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Votre avis sur La Planète des singes : l'affrontement ?
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Suite directe du film de 2011, "La planète des singes, l'affrontement" est visuellement impressionnant tant les singes sont réalistes. Avec un scénario cohérent et bien écrit, même s'il n'a rien d'extraordinaire, ce deuxième opus est un blockbuster de qualité.
Une suite tout aussi captivante qui nous tient en haleine tout le long du film ! Génial ! À voir en ayant vu le numéro 1
Ce film réussit l'exploit d'approfondir la mythologie de la saga tout en livrant une expérience visuelle et émotionnelle saisissante. Ce second opus mêle habilement l'action et les enjeux moraux, poussant la réflexion autour de la tolérance, de la peur de l'autre, et des conséquences des erreurs humaines et simiesques.
D'un point de vue technique, les effets spéciaux sont spectaculaires : les singes sont d'un réalisme troublant, notamment grâce à la performance-capture d'Andy Serkis qui incarne Caesar avec une intensité remarquable. Les expressions, les mouvements, chaque détail rend les singes presque plus humains que les hommes eux-mêmes.
Le film propose également un scénario qui évite le manichéisme. Les deux camps, humains et singes, sont autant victimes de leurs blessures et de leurs traumatismes que de leur méfiance mutuelle. L'intrigue explore ainsi des dilemmes éthiques tout en maintenant une tension constante.
Cependant, malgré une mise en scène impeccable et une profondeur surprenante pour un blockbuster, quelques personnages humains manquent parfois d'épaisseur, ce qui peut atténuer l'empathie que l'on ressent pour eux.
"L'Affrontement" est une œuvre forte et immersive, qui touche autant par son intensité visuelle que par la réflexion qu'elle propose. Un excellent ajout à la saga, qui mérite largement ses 4 étoiles sur 5.
D'un point de vue technique, les effets spéciaux sont spectaculaires : les singes sont d'un réalisme troublant, notamment grâce à la performance-capture d'Andy Serkis qui incarne Caesar avec une intensité remarquable. Les expressions, les mouvements, chaque détail rend les singes presque plus humains que les hommes eux-mêmes.
Le film propose également un scénario qui évite le manichéisme. Les deux camps, humains et singes, sont autant victimes de leurs blessures et de leurs traumatismes que de leur méfiance mutuelle. L'intrigue explore ainsi des dilemmes éthiques tout en maintenant une tension constante.
Cependant, malgré une mise en scène impeccable et une profondeur surprenante pour un blockbuster, quelques personnages humains manquent parfois d'épaisseur, ce qui peut atténuer l'empathie que l'on ressent pour eux.
"L'Affrontement" est une œuvre forte et immersive, qui touche autant par son intensité visuelle que par la réflexion qu'elle propose. Un excellent ajout à la saga, qui mérite largement ses 4 étoiles sur 5.
Pas du tout pour ceux qui espèrent retrouver l'esprit du roman de Pierre Boulle. Très bon film d'action holliwoodien. Prenant.
Une suite bien réussi de premiers film, pas aussi bon que lui. La cohérence entre ces deux films et ça qualité sont très bonne. Hâte de voir la suite
La Planète des Singes : L'affrontement – Un Face-à-Face de Poilus
Dix ans après que le virus "Faites gaffe à la grippe" ait fait plus de ravages que Thanos avec ses claquements de doigts, on retrouve nos singes bien peinards dans leur forêt. César, notre simiesque Moses, a fondé une petite société utopique à la Tarzan. Sauf que voilà, les humains débarquent et pas pour un barbecue convivial. Ils cherchent à rallumer la lumière et à survivre dans leur jungle de béton, mais le voisinage avec des singes intelligents, c'est pas Airbnb friendly.
On nous vend une trêve aussi solide qu'un mur en papier mâché. Les deux clans essaient de jouer les bons copains, mais c'est aussi crédible que Jar Jar Binks en président galactique. Les relations humaines-singe sont tendues comme une partie de Jenga avec des gants de boxe. Ce film, c'est un mélange explosif entre "Walking Dead" et "Planète des Singes", avec un soupçon de "West Side Story". On s'attendait à une guerre épique, on a une trêve en apnée.
