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    Vol au-dessus d'un nid de coucou
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    1 080 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 juin 2018
    C’est vraiment un film très poignant parceque au delà de ce qu’il se passe c’est un cas de figure d’oppression contre une forme vive de courage courage qu’ils ne peuvent pas éteindre alors ils vont l’écraser au millimètre près , c’est une grosse injustice la pire des injustices et ce n’est pas si rare dans les milieux hospitaliers. Mais on peut interpréter ça pour plusieurs autres milieux et c’est pour cela qu’il y a un côté très réaliste à cette histoire
    blacktide
    blacktide

    60 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mai 2018
    Fou rire, larmes libertaires et entrée des artistes...

    Il est mort un vendredi. Il avait 86 ans. On aurait pu croire à une mauvaise blague, un happening, un dernier coup d’éclat. Si seulement. De ce nom semblable à un parfum masculin, ne reste qu’un héritage, celui d’un cinéaste, une odeur, une ombre projetée sur l’écran d’un art, quant à lui, à jamais éternel. Oui, Milos Forman est mort mais ne s’est pas éteint. Et pourtant, j’ai l’impression d’être ce Salieri, perdu sans son Mozart. Mais à la place des larmes, j’ai décidé de me souvenir, de ne pas oublier, de me gorger de ta musique, de ta démence réfléchie, dans un dernier soupir, et un regard pour te redonner vie.

    Ton œuvre résonne comme la beauté parfaite d’une partition sans fausse note. Une œuvre célébrant le combat et la résistance d’un homme contre toute forme d’oppression. Comme une percée dans un rideau de fer, un trou par lequel s’échapperait toute une génération de rebelles, d’idéalistes et de rêveurs. Une fuite au nom d’une résistance, d’un mot qui n’a pas de frontières : Liberté. Tu as vu. Tu l’as vécu. Cette chasse humaine, ce rejet de l’autre, de la différence. Mais qu’as-t-elle seulement d’humaine cette chasse ? Il n’y a pas de totalitarisme à visage humain. Que des apparences, des duperies, des « infirmières » qui tuent en pensant soigner, qui encadrent par des barreaux, pour une normalité, une pensée unique. Le soin par l’isolement, n’est-ce pas là l’antagonisme parfait pour décrire nos sociétés pleines de contradictions ? Oui, l’ami, entends-tu les cris sourds du pays qu’on enchaîne ? De parents, victimes du nazisme, en libérateurs y prescrivant le soviétisme, Forman s’échappa à la fin du Printemps de Prague pour se voir imposer une nouvelle norme : le capitalisme. Comme une infirmière en chef imposa son autorité à ce qu’elle appelait des aliénés.

    Une fuite pour faire de ses films les étendards d’un souffle historique, pour faire prévaloir le droit et la justice au dessus des exactions humaines. Puisque la verve et l’intensité de ses œuvres n'ont d'égales que sa farouche volonté de combattre tous les totalitarismes. Résister en quelque sorte à l’oppression, avant que celle-ci ne vous résiste. Insoumis, il l’était. Ses personnages aussi. Un seul but : se représenter les troubles psychiatriques de l’humanité, et y trouver une certaine forme de vérité. Quelque part. Dans un élan de grandeur. Pour réparer les vivants et saluer la mémoire d'un Géant. Celui pour qui « la folie a souvent plus de sens que la raison. Comme les rois de jadis avaient des bouffons pour entendre la vérité. » Avec Vol au-dessus d’un nid de coucou, il nous rappela à quel point la liberté est précieuse, et comment il est facile de la perdre.

