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Orno13
13 abonnés
614 critiques
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3,5
Publiée le 24 août 2024
Apres l excellent case départ, le duo njigol et éboue ont rempilé dans cette 2ème comédie. Le crocodile de botswanga met en scène un agent véreux joue par eboue accompagnant son joueur star dans le pays de naissance de sa mère décédée, ils sont invités par le dictateur du pays joue par njigol cruel mais aussi pathétique, tellement pathétique que cela va amener à des scènes drôles. On retrouve tout au long du film cette humour grinçant présent dans leur film précédent , dont personnellement j y suis sensible, c est la raison principale qui m a fait apprécier ce film.
un film qui essaye de sortir du politiquement correct , raison pour laquelle j'accorde quand même 1.5 étoile. Mais en dehors de cette tentative c'est plat on en vite fait le tour des personnages et le film enchaine les répétitions. Une bonne idée mais qui débouche sur le néant
"Le Crocodile du Botswanga", sorti en 2014, est une comédie française qui m'a laissé sur ma faim. Le film, réalisé par Lionel Steketee et Fabrice Eboué, suit un footballeur franco-béninois, Leslie Konda (Jacky Ido), et son agent Didier (Fabrice Eboué) invités par le dictateur du Botswanga, le Président Bobo (Thomas Ngijol). L'idée de base, satirisant les dictatures africaines et le monde du football, aurait pu être prometteuse, mais l'humour reste souvent grossier et manque de finesse.
Les blagues tombent parfois à plat, et le ton oscille maladroitement entre comédie loufoque et satire politique. Fabrice Eboué, que j'apprécie habituellement pour son humour noir et incisif, ne parvient pas à insuffler la même énergie à son personnage. Thomas Ngijol, bien qu'amusant par moments, devient vite répétitif et prévisible. Le film tente de critiquer les régimes dictatoriaux et les comportements opportunistes, mais le message reste superficiel et peine à provoquer une réflexion chez le spectateur.
En conclusion, "Le Crocodile du Botswanga" promettait beaucoup mais livre peu. Malgré quelques moments amusants, le film souffre d'un humour inégal, de personnages stéréotypés et d'un manque de profondeur dans son message. Une déception pour ceux qui attendaient une satire incisive et percutante.
Ce film comique français est une bonne surprise. L'humour noir est omniprésent avec des blagues sexistes, racistes, vulgaires, très sexualisés par moment spoiler: (la scène où on voit Didier se faire une poupette gonflable est très bien amené.) qui font très souvent mouches. J'ai bien aimé le côté faussement angélique de la copine du joueur de foot qui est au final très vulgaires et vénal spoiler: (la scène où elle montre accidentellement son sein est magique et drôle) . J'ai aussi adoré les citations de Bobo qui sont magnifiques. La réalisation permet aux blagues de bien fonctionné notamment grâce à son rythme.
Malgré tout, on est devant un bon petit film sans grande ambition qui fait très bien son travail. Ceux qui aiment cette humour, je vous le conseille.
Je suis un partisan de l'humour du duo Ngijol - Eboué. C'est étrange de voir Eboué avec une nouvelle coupe de cheveux. Je pense que l'Inde devrait également avoir un ministre des cabinets.
Ce film est une comédie satirique et caricatural des régimes totalitaire qu'on peut retrouver dans notre monde. Il tourne en dérision tout les clichés de ce genre de régimes en mettant l'humour de Fabrice Eboué et Thomas Njigol, qu'on a déjà vu dans case départ. Un film drôle a voir avec du second degrés
Sans être une énorme daube, Le Crocodile du Botswanga est une comédie sympathique mais qui ne propose pas grand-chose. Les blagues ne volent pas toujours très haut même si le film offre parfois son lot de message sous-jacent. Au moins, Thomas Ngijol excelle en dictateur africain et Fabrice Eboué semble lui aussi à l'aise avec son personnage. Malheureusement le reste est bien trop pauvre (sans mauvais jeu de mots). La mise en scène est classique au possible et le tout d'une platitude affligeante. La deuxième moitié du métrage se résume d'ailleurs à un enchaînement de scènes comiques ne racontant absolument rien, l'histoire étant de toute façon très peu développée. Une comédie qui aurait pu aller plus loin donc mais qui se contente de faire le stricte minimum.
Sans surprise, j'ai énormément ri. Une caricature très intelligente de certains pays d'Afrique où se mêle corruption et dictature. Où ces mêmes dictateurs peuvent changer leur état civile comme bon leur semble. Mais aussi où la sapologie est une religion a en être ridicule. Les répliques et références du film sont cultissimes.
Après leur premier film « Case départ » plutôt prometteur, Fabrice Eboué et Lionel Steketee reviennent en 2014 avec une nouvelle comédie loufoque dans laquelle ils brocardent une dictature militaire dans un pays africain imaginaire. Malheureusement, là où la dérision faisait souvent mouche dans leur précédente réalisation, ici tout est gras, lourd et répétitif. La parodie atteint sa limite en raison d’un scénario vraiment indigent. Seules quelques blagues de l’omniprésent Thomas Ngijol, dans un rôle de despote totalement mégalo, parviennent à extirper un vague rire. Bref, une belle déception.
J'avais détesté "Cas Départ" en raison de son caricaturisme débile, celui-ci est mieux.la caricature est moins grossière (sauf quand il évoque l'Algérie française, pénible de nous faire croire que tous les rapatriés d'Algérie étaient des fachos) · Sinon cette satire des dictatures africaines est plutôt réjouissante même si on ne se tord jamais de rire. Cela aurait tété encore meilleur si le scénario avait été construit comme une véritable histoire et non comme une suit complétement décousue
Le duo Thomas Ngijol et Fabrice Eboué porte ses fruits dans cette satire. Le film en lui-même n'est pas une excellente comédie, mais le déroulement de l'histoire avec le basculement d'une dictature à une démocratie est intéressant. Cependant, le scénario du film n'est pas si génial.
Assez bonne comédie qui parodie les dictatures africaines avec beaucoup de trash et d'efficacité. Les punchlines sont délirantes et cultes et le casting est très bon surtout N'Gijol.