César, qui a vieilli comme un bon whisky écossais, est toujours aussi charismatique. Andy Serkis pourrait jouer une patate et gagner un Oscar. De l'autre côté, Malcolm, joué par Jason Clarke, est l'optimiste du groupe humain, genre "on peut tous être potes, les gars !". La relation entre César et Malcolm, c'est un peu comme celle entre Tony Stark et Cap dans "Civil War" mais en mode nature et sans armure en vibranium.
On attendait un blockbuster bourrin, on se retrouve avec un film qui pense plus qu'un épisode de "Black Mirror". Les scènes d'action sont là, mais c'est pas le festival du boom boom comme dans "Transformers". Ici, chaque explosion a du sens, chaque combat a une raison. Les effets spéciaux, par contre, sont dignes d'un rêve humide de George Lucas. Les singes sont tellement réalistes qu'on pourrait les inviter à dîner (mais évitez les bananes, ce serait cliché).
La bande-son signée Michael Giacchino, c'est du velours pour les oreilles. Elle fait des clins d'œil subtils à celle de 1968 sans tomber dans le "remember this?" forcé. C'est comme si John Williams avait fusionné avec Hans Zimmer après une nuit trop arrosée.
"La Planète des Singes : L'affrontement" est une belle surprise. On s'attendait à une grosse baston, on se retrouve avec un film intelligent, presque philosophe, qui nous rappelle que l'Homme peut être aussi con qu'une porte de prison. Les effets spéciaux sont bluffants, les acteurs excellents, et l'histoire, bien que plus calme, est captivante. Un bon mix entre réflexion et action, comme un épisode de "Star Trek" réalisé par Christopher Nolan.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Dix ans après que le virus "Faites gaffe à la grippe" ait fait plus de ravages que Thanos avec ses claquements de doigts, on retrouve nos singes bien peinards dans leur forêt. César, notre simiesque Moses, a fondé une petite société utopique à la Tarzan. Sauf que voilà, les humains débarquent et pas pour un barbecue convivial. Ils cherchent à rallumer la lumière et à survivre dans leur jungle de béton, mais le voisinage avec des singes intelligents, c'est pas Airbnb friendly.
On nous vend une trêve aussi solide qu'un mur en papier mâché. Les deux clans essaient de jouer les bons copains, mais c'est aussi crédible que Jar Jar Binks en président galactique. Les relations humaines-singe sont tendues comme une partie de Jenga avec des gants de boxe. Ce film, c'est un mélange explosif entre "Walking Dead" et "Planète des Singes", avec un soupçon de "West Side Story". On s'attendait à une guerre épique, on a une trêve en apnée.
César, qui a vieilli comme un bon whisky écossais, est toujours aussi charismatique. Andy Serkis pourrait jouer une patate et gagner un Oscar. De l'autre côté, Malcolm, joué par Jason Clarke, est l'optimiste du groupe humain, genre "on peut tous être potes, les gars !". La relation entre César et Malcolm, c'est un peu comme celle entre Tony Stark et Cap dans "Civil War" mais en mode nature et sans armure en vibranium.
On attendait un blockbuster bourrin, on se retrouve avec un film qui pense plus qu'un épisode de "Black Mirror". Les scènes d'action sont là, mais c'est pas le festival du boom boom comme dans "Transformers". Ici, chaque explosion a du sens, chaque combat a une raison. Les effets spéciaux, par contre, sont dignes d'un rêve humide de George Lucas. Les singes sont tellement réalistes qu'on pourrait les inviter à dîner (mais évitez les bananes, ce serait cliché).
La bande-son signée Michael Giacchino, c'est du velours pour les oreilles. Elle fait des clins d'œil subtils à celle de 1968 sans tomber dans le "remember this?" forcé. C'est comme si John Williams avait fusionné avec Hans Zimmer après une nuit trop arrosée.