    Milos Forman y interroge ainsi la notion même de démence. Qui est véritablement fou ? Ceux qu’on étiquette en tant que « malades » ? Malades de quoi ? De vouloir vivre ? De ne pas se conformer à un système tuant tout ce qui a d’humain en l’Homme ? La folie n’est pas une aliénation, le pouvoir l’est. Tout n’est ainsi qu'ambiguïté et opposition : de la soumission à la domination, du soignant au soigné, de Ratched à McMurphy, toute l’œuvre est construite sur des relations d’antagonisme, et d’affrontement. Vouloir « être » ou devenir la norme, l’être sans personnalité. Car l’hôpital ne fait que soigner les « fous » par une autre folie : des règles, des thérapies encadrées, des électrochocs pour faire disparaître en l’Homme tout ce qui fait sa particularité, son originalité, sa folie. Et en ce sens, McMurphy est l’étincelle révolutionnaire qui s’apprête à faire imploser le système : il y insuffle des rêves d’évasion, d’autre part, et de nulle part, de ballade en mer en match de Baseball imaginaire, et réveille les consciences, les désirs en chacun, pour la révolte, (son intérêt personnel aussi) et quelques sourires. Il revitalise les individus, et les détourne de l’ordre totalitaire, jusqu’à la transgression totale : une fête nocturne, de lâcher prise et d’expériences, d’une joie collective à la victoire illusoire sur le système. Puisque l’inéluctable est déjà là, dans cette fuite impossible, dans cette liberté lobotomisée, et dans cette vaine tentative d’étrangler un système devenu norme.

    Et pourtant, à chacune de ces sanglantes répressions, s’élèvent des armes pacifiques, des mots et des cris, des rires et des danses, que le système tentera vainement d’annihiler. Car une étincelle restera. Celle de la tentative. Oui, Vol au-dessus d’un Nid de Coucou est un hymne à l’essai, à cette épreuve pour la liberté, cette autre vie rêvée dont il faut parfois payer le prix. Pour un succès. Ou un échec. Mais le fait de s’opposer au pillage de notre âme peut-il seulement constituer un échec ? Car tenter, c’est déjà réussir un peu, déjà toucher un petit bout de rêve. Les neurones coupés, l’âme reste, dans une transmission sourde et invisible, vers une masse plus grande, vers un échec devenu un triomphe. Un dernier geste. McMurphy était l’impulsion, Chief en est l’aboutissement. Les chaines se brisent alors, les barreaux ne sont plus qu’une illusion, l’esprit se libère, dans la grandeur d’un dernier plan, où la Nature se substitue aux murs, et où le peuple trouve sa voie.

    Forman nous le dit. Tant qu’existera la liberté, cette pathologie naturelle en inconsciente remontée, le monde saura quel chemin emprunter. Car oui, je me sens grand comme une montagne. Nous ne serions pas qui nous sommes sans Milos Forman. Puisque jusqu’à la fin, ses œuvres ont touché cette liberté, l’ont parfois embrassé, sans jamais l’atteindre. Constamment en train d’indiquer une direction sans arrivée. Puisque pour Forman, la tentative est tout ce qui importe, à partir du moment où l’évasion commence. Fuir pour trouver quelque chose, ou au moins une pause. Une pause dans ce monde de fins et de suffocation. Parce qu’à la fin, aussi inévitable soit elle, il n’existe pas une telle chose comme la liberté. Jamais. Et pourtant, Forman le sait : la liberté n’est pas la fin, c’est un état d’esprit. Donc, avant de tout abandonner, ou même « d’arrêter d’essayer », concentrons-nous sur ce temps de passion, de vie, et puis de compassion. Mais Milos Forman est mort. Il n’essaiera plus, et ne sera plus là pour nous convaincre de continuer. N’empêche, ses films, eux, continueront de nous donner cette foi en l’essai. Cet amour comme un art, pour un instant où croire nous permettra de cultiver l’espoir.

    Un essai, un raté, mais qu’importe. Au cœur de la catastrophe, l’artiste lucide qu’était Milos Forman est bien peu de chose, mais il est tout ce qui reste, et tout ce qui restera. Suffisamment puissant pour briser les cloisons de cette schizophrénie quotidienne, et faire que dans la perte, la vie continue de trouver son chemin. Pour supporter les épreuves de ce monde, et sauter à travers la fenêtre de la conscience humaine, en survivant et non en prisonnier.

