Avis : Divergente - Page 7

Le livre est peut-être très bien, mais le film ne me donne à aucun moment envie de le lire pour le savoir... Un film pour adolescentes (et pourquoi pas adolescents, sans préjugés) qui baveront certainement sur l'acteur principal et s'identifieront à la miss qui tient le premier rôle. Mais force est de constater que le jeu des deux jeunes gens est encore incomplet, il manque encore un peu de maturité, et on ne peut pas réellement croire aux émotions à cause de cela. L'histoire post-apocalyptique est un peu courante de nos jours, et Divergente ne déroge pas à la règle (on s'approche des Hunger Games, ou de The Giver surtout, et autres films qui veulent faire rêver les ados en place de sauveurs du monde...). Le premier de la saga reste encore regardable, ce n'est pas (encore) affligeant ni insupportable. L'intrigue en elle-même utilise des raccourcis qui l'arrangent bien et font sourire les spectateurs qui y sont attentifs, et es retournements de situation à la fin sont un peu trop prévisible (exemple du traitre, on le voit arriver à cent mètres et les personnages ont l'air ébahis... moyennement crédible). Si vous êtes une ado qui rêve de se voir sauver le monde avec un gaillard musclé à ses côté, le film est pour vous ! Autrement, un film d'ado un peu fade...

Un petite déception. Bien que je ne connaisse absolument pas les livres dont le film a été tiré, j'attendais avec curiosité ce Divergente. Au final, celui-ci se révèle un peu fade. Je n'ai pas d'énormes défauts à lui reprocher en-soi. Mais l'histoire est tellement cousue de fil blanc qu'elle en perd tout son intérêt. Le récit est beaucoup trop prévisible, toutes les supposées révélations tombent à plat tant on les voit arriver à des kilomètres à la ronde. Et la durée du film ne vient pas aider ce point. Bien trop long, faisant place à des scènes pas forcément utiles ou peu intéressantes. Malgré ces aspects dérangeants, le principe même du film est quand même sympa, à savoir une séparation de la société en 5 différentes castes en fonction du caractère des individus. Le casting est plutôt bon dans l'ensemble, à l'exception de Theo James totalement inexpressif. Neil Burger délivre au final un divertissement inégal, parsemé de longueurs, qui manque cruellement de folie. Bien trop convenu.

Voilà de quoi apporter un peu de concurrence à Hunger Games, Divergente est également l’adaptation d’une série de romans à succès signés Veronica Roth. Pas mal de points communs entre les 2 sagas ; on est plongé dans un monde futuriste pas très rose avec une héroïne qui va venir bouleverser les choses et bien sur (attention gros spoiler) une belle romance. Visant un public jeune, le film de Neil Burger devrait toucher sans mal sa cible mais difficile de ne pas souligner une histoire peu surprenante et des scènes d’action peu spectaculaires (le must étant un jeu de guerre). Espérons que ça bougera un peu plus dans les suites à venir.

L'univers de "Divergente" est intéressant à découvrir. Cependant, l'adaptation de Burger a pour résultat un film d'une lenteur incroyable. Il ne passe pas que très peu de choses en un peu plus de deux heures. Dommage ! Dans l'ensemble très déçu, notamment par les scènes d'action et les effets spéciaux.

que c'est mou, tout ça! je me suis ennuyé, même si, d'habitude, j'aime bien ce genre de film. l'actrice principale, bien que juste, est trop banale et ordinaire pour qu'on puisse s'attacher à elle. et plus de 2 heures pour raconter quelque chose qui tient sur un paragraphe, c'est trop.

malgré pas mal d'actions le film reste assez simple et peu novateur. les acteurs manquent d'arguments pour pouvoir exprimer leurs talents. déception pour moi.

Critique de "Divergente".
Sans la pression de mon entourage je n'aurais sans doute jamais entendu parler de ce film. Il n'y avait que des critiques positives "c'est trop cool" "super film" "ils sont mignons".... Là je me dis que j'ai raté quelque chose. Je suis venu, j'ai vu, j'ai été déçu. Le manque d'idée est flagrant, la touche "Hunger Games" est omniprésente. Au final on est face d'un teen movie qui n'apporte rien de nouveau, n'ose rien de concret. L'idée de départ est mal exploitée. Les deux personnages sont trop clichés, le réalisateur insiste tellement sur le fait de les rendre attachant que ça en devient ridicule. L'histoire d'amour peu crédible, les facilités scenaristiques et acteurs avec autant de charisme qu'un chat ne font que confirmer ce qui est dit plus haut. Au final ce n'est pas réussi pour moi. Je veux donner sa chance au second opus...
2/5

