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    Le Garçon et le Héron
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    Vinz1
    Vinz1

    188 abonnés 2 454 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2024
    Pour moi, c'était sans conteste un des meilleurs films d'animation de Miyazaki depuis "Le voyage de Chihiro" ! Univers féérique merveilleux d'une grande beauté visuelle, séquences oniriques en veux-tu en voilà, bestiaire bien fourni et surtout pas mal de références visuelles à tout un pan de la filmographie du studio Ghibli. Même s'il est difficile de bien assimiler le scénario, chacun pourra y voir ce qu'il veut. Pour ma part, j'y ai perçu tout le voyage qu'il faut parcourir pour bien faire son deuil quand on est jeune. Et à tous ceux qui critiqueront justement le récit semblant chaotique par moments, je leur dirai de se laisser porter et citerai une phrase du métrage : « Ceux qui cherchent à comprendre périront » !
    Nath Visuals
    Nath Visuals

    62 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 décembre 2024
    Ce n'est qu'au bout du troisième visionnage que je me décide enfin à écrire une critique sur le dernier chef d'œuvre de Hayao Miyazaki. Si je ne l'avais pas fait plutôt, c'est que je ne me sentais pas prêt à écrire une critique sur cette œuvre, même si aujourd'hui je ne pense toujours pas que je le suis.

    Le garçon et le héron est probablement le film le plus mystérieux et le plus personnel du génie de l'animation. Un film que l'on croit comprendre mais après avoir vu "Hayao Miyazaki et le héron", un documentaire montrant tout le processus de création de 2013 à 2023, tout a été balayé.
    En effet, de ce que j'avais vu sur internet et compris du film, pour moi le grand oncle était Miyazaki et Mahito était son petit fils. Hayao se fait vieux et réalise ce film en pensant que ce sera son dernier. Quoi de plus logique que de penser que la phrase "Mahito, veux-tu continuer mon oeuvre ?" est destiné à son petit fils ? Car en plus de cela, il ne fait pas confiance à son propre fils. Pour le héron, je n'avais toujours pas compris qui il représentait.

    Mais quelle fut ma surprise quand dans le documentaire, Miyazaki explique que le grand oncle est Isao Takahata, mort durant la production du film, que le héron est Toshio Suzuki, donc le producteur et co-fondateur de Ghibli, et que Mahito est Hayao. Il l'explique tellement bien dans le documentaire mais rajoute du doute. Notamment par exemple le moment où le grand oncle prononce la phrase "Il faut que mon successeur soit de ma lignée". Sauf que c'est Takahata donc qui prononce ces mots.
    Isao Takahata a une énorme place dans le coeur de Miyazaki, il en parle en disant "on se détestait autant qu'on s'aimait". Ils étaient les deux meilleurs amis que tout oppose et on le voit bien dans leur film. Isao était vu par Hayao comme un "idéal" à atteindre. Même si le mot n'est pas vraiment le bon, Hayao avait un respect infini pour lui. Il est donc logique qu'il soit dans son film.

    Mais alors pourquoi ce délire de successeur ? Ghibli cherche depuis 25 ans un successeur à Isao et Hayao, l'espoir était Yoshifumi Kondo (réalisateur de "Si tu tends l'oreille"), mais il est mort en 1998. Si Mahito est Miyazaki et si le grand oncle est Isao Takahata, ça n'a pas de sens que Takahata voit en Miyazaki son successeur. Ou alors, le film montre une double lecture où les personnages se détachent de leurs motivations. Ils sont simplement inspiré mais destiné à autre chose, comme le fait que Miyazaki voit en son petit fils, un successeur. Pour ce qui est du héron, beaucoup de mystère tournent autour de ce personnage très haut en couleur et qui représente Suzuki.
    Même si je met 5 étoiles, je ne peux toujours pas vraiment noter ce film, parce que je sais qu'il est probablement l'un des meilleurs de Miyazaki, beaucoup l'ont déjà compris. Le film en France a pour titre "Le garçon et le héron" mais le titre original est "Et vous comment vivrez vous ?". Et là je pense que pour comprendre le mieux le film, il faut se mettre le titre original en tête. Car oui Hayao délivre un message avec une question, il nous montre deux monde et nous dit que l'on peut choisir. Mais ici dans un sens de création.
    Mahito peut presque être vu comme nous-même spectateurs qui continuons l'œuvre de Miyazaki, c'est à dire tout ce qu'il a mis en avant depuis "Le château de Cagliostro" et dans ses thèmes. Les plus dominants sont :

