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landofshit0
279 abonnés
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0,5
Publiée le 28 janvier 2013
L'abominable narration et le scénario truffé d'incohérences ne donne qu'un médiocre film de série B.Il est flagrant que Pal Sletaune n'a pas un instant soigné son écriture.Il enfile ainsi les invraisemblances,quant aux personnages ils ne sont que sommaire.Donc il est impossible de s’intéresse à eux,et à ce pseudo film qui se veut jouer avec les nerfs du spectateur;la tension créée est inexistante.Les scènes,les actions,et surtout les émotions des personnages passent sans cohérence de la tension au rire, c'est d'une grande bêtise.Tout ça n'est rien qu'une pauvre coquille vide,qui voudrait mais ne peu pas..
j'ai bien aimé l'histoire, une femme fuit son mari violent pour protéger son fils des coups de celui-ci par contre le film est assez lent et ambigu l'actrice est parfaite toutefois on se perd un peu comme le personnage
Un thriller norvégien qui dispose de bons atouts comme son ambiance pesante ou encore l'interprétation habitée de son actrice principale. Malheureusement, l’intrigue est rapidement prévisible. Le final est d’ailleurs assez mal amené et semble incohérent. "Babycall" est donc un film un peu maladroit, qui déçoit en voulant lorgner des idées déjà maintes fois exploitées par d’autres films ! Le scénario se révéle d'ailleurs très proche de celui de la réalisation espagnole "Hierro" !
La très douée Noomi Rapace se met au service d’une intrigue prenante à l’ambiance très anxiogène. Malgré des incohérences flagrantes, le réalisateur norvégien parvient à instaurer un climat glacial de peur panique, aux limites du fantastique. Il se repose sur son actrice principale mais n’évoque que de façon superficielle les thèmes de la maltraitance d’enfants et de l’isolement citadin qui peut conduire à l’aliénation.
Si la mise en scène est plutôt convenue, Babycall dégage toutefois un certain réalisme et un désespoir sous-jacent, attisé par une véritable dramaturgie du quiproquo. Parfois insaisissable lors d'un premier visionnage et avant d'être un film fantastique, Babycall s'assume comme un bon gros psychodrame paranoïaque, qui peut, certes, sembler parfois tiré par les cheveux, mais qui finit par trouver un certain équilibre lors de ses ultimes plans. Notre critique complète est en ligne sur le site terreurvision.
Un film sans aucun intérêt me concernant. Du déjà vu et revu, sans aucune originalité, mais avec un ressenti de l'ennui beaucoup plus important. À fuir!
8/20 : Au début du film, nous sommes captivés par cette ambiance froide et mélancolique, la tête emplie de questionnements, « de pourquoi et de comment ». Noomi Rapace (dans le rôle d’Anna) excelle dans ce rôle de mère possessive et perturbée à l’allure négligée. Mais plus le film avance, plus nous nous lassons de toutes ces interrogations sans réponses, devenant de plus en plus barbantes. BABYCALL fait parti de ces films où le réalisateur veut surprendre le spectateur au dénouement final par une justification de toutes ces scènes inexpliquées. Malheureusement, le réalisateur Pal Sletaune n’y est pas arrivé. Frustrés nous sommes, en voyant ce twist final à la limite de l’absurde, manquant totalement de cohérence et de crédibilité. Avant de vouloir nous en mettre plein la vue Pal Sletaune, tu ferai mieux de relire plusieurs fois ton script !
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Noomi Rapace étant mon actrice favorite, je ne pouvais louper ce film, pour lequel elle a obtenu le Prix de la meilleure actrice au festival de Rome.