    L’oreiller s’est posé sur toi. Et à défaut d’y étouffer ta liberté, celle-ci s’envole auprès de ces autres disparus, ces feuilles mortes, balayées par le temps, qui d’une passion à cœur perdu, se muent en invincibles sur l’écran d’un art d’espoir. Amadeus orchestra alors ton départ en sortant les violons, scellant de nos larmes, une vie d’insoumission. Comme un dernier jour de tournage. La tristesse sur les visages. Et pourtant, ne reste que l’espoir que cette fin n’est qu’un au revoir. Oublier. Non, Jamais. La seule chose à vous conseiller, à crier, à prêcher, c’est regardez, regardez absolument tout. Et peut-être que là haut, loin au-dessus des nids de coucous, un souvenir se retournera : toi, homme sur la lune, avançant vers Capra pour y laisser entrer le soleil, quelques magazines pornos, une délivrance en symphonie et la formule d’usage : « Welcome to the Club ». A bientôt Milos. Salut l’artiste.
     Kurosawa
    Kurosawa

    591 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2018
    Randle Patrick McMurphy est un homme déjanté qui préférerait être interné dans un asile psychiatrique plutôt que d'aller en prison, une manipulation qui n'en est peut-être pas une si l'on considère la folie du personnage, magnifiquement incarné par un Jack Nicholson réalisant là une performance mémorable. Son énergie contraste d'abord avec celle des autres acteurs, interprétant des patients dont la mollesse s'explique par leur soumission totale à une infirmière froide et autoritaire, avant de les contaminer; ainsi, ces corps atones reprennent vie sous l'impulsion du trublion et peuvent se déchaîner dans un joyeux bordel anarchique – ligne directrice politique de Milos Forman. "Vol au-dessus d'un nid de coucou" n'est heureusement pas un drame didactique sur les conditions de vie des malades dans les hôpitaux psychiatriques mais bien un conte drôle et émouvant sur la nécessité d'être libre, sur le besoin de garder le contrôle de sa vie : si l'on rit énormément, on ne le fait jamais contre les personnages (on ne s'en moque pas) mais avec eux, une manière efficace de partager leur lutte et leurs espoirs. Éloge de la liberté de pensée, le film est lui-même construit de manière très personnelle, rejetant la structure classique d'un scénario hollywoodien en se faisant succéder des situations qui ne font en aucun cas progresser le récit. La seule évolution que l'on ressent, c'est cette colère qui monte, cette prise de conscience qui débouche sur une fin puissante, à la fois très dure, lucide et en même fantasmée, idéaliste ... belle conclusion d'un film original et engagé.
    cinéman
    cinéman

    44 abonnés 812 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 août 2019
    Superbe film qui démontre très bien le rôle des psychiatres dans la normalisation sociale au service d'un Etat répressif. Non seulement on se demande si ces "fous" sont vraiment "fous", mais Jack Nicholson est de plus en plus étiqueté comme eux au fur et à mesure qu'il se révolte ou fuit le schéma conventionnel de comportement soumis à l'autorité. Progressivement, il s'enfoncera dans une institution qu'il combat puisque les psys mettront habilement et perversement des symptômes pathologiques dans ce comportement. A noter : les psys ne rient jamais quand les "malades" sont plus emprunts de joie de vivre…
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 20 avril 2018
    Film magistralement interprété et filmé, avec des personnages attachants, explorant les juxtapositions entre la folie, la psychiatrie et l’anticonformisme.
    Valentin B
    Valentin B

    15 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 avril 2018
    Milos Forman à l'aide de son talent et d'une fantastique poignée d'acteurs plonge le spectateur dans les entrailles de la folie au sein d'un hôpital psychiatrique, où les sains d'esprits n'existent pas. Un film réalisé avec brio, poignant et psychologiquement intense. Jack Nicholson signe ici le rôle de sa carrière.
    Alexis C.
    Alexis C.

