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Nicolas Métrich
26 abonnés
478 critiques
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4,0
Publiée le 22 mai 2024
Pas aussi bien que les 5 films de la première saga des années 1970 , et que le premier film de la dernière saga : " La planète des singes , les origines " , qui est le meilleur des 10 films , " Planète des singes " , qui ont été fait , même meilleurs , que les 5 films de la saga des années 1970 , qui sont des chefs d' œuvre .
Non seulement je considère : " La planète des singes , les origines " , comme le meilleur film des 10 films " Planète des singes " , mais je le considère aussi , comme un des meilleurs films de tout les temps !
J' ai mis 5 étoiles , comme note , pour ces 6 films .
Mais ça reste un trés bon film de science fiction dramatique et d' actions .
Certe , il y a des longueurs et des lenteurs , mais le scénario , l' histoire est bien . C' est un message de paix , contre la guerre , avec beaucoup d'émotions intenses , un peu de suspens et un peu d' actions .
Et quand , il y a de l' action , c' est spectaculaire et impressionnant .
"La planète des singes : L'affrontement" est un excellent film visuel et narratif. Les décors sont d'une beauté saisissante, créant une atmosphère immersive qui transporte les spectateurs dans un monde post-apocalyptique où la nature a repris ses droits. Chaque scène est un tableau vivant, avec des paysages détaillés et des effets spéciaux à couper le souffle. La performance d'Andy Serkis en tant que César est tout simplement magistrale. Grâce à la Motion Capture, Serkis parvient à donner à son personnage une profondeur émotionnelle. Sa performance est le cœur du film, captivant les spectateurs à chaque instant. Le film porte un message puissant sur la paix, la guerre, et la coexistence entre l'espèce humaine et les singes. Il explore les thèmes de la loyauté, de la trahison, et de la lutte pour la survie. Les conflits que les personnages doivent faire face ajoutent une dimension philosophique et éthique qui touche profondément les spectateurs.
3 ans après Les origines, c'est dans un San Fransisco post-apocalyptique que se déroule ce second opus nouvelle génération. Un scénario à l'écriture fouillée, parfois émouvante et avec un affrontement intense, sur une réalisation maîtrisée. On ne peut s'empêcher de constater que cet exemple révèle une cohabitation presque impossible.
Suite directe de la planète des singes: les origines. L histoire se poursuit en suivant le même schéma que le premier . On retrouve les mêmes qualités et les mêmes défauts avec juste quelques longueurs cassant le rythme
Tellement au dessus du premier en tout point, César quel protagoniste, un des meilleurs. J’ai vraiment adoré la réalisation de Matt Reeves ici, il a tout compris de comment construire cet univers, c’est trop maitrisé.
La Planète des Singes : Suprématie est une suite solide, même si elle n’égale pas l’impact du premier film. La profondeur du personnage de César continue de briller, le rendant véritablement légendaire dans cette saga. Les thèmes de la lutte pour la survie et des conflits entre espèces sont explorés de manière captivante, avec des scènes d'action impressionnantes. Bien que l'intrigue puisse sembler moins percutante par moments, le film réussit à maintenir un fort niveau d'émotion et de tension. Une excellente continuation de l’histoire qui ravira les fans.
Changement de ton drastique pour cette suite du reboot de 2011. L'ambiance est résolument plus sombre et humide. Matt Reeves met à profit ce climat pour délivrer plusieurs plans et scènes travaillés.
Le monde post apocalyptique, conséquences des évènements du premier opus, est très réussi.
Alors que l'humanité peine à survivre, les singes semblent prospérer dans une utopie simiesque sans conflit. La collision des deux mondes troublera la paix que César pensait dûe à la nature moins belliqueuse des singes comparée à celle des Hommes.
Le personnage de Koba, dont la haine justifiée des humains est la source de l'histoire, est intéressant.
César devient un personnage encore plus charismatique.
Les personnages humains sont assez oublia les malgré la présence entre autres de Gary Oldman.
Les effets spéciaux sont impressionnants, notamment les expressions faciales des singes et la transmissions d'émotions essentiellement sans parole.
Le film de 2011 était vraiment bon, celui là est un peu en dessous mais reste de bonne facture, les personnages sont attachants, les effets spéciaux soignées.
Quel claque! J'ai encore le premier plan en tête sur les singes qui me décolle la rétine. Le film est incroyable car il est à la fois émouvant et angoissant. C'est malin d'avoir rendu le propos nuancé sur les singes et les humains : les deux ont des défauts. Le scénario est très bien écrit, et il y a plein de trouvaille génial. Par rapport au premier c'est une autre dimension, et en même temps parfaite continuité. L'action est très bien gérée, on ne s'ennuie pas une seconde. C'est splendide !