Thriller psychologique et drame d’épouvante à la fois, sorte de "6e Sens" norvégien Babycall nous entraîne dans le quotidien de plus en plus inquiétant d’une mère de famille instable, à deux doigts de sombrer dans la folie. Fragile et belle, Noomi Rapace porte donc le film sur ses épaules, campant un personnage de jeune femme en rupture de lien social et dont le seul attachement au monde reste son enfant surprotégé. Femme faible et torturée, on éprouve de la pitié pour elle et le sentiment d’empathie fonctionne parfaitement. Une prestation impressionnante pour l’actrice transformée aussi bien physiquement que dans ses gestes et paroles. Le début du film commence de manière assez classique, mais très vite le fantastique s'installe, ainsi que la paranoïa, le film gagne en complexité tandis que des interrogations se posent.
Si l’on devine bien qu’un drame particulièrement terrible fut à l’origine de son comportement fuyant et déséquilibré, le réalisateur ne s’attarde jamais là-dessus, ni sur les manifestations étranges qui parsèment son film. À l’aide d’une mise en scène discrète mais d’une efficacité redoutable, et d’un scénario manipulateur se jouant des repères du spectateur, « Babycall » délivre quelques trésors de sensibilité et d’émotion, sans jamais perdre de vue son héroïne ou le drame qui la bouleverse.
Un bon film, qui m'a tenu en haleine, grâce à une superbe performance de ma Noomi
14 040 abonnés
12 481 critiques
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3,5
Publiée le 30 juillet 2014
Ici, le « Babycall » est un objet apparemment anodin qui fout les jetons (un ècho de bèbè), vous savez cette espèce de talkie-walkie qui sert aux parents à surveiller leurs enfants qui dorment! Dans une rèalitè quotidienne totalement cafardante, le spectateur est tenu en haleine de la première à la dernière minute! Rèvèlèe par la version suèdoise de "Millenium" avec ce visage incroyable dont on ne se lasse pas, Noomi Rapace est parfaite dans cette intrigue trompe l'oeil, auquel le norvègien Pal Sletaune injecte une solide dose de tension! On n'est avec cette femme et on ne sait pas dans quelle mesure ? Ce qu'elle voit, ce qu'elle vit, la rèalitè ou son fantasme ? C'est ça le deal de ce long-mètrage malin et manipulateur! A partir de là, on a beau savoir ça, on ne peut pas dècider en voyant ce "Babycall", avec une mise en scène qui crèe l'angoisse! De plus quand on regarde le film très attentivement, il y a pleins d'indices dans les cadrages qui nous explique parfois le pourquoi du comment! Attention confusion total dans le final, il faut donc s'accrocher pour tout comprendre...
Le premier film d'envergure de Noomi Rapace après le succès mondial de la trilogie "Millenium". Un film qui est vendu comme un petit film d'horreur mais qui s'avère très vite, en fait, un thriller psychologique. Le scénario instaure une bonne atmosphère, claustrophobe et paranoïaque avec en prime une Noomi Rapace épatante en femme apeurée et perdu, aux fêlures saillantes. Mise en scène classique mais tous les ingrédients du genre sont bien mis en place (ambiance, paranoïa, solitude...). Le vrai problème c'est qu'à force de jouer sur l'invisibilité des faits, sur la suggestion le film laisse la place aux suspiscions du spectateur et donc étouffe le suspense ; le twist final est donc plus attendu que subit. Néanmoins ça reste un bon film, la performance de Noomi Rapace n'y est pas pour rien.
...Il va sans dire que l’ensemble du film est d’une solidité sans faille. Le scénario et la mise en scène du norvégien Pal Sletaune sont d’une efficacité à toute épreuve. Le suspens est haletant et redoutable, nous menant dans divers directions, nous embrouillant et nous perdant en permanence quand on pense avoir retrouvé le chemin. D’entrée une ambiance tendue et totalement paranoïaque s’installe pour une montée en puissance jusqu’à une fin terrible qui nous laisse pantois avec une foule de questions. A chacun d’émettre sa propre théorie, le film ne donnant pas vraiment la clef d’une solution. A cela se mêle un côté fantastique (le film a été primé au festival fantastique de Gérardmer) savamment distillé nous laissant encore plus perplexe... La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-babycall-104466117.html