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Cadreum
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215 critiques
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3,5
Publiée le 25 mai 2024
L'Amérique en Éden, mais piégée dans le couloir de l'enfer où Joaquin Phoenix incarne avec charisme ce tableau suintant de noirceur, tandis que la brillante Marion Cotillard, éclairée par James Gray, représente le rayon d'espoir. Entre eux se tisse un drame romanesque d'un amour non réciproque, une sœur piégée et un magicien qui promettera un idylle.
James Gray, un des réalisateurs americains parmi les plus doués de sa génération, propose avec " the immigrant" un portrait de l'immigration aux usa à travers l'histoire d'une Polonaise contrainte à la prostitution pour survivre.
Si la première demi-heure est sans doute la plus réussie de l'ensemble, " the immigrant" malgré ses qualités formelles indéniables ( photo et mise en scène) ne parvient pas à convaincre totalement.
Le scénario, beaucoup trop minimaliste n'y est sans doute pas pour rien et le casting prestigieux ( joachim Phœnix et Marion Cotillard) ne parviens pas à rehausser l'intérêt pour l'opus de James Gray.
Sans doute un des films les moins reussis de son auteur ( on est loin de la maîtrise développée dans " the yards" et " la vie nous appartient ", voir " the last city of z") qui représentent à mes yeux les plus grandes réussites du cineaste.
Pourtant malgré ses imperfections et sa longueur injustifiée ( la dernière demi-heure m'a semblé trop poussive), " the immigrant" comporte suffisamment de qualités pour y jeter un œil.
On invite toutefois le spectateur à visionner de préférence les trois titres du cinéaste cités plus haut qui donnent, eux, la vraie mesure du talent du cinéaste.
Comme toujours chez James Gray, ça part pour être génial mais finalement c’est correct.
Et pourtant les intentions sont louables : la deconstruction du rêve américain. Il a quelque chose à dire sur le sujet.
La première moitié est plus que convaincante, c’est intéressant, touchant, on a envie de voir la suite, mais il ne sait pas s’arrêter à temps. C’est trop long, tout simplement.
Marion Cotillard est resplendissante. Ce n’est pas elle qu’on voit dans The immigrant mais son personnage. Elle s’efface complètement derrière. Joaquin Phoenix fait Joaquin Phoenix. Jeremy Renner se débrouille.
Photographie sublime et narrative, Darius Khondji oblige.
Un mélo avec des moyens conséquents, une photo splendide, une mise en scène élégante et pourtant, je n'ai pas été plus emballé que ça. Parce qu'une fois de plus, ça ne manque pas d'intention mais de passion. Et la fin est ratée. Les acteurs sont tous impeccables, sinon.
Décevant. J’avais adoré Two Lovers et La nuit nous appartient du même réalisateur et avec Joachim Phœnix également. Mais The Immigrants n’a rien à voir: il ne se passe quasiment rien. Long. L’idée de montrer le sort des immigrés européens post guerre mondiale est intéressante et originale. Mais des arrivée, la pauvre Ewa-Marion Cotillard est dépendante d’un proxénète sans qui elle se retrouve à la rue et qui est son seul espoir de retrouver sa sœur. Et à partir de là, il ne se passe plus grand chose à part les femmes traitées comme des marchandises pour hommes avinés. Même l’amourette entre Marion Cotillard et Jeremy Renner est fade, plus digne d’un sitcom que de la passion de Two Lovers.
Trop lent bien que Joaquin Phoenix joue extrêmement bien. James Gray nous racontes tout de même une histoire qui pourrait arriver dans la vie de tout les jours et qui n'est pas joyeuse.
Dans une saisissante interprétation de Marion Cotillard et de Joaquin Phoenix, son acteur fétiche, James Gray déroule la difficile intégration d’une immigrante polonaise dans les années 20 aux Etats-Unis. Ce mélodrame est filmé sans surenchères ni semblants, dans des décors magnifiques d’où ruisselle la détresse, le désespoir et la désolation. Le film est toutefois un peu long et génère quelques fois une morosité de mauvais aloi qui pèse sur le plaisir.
Le thème me plaisait seulement l'ensemble est trop larmoyant et puis l'image manque de luminosité ce qui rend encore plus l'atmosphère lugubre. Ce n'est pas mauvais, juste trop dans la démesure mélodramatique pour me satisfaire.
Film sur la vulnérabilité des migrants et des prédateurs qui les avillissent, surtout lorsque ce sont des femmes. James Gray instale son sujet dans le New York du début du XXè siècle. Bon film, un brin mélo et manichéen à mon goût.
Je n'étais pas particulièrement fan de M. Cotillard, mais dans ce film, elle est excellente. Idem pour J. Phoenix et J.Renner, aussi bon dans ce rôle que dans les films d'action. Il faut avoir connu des parcours de vie difficiles soit même (sans forcément parler de prostitution), pour savoir que cette histoire inventée pour le cinéma aurait pu être une histoire vraie. Et des histoires comme celle là, il a dû en exister, surtout en période de guerre ou d'après guerre. Ce film est forcément triste, mais aussi inoubliable.
James Gray qui m'avait habitué à du très grand cinéma notamment avec du genre mafia pour "We own the night" et "The yards" ou encore de la romance de qualité avec "Two Lovers" me déçoit beaucoup pour "The immigrant". Malgré un personnage principal Bruno incarné par l'excellent Joaquin Phoenix, cette histoire d'amour entre Ewa une immigrée polonaise et Bruno, une sorte de maquereau américain, n'est vraiment que très peu plausible....Certaines scènes font vraiment sourire lorsque que Bruno dit à Ewa qu'elle est magnifique. On n'y croit pas tant Marion Cotillard est laide dans ce rôle de pauvre polonaise sans le sou. Je trouve que Marion Cotillard joue excessivement mal et tue presque le film.James Gray se rate lamentablement, quel dommage après avoir réalisé auparavant des films absolument excellents.
New York, 1921. Ewa et sa sœur Magda, qui émigrent de Pologne, débarquent à Ellis Island, la Terre promise au fond des yeux. Mais Magda, tuberculeuse, est aussitôt placée en quarantaine, avant son expulsion programmée, au grand désespoir d’Ewa, qui jure de la sortir de là. Isolée et désemparée, cette dernière est bientôt recueillie par Bruno Weiss, un proxénète, homme tout à la fois providentiel et vénéneux, qui lui propose du travail en échange de la libération de sa sœur. Pour sauver Magda, Ewa, la catholique, consent alors à se prostituer avant qu’Orlando, illusionniste et cousin de Bruno, ne fasse renaître en elle un espoir, sous le regard fou de jalousie du maquereau. un film magnifique avec un grand casting joaquin phoenix ( gladiator two lovers ) marion cotillard ( the dark knight rises ) jeremy renner ( avengers ) musique composée par dana sano un film historique sans l immigration aux états unis les états unis ne serait rien le mélange des cultures dans tout le pays avec les immigrés venu de l europe entiere dans le nouveau monde un film pour l histoire