Marine Vacth est détestable de par son caractère mais aussi incompréhensible : pourquoi commence t-elle à se prostituer ? Pourquoi finit-elle par arrêter, pour recommencer peu de temps après ? Ce film n'a pas d'aboutissement, et semble vide. Les jeux sont surjoués, certaines scènes sont presque ridicules. Aucun attachement ne se crée avec un des personnages. Les scènes de sexe semblent être présentes pour remplacer un vide important dans l'histoire. Un film insignifiant, à ne pas aller voir pour ceux qui aiment le "vrai" cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 septembre 2013
    "Jeune & Jolie" n'est pas, comme je le pensais, un film sur la prostitution tel que "Elles". C'est un portrait d'une jeune fille de 17 ans qui fait l'expérience de sa sexualité. Isabelle est mystérieuse, provocatrice et a priori différente des autres. Une seule question nous tenaille pendant tout le film : Qu'est-ce qui la pousse à faire ça ? Elle vit dans un milieu aisé et ne manque de rien. Elle semble avoir une vie sociale (ce qui est un peu difficile à avaler : elle n'ouvre la bouche que pour proférer des monosyllabes) et elle possède une beauté frappante. Qu'est-ce qu'il se passe dans sa tête pour qu'elle est envie de se lancer dans la vente de son corps ? Crise d'adolescence ? Provocation ? Ennui ? La réponse ne nous sera pas précisément donnée. Au niveau esthétique, le film mérite un 5/5, les plans sont magnifiques et la beauté de Marine Vacth envahit l'écran.
    Thibaud G
    Thibaud G

    42 abonnés 174 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 septembre 2013
    Enfin un film hexagonal réussi et qui se démarque. Quel soulagement après un désert cinématographique français où seuls d'énormes blockbusters US indigestes et sans âme étaient à l'affiche. Désespérant... Mais voici un petit bijou, bien filmé, déroutant, avec un sujet casse-gueule s'il en est. Pourtant, on se surprend à s'attacher à cette jeune fille qui s'adonne à la prostitution. Pas de racolage, pas d'effet facile, tout sonne juste. Et le spectateur n'a pas l'impression d'être pris pour un imbécile : tout n'est pas expliqué, appuyé, la jeune fille n'est pas condamnée et il n'y a aucun racolage, c'est à lui de prendre position. Bravo pour l'actrice qui s'en sort formidablement alors que cela aurait très vite pu tourner au sordide, au voyeurisme. Félicitations à Ozon une fois de plus qui nous livre une oeuvre maîtrisée de bout en bout et merci pour la scène avec Charlotte Rampling !...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 septembre 2013
    François Ozon a plusieurs manières de faire du ciné et jolie relève de sa meilleurs veine, celle d'un cinéma d'observation qui tourne autour d'un manque:le deuil,Dans sous le sable,une sexualité adolescente déviante dans réalise également des comédies parodiques comme 8 femmes ou Potiche assez ré est moins à l'aise dans le romanesque convulsif comme Angel ou Dans la maison.

    La force de Jeune et jolie repose sur une mise en scène élégante et l'apparition d'une jeune fille à l'écran d'une présence étonnante.

    Le film illustre le célèbre aphorisme de Lacan:il n'y a pas de rapport sexuel et il montre une adolescente qui ne sait pas articuler désirs et sentiments et qui se prostitue sans autre raison que cette béance qu'elle ressent et qu'elle comble par le trouble du désir qu'elle suscite et la preuve en argent qu'elle en retire.

    Ce comportement scandaleux met en crise les adultes:parents,clients,femme de client,mais le film montre que plus apaisés,ils ne s'en tirent pas beaucoup mieux que l'adolescente.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 22 septembre 2013
    Scénario complètement inconsistant, des acteurs qui minaudent, des dialogues horrible et beaucoup de bâillements, de trépignements sur son fauteuil. Bref, pas le meilleur du film du réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 septembre 2013
    Très beau film, plein d'émotion, d'intensité, magnifiquement joué.

    À voir très vite ... Rien de graveleux malgré le sujet ... tout est dépeint avec retenue malgré la gravité du sujet
    dvd dog
    dvd dog

    4 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 septembre 2013
    Le réalisateur François Ozon réussit à décrire avec grande subtilité le parcours sentimental d’Isabelle, une adolescente de 17 ans et cela à partir de son anniversaire fêté en famille et puis à Paris. Peu à peu ce film révèle un immense manque d’affection chez Isabelle. Aussi ce manque est la cause réelle qui va motiver un instinct de rébellion chez cette adolescente contre l’autorité familiale. C’est également cette même insoumission qui va la conduire dans ce nouveau monde : un labyrinthe de couloirs et de chambres d’hôtels anonymes.