Nouvelle grosse production destinée à l’adolescence, Divergente s’affiche comme la concurrence principale à la saga Hunger Games. Le postulat est passablement identique, mêlant aventure, science-fiction, amour et humour. Mais là où réside la force de la première saga, la référence, c’est dans son mixage entre film pour jeune public et récit d’aventure référencé destiné à un public plus mature. Divergente, de Neil Burger, lui, ne semble s’adresser qu’aux plus jeunes, délaissant la maturité, la complexité du concept exposé au profit d’une amourette et d’aspects héroïques souvent douteux. Par ailleurs, n’est pas Jennifer Lawrence qui veut. Même si la jeune Shailene Woodley est prometteuse en tant qu’actrice de demain, elle manque ici cruellement de charisme, de justesse pour pouvoir rivaliser avec l’actrice primée aux Oscars, dans tous les sens du terme, on s’entend.

Si je m’efforce de tracer un parallèle entre les deux franchises, c’est tout simplement du fait que Divergente profite allègrement et sans s’en cacher du phénomène Hunger Games. Moins bon que son modèle, malgré un travail esthétique satisfaisant, la mise en scène de Neil Burger, Divergente ne sort jamais réellement du cadre de la simple fantaisie adolescente. Il manque ici cruellement au casting des acteurs adultes cadres, hormis une Kate Winslet complètement aux fraises. Naïf, souvent pataud, le jeu des comédiens n’est pas exempt d’un nombre étonnant de défauts, tant et si bien que l’on ne croit pas vraiment à ce concept de clan, de société modélisée, de coup d’Etat. Peu importe le scénario, dans le fond, l’intérêt du jeune public se portera de prime abord sur la destinée de la jeune héroïne, son amourette avec son ténébreux instructeur, Theo James.

Si tout commence plus ou moins bien, la première moitié étant nettement meilleure que la seconde, les choses partiront très rapidement en quenouille, vers un acte final franchement très bancal, à la chronologie et à la mise en scène laborieuses. Très honnêtement, Divergente n’offre pas l’envie d’en découvrir une quelconque suite malgré tous les investissements consentis. Oui, parce que Divergente est un film à très gros budget, cela permettant la création de décors très agréables à l’œil, l’un des rares points positifs dans tout ça. Quant à son actrice principale, Shailene Woodley, révélée chez Alexander Payne, soulignons qu’elle semble nettement plus à l’aise dans des productions indépendantes que dans ce type de grosse machine. Pour autant, si elle ne m’a pas convaincu, elle semble s’être attirée, avec ce rôle, la sympathie des foules et avoir lancé sur ce fait une carrière prometteuse. Affaire à suivre.

Difficile de parler de déception lorsque l’on n’attendait rien d’un film. Pour autant, j’aurais espéré, pour satisfaire ma curiosité de cinéphile touche-à-tout, un film plus mature, plus touchant et surtout au scénario nettement plus soigné. Dans le fond, Divergente, malgré son succès commercial, reste un Outsider dans la course visant à détrôner Hunger Games. Ici, c’est clairement l’aspect naïf et adolescent de l’œuvre qui plombe une bonne idée SF, la vision d’une telle société, bien qu’un peu bancale, est une idée à fort potentiel. Espérons qui si deuxième volet il devrait y avoir, un fait incontestable, des efforts soient consentis pour en faire un film plus ambitieux. 07/20

Le Gattaca du pauvre

L’art de piller un héritage

Divergente rime avec indigente, tant cette histoire d’anticipation qui mange sans vergogne à tous les râteliers du genre, semble avoir été calibrée pour permettre à des adolescents de jouer aux philosophes à peu de frais. Prenez une ville (américaine forcément…), installez-là dans un futur post-apocalyptique et reproduisez-y jusqu’à l’écœurement tous ce que vous avez vu ou entendu sur le sujet résultat : Divergente manque d’inspiration et accouche d’un amas indigeste de références qui ne respectent même pas les œuvres qu’il pille.