    4 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 avril 2018
    Véritable chef d'oeuvre qui constitue une des pièces majeurs de la filmographie de Jack Nicholson et de Milos Forman. Cette plongé tête la première dans le monde de la psychatrie est une merveille de mise en scène et de direction d'acteurs. D'ailleurs le casting est d'une grande qualité avec beaucoup de jeunes acteurs qui deviendrons par la suite de grandes stars.
    L'ensemble et très émouvant mais jamais trop en faire. Une oeuvre culte.
    Pierre Augustin
    Pierre Augustin

    23 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 avril 2018
    Je ne comprends pas les critiques élogieuses! Jai vu le film en français sur Arte alors peut être que c'est pas Le meilleur moyen mais j'ai trouvé Le film long et presque ennuyeux! Heureusement que certains passages nous réveillent car sinon je me serais encore plus ennuyé!
    Dommage car Le scénario est Bon ainsi que les acteurs mais trop de longueurs c'est dommage
    Matthias T.
    Matthias T.

    46 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 avril 2018
    Un vrai chef d oeuvre, un film puissant, intelligent et bouleversant d humanite. Mention speciale pour la scene du match de baseball imaginaire commente par un Nicholson debride et extraordinaire devant une television eteinte.
    Prométhée
    Prométhée

    4 abonnés 98 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 avril 2018
    Le problème des classiques, est que leur réputation crée une image chez le spectateur qui s'avère souvent trompeuse. Ca a été le cas pour vol au dessus d'un nid de coucou, que je souhaitais voir depuis longtemps mais dont, en même temps, je repoussais le visionnage, comme si j'avais pressenti ma déception future. Et clairement je fus déçu, tant jamais je n'ai eu l'impression que l'histoire ne débuta. Alors certes le jeu des acteurs est formidable, mais l'on ne trouve ni réelle trame, ni critique sévère du système de santé psychiatrique ou d'étude de la folie. D'autres films anterieur - xxx- ou posterieur - shutter island- l'ont fait de meilleure manière.
    CH1218
    CH1218

    207 abonnés 2 904 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 mars 2018
    Simulant la folie pour échapper à la prison, un délinquant est interné dans un établissement psychiatrique, dirigé d’une main de fer par une froide et intransigeante infirmière en chef. Membre du club très fermé des films ayant obtenus les 5 Oscars suprêmes, « Vol au-dessus d’un Nid de Coucou » est un pur chef d’œuvre. Evoquant l’aliénation de l’homme par l’homme, cette adaptation à la fois drôle et bouleversante du roman éponyme de Ken Kesey et dirigée par Milos Forman doit ses retombées et sa popularité à la présence sismique et exubérante de Jack Nicholson mais également à celle éloquente de Louise Fletcher dans le rôle de sa vie. Sans la qualité d’interprétations des pensionnaires de l’institut, parmi lesquels des "inconnus" aux noms de Brad Dourif, Christopher Lloyd, Danny DeVito ou encore Will Sampson, le film n’aurait certainement pas eu la même puissance, ni le même impact émotionel.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 mars 2018
    La, ont n'est sur du lourd ! Par ou commencer... Je suis obligé de commencé par la qualité d'acteur de jack Nicholson parfait dans sont rôle ! Je dirai aussi que la montée en puissance et génial et vous emmène vers une fin de film a la quel ont ne s'attend pas forcément ! Je ne sais même pas comment d'écrire l'ambiance de se film qui vous prend au tripes ! Bref, inutile d'en rajouté, un film magistrale que je recommande a tout cinéphile !
    Camilla DM
    Camilla DM