    François Ozon nous montre que malgré cette errance d’Isabelle, c’est bien de l’affection et une forme d’amour paternel qu’elle recherche, en vain, chez ses clients et dans ce monde vide d’affection et d’amour. Si au départ il semble que les parents d’Isabelle lui fournissent tout l’amour qui lui est nécessaire, les paroles qu’elle échangera avec l’un de ses vieux clients va bien prouver que cela n’est pas le cas.

    L’attitude d’indifférence et du manque de pragmatisme très bien joué par l’acteur du beau-père d’Isabelle envers la nouvelle situation de Véronique ne fait que renforcer un sentiment de climat de lourd indifférence, ou alors est-ce le désir de ne pas vouloir comprendre, de fuir cette situation embarrassante pour les deux parents de l’enfant ? L’attitude d’Isabelle ne représente-elle pas une sorte de menace pour l’unité petite bourgeoise de cette famille ?

    Mais le réel drame pour Isabelle réside dans le fait qu’elle ne se retournera jamais vers la vie ‘dite normale’. Depuis qu’elle entre dans ce nouveau monde, les hommes et les femmes qui en font partie ne sont plus pour Isabelle que des objets de jeu, de phantasmes et qui existent pour être manipulés. La porte s’est refermée pour toujours derrière elle et Isabelle ne sait plus aimer.

    François Ozon décrit très bien ce phénomène par la suite dans le court histoire d’amour qu’Isabelle va vivre avec un étudiant.. ..Elle décide sur un coup de tête de l’aimer et de le rejeter quelques semaines après, sur un même coup de tête. Une aventure ou un jeu comme un autre.. …Où l’amour n’existe pas, plus jamais.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 septembre 2013
    Très bon film! Il arrive à traiter son sujet, avec une forte charge érotique, sans tomber dans le graveleux ou le voyeurisme. Je pense à une version contemporaine d'Emmanuelle, à la fois plus froide, et plus "border line". Par un de ces hasards bienvenus, il est encore à l'affiche lorsque sort un rapport parlementaire sur le même thème. La député aurait beaucoup gagné à venir au cinéma. Elle aurait pu percevoir une part de la réalité et de l'imaginaire français. Celui qu'elle confond avec le ruisseau des immigrées qui se prostituent à la chaine sous le contrôle de passeurs/proxénètes. Nous ne sommes plus à l’heure de Zola ou de Marthe Richard. Au contraire, le film est une réflexion quasi philosophique sur la liberté, la responsabilité, et la loi. Une toute petite réserve, inutile d’en faire trop !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 septembre 2013
    Jeune et jolie est ce film dont on a pas mal entendu parlé avant sa sortie .Et c'est aussi un bon film qui est surtout bon pour son actrice Marine Vacth qui joue parfaitement bien ce rôle de femme dont on ne comprend pas les idées et dont on ne sait pas ce qu'elle veut .Dans ce film ce qui est vraiment fort c'est le fait que la soit disant léa ne se prostitue pas pour avoir de l'argent et mieux vivre mais bien juste pour l'éxperience dont elle prend gout au bout d'un moment mais le spectateur n'en a pas l'impression car elisabeth dans le film n'a pas l'air heureuse à un seul moment . Mais jeune et jolie a aussi des défauts comme par exemple sa lenteur qui peux vite lasser... Ce qui est aussi amusant , c'est la facon dont elle parle a son petit frère ( sans aucun tabou) avec comme argument le fait qu'elle soit sa soeur alors que lui ne sait rien d'elle. On retrouve aussi ensuite notre héroine essayer d'autres métiers comme le babysitting et on voit qu'elle gagne beaucoup moins qu'en se prostituant . Le beau père (fréderic Pierrot ) a aussi un bon rôle avec les enfants et leurs intimité . Au final on peut tirer un certain humour dans ce film . Mais ce film reste un drame et des moments sont vraiment dur et tristes comme le fait que l'héroine ne puisse se passer de se prostituer ou le fait qu'elle des rapports très compliqués avec sa mère ou alors qu'elle est un comportement de "pute" avec son beau père après le babysitting. Jeune et jolie est donc quand même un bon film dramtique à voir!
    Parkko
    Parkko