"La Planète des Singes : L'affrontement" est une belle surprise. On s'attendait à une grosse baston, on se retrouve avec un film intelligent, presque philosophe, qui nous rappelle que l'Homme peut être aussi con qu'une porte de prison. Les effets spéciaux sont bluffants, les acteurs excellents, et l'histoire, bien que plus calme, est captivante. Un bon mix entre réflexion et action, comme un épisode de "Star Trek" réalisé par Christopher Nolan.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Dans "La Planète des Singes : L'Affrontement" (2014), réalisé par Matt Reeves, j'ai été profondément touché par les émotions complexes des singes, surtout par leur ressentiment légitime envers les humains. Le film explore de manière captivante comment les singes, après avoir été exploités et maltraités par les humains, développent une méfiance et une animosité envers leur ancienne espèce dominante. Cette dynamique est bien représentée par des personnages comme César et Koba, qui incarnent respectivement l'espoir de coexistence et la soif de vengeance.
En revanche, j'ai trouvé que les personnages humains étaient parfois simplifiés et moins approfondis, réduits à des stéréotypes. Malgré cela, le film m'a captivé par ses effets visuels impressionnants, sa mise en scène immersive et ses thèmes universels de justice et de compréhension entre espèces. Pour moi, ce film offre une expérience cinématographique intense et réfléchie, explorant les frontières entre humanité et animosité dans un monde post-apocalyptique fascinant.
En revanche, j'ai trouvé que les personnages humains étaient parfois simplifiés et moins approfondis, réduits à des stéréotypes. Malgré cela, le film m'a captivé par ses effets visuels impressionnants, sa mise en scène immersive et ses thèmes universels de justice et de compréhension entre espèces. Pour moi, ce film offre une expérience cinématographique intense et réfléchie, explorant les frontières entre humanité et animosité dans un monde post-apocalyptique fascinant.
Le scénario, assez indigent, verse beaucoup trop dans le pathos. Nettement inférieur au précédent (Les Origines)
Singes forts unis ou pas…
Une œuvre toute aussi incroyable que la 1ere.
Un acting parfait de Andy SERKIS qui une fois de plus s’imprègne dans la peau de César et Jason CLARKE qui est au top, nous pouvons même saluer l’excellente performance de Gary OLDMAN.
L’histoire est toujours incroyable et captivante.
Plus qu’excellent !!!
Une œuvre toute aussi incroyable que la 1ere.
Un acting parfait de Andy SERKIS qui une fois de plus s’imprègne dans la peau de César et Jason CLARKE qui est au top, nous pouvons même saluer l’excellente performance de Gary OLDMAN.
L’histoire est toujours incroyable et captivante.
Plus qu’excellent !!!
Après un premier opus particulièrement réussi, celui-ci déçoit. La suite logique de l'affrontement hommes/singes est mal amené. Le personnage de jason Clarke est une pâle copie du personnage de James Franco du précédent film, malgré que ce soit l'un des meilleurs personnage ici. La rivalité César/koba fonctionne très bien. Le personnage de Gary Oldman est plutôt mauvais et pourtant l'acteur est toujours excellent. Assez mitigé, il y a de bonnes scènes, de bonnes idées mais le résultat reste moyen.
Il s’agit d’une excellente suite du premier film de cette trilogie qui m’avait déjà conquis mais alors là je suis époustouflé par l’ambiance et l’histoire qui m’a captivé tout au long de ces 2h11 !
Bonne suite, très captivante, au 1er volet, "Les Origines", qui se regarde sans peine, au scénario un brin plus simpliste que le précédent. Le seul moment qui atteint le niveau charismatique du premier volet, c'est César qui le trace à nouveau : "Tu n'es pas un singe, dit-il à son frère ennemi au bord du gouffre ", faisant comprendre qu'il n'était plus digne de ce nom et qu'il avait détruit par son ambition et sa guerre tout le chemin parcouru par les singes sous la guidance de César, chemin qui les rendait meilleurs ou plus intelligents que les hommes. Réplique à nouveau aussi géniale qu'inattendue qui hisse à nouveau César sur un piédestal tout à fait mérité au terme des 2 premiers volets : il marque vraiment les 2 volets de son empreinte à tout niveau. Honneur à l'acteur qui se cache sous son masque.