Bienvenue À Chicago

Nous sommes donc à Chicago, dans un futur plus ou moins lointain, la ville est encerclée de murs de protection car au-delà, il y a des méchants. On ne saura jamais ce qu’ils sont, juste qu’ils sont méchants. En ville, la société est divisée en cinq castes basées sur des traits de caractères et sensées apporter un équilibre pacifique à la population. Chaque jeune arrive donc un jour à devoir choisir, lors d’une grande cérémonie, la caste dans laquelle il souhaite vivre, sans retour en arrière possible. Parmi eux il y a Béatrice, qui ne sait pas quel choix faire, car elle est divergente et possède donc un « don » pour plusieurs castes. Sauf que les divergents font peur à la caste des « intellos » qui y voient une menace à leur future prise de pouvoir.

Pâle copie de Hunger Games, Divergente s'inscrit dans la lignée des teen-movies du moment, avec toujours la même trame de fond (au sein d'une société soumise à un pouvoir totalitaire, un ou deux ados rebelles, de préférence des belles gueules de star, attisent la révolte). Même esprit que Hunger Games donc, mais malheureusement pas la même qualité. On tombe rapidement dans les dialogues clichés et inutiles, et surtout dans un sentimentalisme à vomir. Il y a quelques bonnes idées, certainement issues du livre, mais elles sont sous-exploitées, le réalisateur préférant s'épancher sur l'héroïsme et la vertu de ses personnages; bref, un bon vieux blockbuster dégoulinant de naïveté et de bons sentiments. Malgré les moyens, encore une fois. Car s'il y a bien un aspect qui mérite qu'on qualifie Divergente même de "divertissement", c'est ce monde imaginaire, construit à coups de costumes et d'effets numériques hyper crédibles. Mais là encore, Hunger Games surpasse Divergente. Ce dernier n'a qu'un monde. Hunger Games a créé un univers. Avec sa propre atmosphère, ses propres codes, son propre esprit. Ce n'est pas du tout ce que j'ai ressenti dans ce film. Ordinaire.

On ne nous épargnera pas tous les clichés qu'on peut attendre de ce genre de film. Pour consensuel (et pas si "divergent" donc) qu'il soit, l'appel au refus de la "catégorisation" ne peut pas faire de mal...

Décidément ce début 2014 est vraiment décevant. On assiste ici à teen movie, et oui encore un de plus qui s'ajoute à la longue liste des franchise tirée de bouquin pour ados qui espère rencontré le succès monstre de Harry Potter.

Pour l'instant Hunger Games arrive à la cheville de ce dernier grâce a sa qualité et sont intérêt. Twilight a connus un bon succès mais le reste c'est pas terrible. Divergente est donc décevant en terme d'histoire, de réalisation, et de personnage. On tombe encore une fois dans les cliché types de ce genre de films, sans grande surprise, sans grands intérêts l'histoire au départ est plutôt convenable mais au fur et a mesure sa avance progressivement pour ne laisser place à pas grands chose. C'est vide, c'est pas toujours très bien faits.

Le seul gros atouts du film qui le permet d'avoir la moyenne ce sont les musique tout du long, bien entendu des ost et non du score. En effet on reconnais bien ici la patte du grand Hanz Zimmer, excellent compositeur qui viens livré une partition excellente en collaborations avec d'autres compositeur. Beaucoup inspiré de Man Of Steel la musique nous fais du biens au oreilles mais l'histoire autour ne nous entraine malheureusement pas plus que sa dedans.

C'est dommage car le film est relativement long ce qui aurait pu être intéressant pour montrer des choses captivantes cependant de n'est pas le cas, le scénario ce perd dans des tours et des détours invraisemblable et pas du coup éfficace.

Dommage encore une déception.

Une société divisée en 5 classes après des tests passés puis une intégration avec un parcours bien établi et une autorité adéquate, sauf que si vous êtes nulle part (ou partout au choix) on vous jette. Heureusement que cela n'est que de la fiction si l'on faisait la même chose dans notre société je me demande qui gagnerait, car automatiquement lorsque deux clans se rencontrent et que l'un veut la suprématie cela fait des dégâts. Ce n'est pas vraiment ma tasse de thé ce genre de film mais il y a des moments certes violents, troublants mais avec un peu d'humanité tout de même...à la fin.

Encore une énième trilogie pour teenagers. Alors autant j'ai bien aimé certaines, autant là ça devient lourd. pleins de clichés vu et revus. très peu de sang frais. ça surfe clairement sur Twilight et Hunger games. quelques idée sympas mais tellement nul dans l'ensemble

Trop long les scènes d'action montrées dans la BA n'apparaissent qu'à la fin du film