    159 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 septembre 2013
    Chez Ozon, il y a des choses à garder, d'autres à jeter. Avec Dans la maison, François Ozon avait peut-être signé un de ses meilleurs films, et maintenant, avec Jeune & Jolie, il en signe un nouveau très intéressant. On est quand même bien loin d'un Potiche ou du temps qui reste etc. Là, on est dans du bon Ozon. Le film est vraiment intéressant, c'est pas un film sur la prostitution, alors c'est vrai que c'est un peu facile de le critiquer sur le fait qu'il ne montre pas le côté vraiment sordide et affreux de la prostitution, c'est pas ce que montre le film. Le film s'intéresse plutôt à une crise d'adolescence, et en ça il est vraiment réussi. On ne sait pas pourquoi cette histoire commence, mais on s'en fout. On y croit complètement. J'ai trouvé ça vraiment léché visuellement, y a des idées de mise en scène, c'est vraiment un bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 septembre 2013
    Difficile de passer après le vicieux Dans la Maison au scénario et au jeu d’acteur plutôt élaboré. Dans ce nouveau film d’Ozon, on trouve une certaine simplicité : l’année de ses 17 ans, Isabelle (le mannequin Marine Vacht !) se lance dans la prostitution sans raison apparente. On suit ses péripéties sur toute une année, une chanson (de Françoise Hardy) par saison. Pas de détours alambiqués ni de manipulations excessives.

    Si les prestations d’acteurs semblent avant tout inégales (Marine Vacht accapare toute l’attention), le film s’octroie tout de même un certain charme dans l’indolence. Même irrégulier, le rythme bénéficie de la succession des saisons, ce qui permet de relancer la narration avec de longues ellipses simples, sans paraître trop artificielles.

    L’atout majeur de ce film réside dans sa vision de la prostitution sans complaisance ni moralisme. L’enjeu n’est pas de dénoncer mais de raconter ce qui aurait pu être une fable. D’où une certaine impuissance explicite de la psychanalyse.

    Malgré un semblant de critique de la bourgeoisie, Ozon nous offre un film léger sur un sujet que l’on envisage que sérieusement, où le drame n’est pas nécessairement une tragédi
    Eloch
    Eloch

    4 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 septembre 2013
    C'est le film d'un détachement, le film d'un apprentissage et surtout le film de l'affirmation, bien que difficile et timide, d'un être à part entière. Isabelle a beau être jeune et jolie, elle est aussi fragile et vaguement provocatrice. Pourtant, c'est sans désir, ni même dévergondage qu'elle se lance dans la prostitution, avec un sourire qui en dit long... Un sourire, non pas de satisfaction mais de mélancolie, celui d'une clarté qui lui fait posséder son corps tout autant qu'en faire prendre possession. Qu'elle soit face à la brusquerie de certains clients où à la douceur (presque) perverse de Georges, le client plus "exceptionnel". L'amour, elle ne le connait que très furtivement, elle le vit comme une jeune fille de 17 ans et elle le perd aussi dès que survient, chaque fois l'acte sexuel où le plaisir s'invite sans que cela ne soit clairement signifié au départ.

    Ce n'est pas ici le portrait d'une adolescente lambda qui découvre la transgression mais plutôt la naissance au monde d'une jeune femme. Une jeune femme que Marine Vacth illumine d'une présence inoubliable. Ce n'est pas tant sur sa beauté que s'arrête la caméra mais sur cette présence entêtante, ce faible sourire, qui en font un souvenir fort. C'est un personnage à la fois fantomatique et extrêmement réel mais surtout c'est une incarnation par l'actrice à la fois agaçante et extrêmement touchante voire bouleversante.

    Et Ozon dans tout ça ? Il est à l'image du petit frère qui observe avec ses jumelles, qui arpente le chemin du désir et de la découverte, qu'on protège mais qui entend tout... Il veut envahir tout l'espace, percer les secrets, montrer mais avec un regard encore "pudique" dans le sens où aucune image de sexe, jamais, n'est explicitement sale dans ce film. Les scènes sont là mais toujours coupées au moment opportun, jamais totalement voyeuses, jamais totalement pures. Il n'y a alors aucune vulgarité. Et dès lors, si Ozon tout comme le petit frère veulent saisir Isabelle, c'est dans son intégralité, sa personnalité entière et sa construction présente et à venir qu'elle échappe. Il y a cette part latente de mystère qui fascine, qui ne s'accorde à aucune saisons, qui accepte l'ironie (en chansons ou en succession de plans en parfait décalage). Isabelle est comme le passage d'une saison à une autre: brusque et douce à la fois. Changeante, mouvante mais aussi cyclique et en variation constante, avec toujours dans le visage quelque chose de connu, d'apprivoisable tout autant que de variable... Une symphonie où la morale est absente, où tout échappe aux explications, ou personne ne comprend vraiment tout en voulant juger, sauf peut-être le réalisateur, qui laisse le temps à Isabelle de grandir, de chercher et même de comprendre...D'aller au bout d'elle-même, sans n'avoir encore rien vu de la vie que d'autres seront prêt à lui livrer (peut-être même sous les traits de Charlotte Rampling).
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 septembre 2013
    grande deception : ce film traite d'un vrai sujet de notre temps mais avec si peu d'intérêt ...que de longueurs et de lieux communs, dommage...
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