Film bien mené, tambour battant, avec de vifs moments de tension et des scènes très spectaculaires. Décors dépaysants bien choisis qui contribuent beaucoup à l'ambiance lourde de ce film, au sens positif du terme.
J'ai bien aimé le tout et je me réjouis déjà de voir le 3ème.
Film bien mené, tambour battant, avec de vifs moments de tension et des scènes très spectaculaires. Décors dépaysants bien choisis qui contribuent beaucoup à l'ambiance lourde de ce film, au sens positif du terme.
J'ai bien aimé le tout et je me réjouis déjà de voir le 3ème.
Par un festival d’images techniquement bluffantes, Matt Reeves (et l’équipe des scénaristes et des effets spéciaux) arrivent à nous emporter dans une tragédie antique (et le nom de César pour le héros simiesque confirme l’évidence).
Là où on est habitué, dans les blockbusters à plusieurs millions, à des personnages creux ou caricaturaux, les protagonistes regorgent ici d’aspérité et d’une humanité authentique, crédible et palpables (et encore plus chez les singes, c’est peu dire).
La réalisation prend son temps, pour nous laisser nous imprégner de tout ce qui se joue sous nos yeux, surtout dans les deux premiers actes. Sans artifices superflus.
La mise en scène des affrontements reste bluffante de justesse. Matt Reeves a cette façon de veiller à ce que sa caméra soit ancrée dans le réel, qu’elle reste « physique », alors même que nos yeux s’emplissent d'image de synthèse. Le sentiment d’immersion est d’autant plus intense - et reste en grand partie inconscient.
Quelques ellipses et précipitations dans la narration (nécessaires pour faire rentrer cette aventure dans un peu plus de deux heures) sont vite pardonnées lorsqu’on prend conscience de la cohésion du tout, de l’importance de la première partie à l’aulne de cette suite et du soins apportés à l’œuvre.
Vivement la suite!
Là où on est habitué, dans les blockbusters à plusieurs millions, à des personnages creux ou caricaturaux, les protagonistes regorgent ici d’aspérité et d’une humanité authentique, crédible et palpables (et encore plus chez les singes, c’est peu dire).
La réalisation prend son temps, pour nous laisser nous imprégner de tout ce qui se joue sous nos yeux, surtout dans les deux premiers actes. Sans artifices superflus.
La mise en scène des affrontements reste bluffante de justesse. Matt Reeves a cette façon de veiller à ce que sa caméra soit ancrée dans le réel, qu’elle reste « physique », alors même que nos yeux s’emplissent d'image de synthèse. Le sentiment d’immersion est d’autant plus intense - et reste en grand partie inconscient.
Quelques ellipses et précipitations dans la narration (nécessaires pour faire rentrer cette aventure dans un peu plus de deux heures) sont vite pardonnées lorsqu’on prend conscience de la cohésion du tout, de l’importance de la première partie à l’aulne de cette suite et du soins apportés à l’œuvre.
Vivement la suite!
Une suite encore meilleur que le premier. Dès le début, on nous met dans le contexte d'un virus qui a décimé une grosse partie de la population ce qui est très surprenant mais qui m'as bien plus. Reste un groupe de survivants, confrontés à une armée de singes intelligents. La première partie du film prend son temps, de sorte à bien accentuer sur ce contexte, la vie des singes, celle des survivants et les premiers échanges entre ces deux espèces depuis, assez tendues. La deuxième partie est, comme dirait le titre, l'affrontement où action et combats priment. Le scénario est très maîtrisé, il y a des rebondissements, de l'émotion, de la haine, on nous tient en haleine.
Deuxième oppus très bien, les actions et les effets spéciaux sont irréaliste, époustouflant, et magnifique, le deuxième opus et meilleur que le premier opus, normal tout ce qui commence et toujours moin bien, et les deuxième sont toujours, aussi époustouflant, bref j'ai bien aimé le film.
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