    - le féminisme mais dans le sens d'une femme forte, qui peut diriger, qui est créative, inventive comme dans Princesse Mononoke avec San et Eboshi qui sont deux femmes très fortes, avec Nausicaä qui dirige la vallée du vent, qui est respecté, avec Fio qui dirige la réparation d'un hydravion devant Porco qui est l'incarnation du misogyne au début du film, avec Chihiro plus courageuse que jamais. Et même si ces qualités ne sont pas les éléments principaux, Miyazaki met des femmes en personnage principal ou dans les principaux dans absolument tous ses films, que ce soit avec Mei et Satsuki dans Totoro, Ponyo et la mère de Sosuke, Kiki qui vient sauver Tombo, Naoko, Sheeta et Sophie.

    - L'écologie est aussi dans les thèmes principaux avec Princesse Mononoke et Nausicaa de la vallée du vent qui l'incarne le mieux et l'aviation qui est aussi présent dans presque tous ses films.
    Tous ces éléments qui soient engagés ou pas sont l'oeuvre et le message de Miyazaki. Et le message qu'il porte est : voulons nous d'un monde laid et pollué par la bêtise humaine ou d'un monde onirique où s'est retrouvé Mahito pour sauver sa mère.
    Pour ce qui est des perruches, nous n'avons absolument aucune info donné par Miyazaki dans le documentaire, j'ai l'impression que cette étape a complètement été zappé et c'est dommage parce que c'est l'un des éléments encore sombres. Car même si le message de fin est clair, pourquoi tous ces éléments avant, et notamment les perruches.

    La question des warawara est aussi à poser même si là on parle des embryons qui peuvent être chassé par les pélicans. C'est d'ailleurs l'un des moments que j'ai préféré du film, avec l'arrivée notamment de Himi.
    On a aussi le tombeau où Mahito se retrouve en arrivant dans le monde onirique avec cette grille en or magnifique et immense. Qu'est ce que cela représente, vraiment ? C'est d'ailleurs à ce moment là que Mahito lit "Ceux qui chercheront à comprendre périront". C'est vraiment une phrase très profonde, presque biblique mais qui résume bien le film. D'ailleurs au moment de la sortie du film Miyazaki a dit "si vous ne comprenez pas mon film, ne me demandez pas, moi non plus je ne l'ai pas compris". C'est quand même fort de dire ça pour son propre film. Comme si il avait mis dedans plusieurs éléments imbriqués qui chacun ont un sens mais qui assemblés font très mystérieux.

    Pour moi c'est ça Le garçon et le héron et on le voit dans le documentaire que Miyazaki a mis pleins d'éléments de sa vie, de ses précédents films et de ce qui l'entoure.

    Je n'en ai pas fini avec ce film, je le reverrai encore et encore jusqu'à avoir tout compris, car je suis persuadé que Miyazaki est le plus grand génie du cinéma d'animation et qu'il ne peut faire que des chef d'œuvre. Chacun de ses films m'ont tellement touché de plusieurs manières différentes et c'est au bout du troisième visionnage seulement que ça y est je commence à être touché par ce film, mais ce n'est rien par rapport à ses précédentes œuvres.