    22 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 février 2018
    Je ne sais pas comment je suis passée toutes ces années à côté de ce film dont on m'avait pourtant parlé mille fois, mais enfin, ça y est, je l'ai vu. Il était temps. Et quelle émotion!!!! J'ai vraiment l'impression qu'on n'en fait plus des films comme ça! Que ce soit l'histoire, la réalisation et les acteurs... Mon Dieu, les acteurs!!!! Jack Nicholson n'avait déjà plus rien à prouver à mes yeux, mais je pense que je suis tombée encore plus amoureuse de lui que je ne l'étais déjà! La scène du match de baseball à la télévision... La vache!!!!! J'en ai pleuré! Et son regard lorsqu'il parle spoiler: de partir au Canada avec Le Chef...
    On comprend si bien ce qui lui passe par la tête, à ce moment-là, que finalement, spoiler: c'est lui qui ne se sent plus assez grand et que se passerait-il une fois échappé?
    Toutes ces questions et la décision qui en découle se lisent avec tant de clarté sur son visage en gros plan. Bien sûr ce film est aussi horrible que sublime. Ce qu'il dépeint est une réalité ignoble de l'époque, des humains traités comme des rebus de la société. Et la "thérapie"... c'était en fait la seule chose qui les déshumanisait réellement. Finalement, le seul susceptible de les "guérir" ou du moins qui tente ce qui aujourd'hui ressemblerait à une vraie thérapie, c'est notre héros. spoiler: Le basket, la pêche, la joie de vivre...
    On suit avec émotion et admiration cette évolution des personnages, tous autant qu'ils sont. Et mon Dieu, spoiler: lorsque le plus jeune cesse enfin de bégayer grâce à la nuit qu'il vient de passer et à la confiance en lui qu'il a retrouvée
    , c'était sublime!!! Je me suis étranglée de rage quand spoiler: l'infirmière en chef le castre dans la seconde qui suit...
    Quelle jouissance j'ai ressentie quand spoiler: Randle lui saute dessus pour l'étrangler à mains nues
    !!!! J'attendais ça depuis un moment! Entre parenthèses, Louise Fletcher joue elle aussi merveilleusement son rôle. Beaucoup de choses passent dans son regard. Elle attend l'événement qui fera taire définitivement Randle et cette satisfaction qu'on peut lire sur son visage quand le drame se produit... Quant aux autres acteurs, quelle magnifique brochette! Même dans leurs plus petits rôles, ils sont tous brillants! C'est presque insoutenable autant de talent!!! Bien sûr, on sent rapidement que tout ça ne pouvait se clore que dans un drame. J'ai assez vite deviné que spoiler: le jeune (j'ai oublié son nom) finirait par réussir son suicide et que le personnage de Jack Nicholson finirait plus ou moins lobotomisé.
    J'avais espéré qu'il mourrait, spoiler: du coup, mais je n'avais pas deviné que Le Chef serait celui qui le délivrerait.
    Quel final!!!! C'est ça que j'attends d'un film!!! Qu'il me retourne le coeur dans tous les sens!!! Merci merci merci Mr Forman. Merci pour ce chef-d'oeuvre, car ce n'est rien de moins que ça.
    DirtEagle
    DirtEagle

    19 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 février 2018
    Un grand film à n'en pas douter, mais un début plutôt laborieux, j'ai eu quelques difficultés à rentrer dans le film, mais une fois dedans, on n'en ressort plus avant la fin. Les acteurs sont tous excellents et l'histoire mêle avec réussite tout un cocktail d'émotions, je ne mets pas cinq étoiles car ce film ne m'a pas vraiment transporté, mais il mérite cette renommée et ses récompenses.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 février 2018
    Chef d'Oeuvre. Film qui rentre dans mon top 10 ou 20 des meilleurs films de tous les temps, tout simplement. Rien à jeter. On se met à aimer ce mec pas vraiment recommandable qui se fait broyer par une société aliénante et opprimante, dans un hopital pour les fous ou les fous ne sont pas vraiment qui on pense. C"est l'histoire d'un mec qui veut rester libre! Milos Forman , est probablement un des plus grand réalisateur de tous les temps. La photographie est magnifique (critère important en ce qui me concerne lorsque l'on aborde la qualité d'un film). Et Nicholson au sommet de son art, tout comme les seconds roles.
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