Rare sont les suites supérieures au premier film. 2e film de la trilogie de la decennie 2010 de "La Planète des Singes" avec énormément de qualités ! Visuellement c est toujours aussi propre et bluffant. Son histoire est captivante et reste fidèle à l'idée de l'œuvre originale (dénonçant beaucoup de choses). La surprise vient de sa mise en scène : Matt Reaves propose un grand spectacle avec de très belles scènes ! Même si le film de 1968 reste le meilleur film de "La Planète des singes", celui là se trouve juste derrière (à titre personnel). Film maitrisé
Mois bien que le 1er mais je lui mets Quaid même 4 par rapport à la situation qu'il évoque au début du film, où c'est le COVID avant l'heure et où le film ne se trompe pas tellement sur les conséquences d'une pandémie. Visionnaire. Après le film est en fait assez dispensable car même si les combats entre singes sont très bien fichus, il n'apporte pas grand chose à l'histoire en elle même. On a compris des le 1er que les hommes ne veulent voir dans les singes une humanité, et les singrs se méfient des hommes.
« La Planète des Singes : L'Affrontement »de 2014 reste tout aussi incroyable que son prédécesseur, et cela ne surprend guère avec Matt Reeves à la barre. Sous sa direction, cette suite ne pouvait être vouée à l'échec. César est encore plus impressionnant à l'écran, tout comme toute sa tribu d'ailleurs. L'écriture des évolutions des personnages est remarquable, et l'histoire continue de nous captiver. Malgré une fin un peu brouillonne, le film parvient à maintenir un haut niveau d'intensité et d'émotion.
Je pense vraiment qu'en terme d'histoire, c'est mon préféré, même si objectivement, le 1er aux yeux de beaucoup et je peux comprendre, est meilleur. Mais dans la transition des humains qui essayent de survivre, il y a encore des civils et César qui croit encore en l'humanité. Je trouve ça fort même à la fin où Koba meurt par sa main. C'est triste, mais c'est tellement logique. Koba, d'ailleurs, qui représente vraiment la colère, la folie, le fait qu'il ne pardonne pas. Vraiment fort au niveau du scénario, je trouve.
Dans le paysage cinématographique de la science-fiction, "La Planète des singes : L'Affrontement" (ou "L'Aube de la planète des singes" au Québec) se présente comme une suite intrigante mais inégale. Réalisé avec brio par Matt Reeves, le film est un mélange de prouesses techniques et de moments d'émotion pure, porté par une performance exceptionnelle d'Andy Serkis en César, le chef des singes. Le travail sur les effets spéciaux est à couper le souffle, donnant vie à une tribu de primates d'une manière qui défie régulièrement l'œil et l'esprit. La musique de Michael Giacchino, à la fois épique et touchante, enrichit chaque scène, apportant profondeur et gravité au récit.
Cependant, le film est entravé par un scénario qui, malgré ses ambitions, peine à trouver un équilibre entre l'action et la profondeur émotionnelle. Si la relation entre César et les humains explore des thèmes de confiance, de trahison et de coexistence, elle est par moments desservie par des personnages humains moins développés et des arcs narratifs prévisibles. Le film tente d'aborder des sujets lourds comme le racisme, la vengeance et la diplomatie, mais ces thèmes semblent parfois superficiels dans leur traitement, ne laissant pas assez d'espace pour une exploration plus nuancée.
Le principal antagoniste, Koba, offre une dynamique intéressante avec son revanchisme et sa haine des humains, fournissant une réflexion sur la nature des conflits et le cycle de la violence. Toutefois, cette intrigue secondaire, bien qu'efficace pour alimenter le conflit, peut parfois sembler forcée, éclipsant les dilemmes moraux plus subtils auxquels César est confronté.
Le film excelle dans ses scènes d'action, orchestrées avec une maîtrise qui frôle le ballet cinématographique, particulièrement lors de l'affrontement final. Néanmoins, ces mêmes séquences, bien qu'impressionnantes, peuvent par moments éclipser le cœur émotionnel du film, laissant le spectateur admiratif mais émotionnellement distant.
En fin de compte, "La Planète des singes : L'Affrontement" est un film visuellement époustouflant et techniquement remarquable, avec des moments d'une émotion brute et poignante. Cependant, il est entravé par un scénario qui ne réalise pas tout à fait son potentiel, oscillant entre des moments de brillance cinématographique et des passages qui semblent manquer de profondeur. Il s'agit d'une œuvre imparfaite mais admirable, un chapitre de la saga qui, malgré ses faiblesses, reste une expérience cinématographique mémorable.
Notre histoire… celle des singe continu et nous montre l’évolution de notre monde. Plongez dans ce monde est juste… il n’y a pas de mot pour ma part. L’acteur qui interprète notre personnage principal est juste excellent.