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chatiment
14 abonnés
405 critiques
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0,5
Publiée le 3 août 2014
j'y suis allée sur le conseil d'une amie, mais je l'ai très vite regrettée, c'était un film exécrable, inutile, idiot, niveau intelligence -infini, car c'est de la ..... pas de scénario, des scènes exclusivement surjouée, des rires et tirades qui donnent un mal de tête affreux mauvaise réalisation, mauvais acteurs j'ai quitté la salle au milieu du film, car pas la peine de perdre du temps pour voir ce genre de film
Quel tristesse ! Un scénario terrible, des acteurs pas drôles. Tout est réuni pour ennuyer le spectateur, avec des gags complètement nul. Dommage, car Case Départ était plutôt réussi.
Le scénario est vraiment limité et les traits d'humeurs ne volent guère plus hauts. L'intrigue est d'une platitude sans nom : pas la moindre surprise, pas le plus petit bout de personnage sortant des sentiers battus, on a affaire à un produit calibré manquant cruellement d'imagination. Comme en plus les ressorts comiques du crocodile du Botswanga repose sur des traits raciaux, il devient dangereusement raciste lorsqu'il n'est pas drôle. C'est parfois assez embarrassant. Le deuxième opus du couple Eboué-Ngigol n'est pas un film raté mais forcément une déception après Case départ.
une belle suite du duo comique de Case départ. Même si ce Crocodile manque parfois de mordant, les vannes du politiquement "incorrect " font toujours aussi rires. Le Dictateur NGJIOL est assez tordant dans ses gesticulations et apparitions et Mister Eboué toujours égal à lui-même en ringard qui s'assume. A noter une belle prestation de Mr Chicot transformé pour l'occasion en homme politique que l'on devine sans peine...pour le prénom..cherchez du côté justement de la fosse aux crocodiles...il y a là toute la famille. Un petit moment de détente sans prise de tête.
Les clichés africains sont nombreux, mais assez bien portés à l'écran par notre duo, enfin, surtout par Thomas NGijol. L'histoire manque de rebondissements, et c'est finalement prévisible. Mais comparé à Case Départ, j'ai trouvé beaucoup plus de situations drôles avec quelques dialogues savoureux. Le personnage de Thomas Ngijol est plutôt réussi (très caricatural mais bon), alors que Fabrice Eboué m'a déçu et démontre aucune compétence cinématographique. Pourtant j'adore le comique, mais il faut avouer que la composition n'est pas son fort. Une petite comédie à regarder sans trop réfléchir un soir d'automne, mais ça ne va pas plus loin.
j'ai trouvé ça affligeant mais j'ai réussi a tenir jusqu’au la fin. J'aime beaucoup les deux acteurs principaux, ils sont plutôt bon dans l'exercice mais la... franchement le scénario est faible, l'humour est faible, le rythme est faible. Bref, presque tout est faible dans ce film. Par curiosité il est regardable mais ne pensez pas passer un moment d'anthologie.
Après Case Départ qui était une bonne comédie française, Fabrice Eboué et Thomas Ngijol sont de retour dans Le Crocodile du Botswanga. J'attendais ce film vu que j'avais beaucoup aimé Case Départ et pourtant j'en suis sorti déçu.. Le film est sympa mais reste inférieur à Case Départ bon malgré que sa soit deux thème différent certes. Il y a quelque moments drôle mais sans plus le film raconte l'histoire de Leslie Konda, un jeune footballeur qui va dans son pays natal qu'est le Botswanga non seulement pour déversé les cendres de sa mère dans son village mais aussi pour se faire décorer par le "président" du Botswanga qui n'est autre qu'un Dictateur mégalomane et paranoïaque interprété par Thomas Ngijol qui sauve toute même le film niveau humour. Le film reste bon mais pas génial non plus il est regardable chez soi et non au cinéma. 3/5 " Pas mal"
Dans la continuité de Case Départ. De bonnes intentions et de bonnes idées, mais malheureusement pas soutenues par une force comique suffisante. Et pourtant les gags ne sentent pas tellement le réchauffé, mais la plupart ne fonctionnent tout simplement pas. De l'humour pas bien aidé non plus par un scénario qui est cousu de fil blanc, ne réservant strictement aucune surprise. Cela dit, tout n'est pas à jeter de ce Crocodile du Botswanga, loin de là. Les propos sur la dictature et autres thèmes sérieux sont évoqués, parfois peu subtilement, mais pas si bêtement que cela. On peut également noter quelques répliques qui font mouche, mais qui hélas, n'arrivent pas à porter une seule scène entière. C'est dommage, il y avait pourtant un potentiel à exploiter. Bien qu'aappréciant beaucoup Fabrice Éboué et Thomas Ngijol, je dois bien avouer que je me suis clairement ennuyer devant cette fausse suite du long métrage précédent de Lionel Steketee, de plus desservi par la présence de l'insupportable Claudia Tagbo.