    Je vais finir par parler de la partie musicale où nous avons à nouveau le grand Joe Hisaishi. Ayant eu des bandes originales absolument sublimes dans Princesse Mononoke, Le voyage de Chihiro, Porco Rosso, Nausicaä de la Vallée du vent, Le château ambulant ou Le château dans le ciel, celle de "Le Garçon et le héron" est un peu à part. On a des moments musicales absolument sublimes comme à l'arrivée de Himi ou alors le thème principal, mais dans le film en général, la musique est moins présente. Le moment qui me fait le plus dire ça est le moment où Himi et Mahito se retrouvent et se font un câlin. Nous avons un silence absolu en dehors de leurs dialogues. C'est quand même assez étonnant alors que nous avons l'habitude avec Hisaishi que les musiques soient vraiment très présentent et portent le film du début à la fin. Mais là, le silence dicte le film. On a tellement de moments où seuls les dialogues ou les bruits de pas et de la natures sont les seuls éléments sonores. Mais c'est justement ce qui renforce la satisfaction et la beauté de la musique quand elle arrive.
    Autre exemple avec la scène d'ouverture qui est je trouve absolument magistrale, l'une des meilleures scènes d'ouverture de Miyazaki et je me souviens qu'au premier visionnage, en voyant cette scène glaçante de l'hôpital en feu avec cette animation flou et déformé, je m'étais dit "ça y est voici le nouveau chef d'œuvre de Miyazaki". Mais cette scène ne comporte aucune musique et encore une fois, c'est assez étonnant. Princesse Mononoke est comparable à ce film en terme d'actions en début de film, la musique est absolument incroyable et met tout de suite dans le bain pour le film de 1997.

    Pour conclure, Le garçon et le héron a encore pas mal de mystères non élucidé mais je n'ai aucun doute sur le fait que dans quelques années, je le considérerais réellement comme un grand film d'animation voir l'un de ses meilleurs, d'autant plus que l'animation est sans aucun doute la meilleure et notamment grâce à Honda qui est son chef animateur sur le film et qui apporte énormément. Les transitions, les mouvements du corps, la vitesse des mouvements, tout est sublime et en mériterai une critique et analyse entière !
    Marc L.
    Marc L.

    47 abonnés 1 607 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 décembre 2024
    Le retour de Hayao Miyazaki était inespéré mais peut-être pas totalement inattendu. Le maître a décrété que Ghibli ne pouvait lui survivre : concevoir un nouveau chef d’oeuvre, alors que le rythme de sorties du studio s’est considérablement ralenti ces dix dernières années, est une manière détournée de s’assurer de la véracité de cette prophétie auto-réalisatrice. Pourtant, ‘Le garçon et le héron’ ne révolutionne rien, ou si peu : comme dans ‘Le voyage de Chihiro’, comme dans ‘Mon voisin Totoro’ avant lui, il repose sur la découverte d’un univers parallèle magique, par un jeune garçon qui a du mal à s'habituer à sa nouvelle vie à la campagne (l’action se situe durant la deuxième guerre mondiale) et au remariage de son père…et ces sensations, propres au fait de découvrir un de ses films,, qu’on croyait avoir oubliées (même si le voyage initiatique surnaturel est une constante dans l’animation japonaise) de resurgir instantanément : Il y a un souci du détail le plus infime, le plus inutile en apparence, qui implique qu’on repère instantanément la griffe de Miyazaki (et par contraste, son absence dans d’autres productions nippones pourtant esthétiquement au-dessus de tous reproches). Il y a ce souci obsessionnel du réalisme - mais pas du photo-réalisme - des mouvements et des traits des personnages qui co-existe sans heurts avec des créations consciemment grotesques, comme les petites vieilles qui régentent la maison ou le fameux démon-héron (qui n’occupe pas une place aussi importante qu’on pourrait le croire au départ). Paradoxalement, ce réalisme est parfois totalement délaissé par Miyazaki, dont les choix visuels se dirigent alors vers l’abstraction, en témoigne cette introduction glaçante et inoubliable d’un bombardement à Tokyo, avec ses êtres humains déjà réduits à l’état de spectres gémissants ou de figures ondoyantes à moitié disparues. Bref, tout ça pour dire qu’avec cette première heure de film, jusqu’à l’arrivée proprement dite de l’imaginaire, on se trouve clairement dans le niveau chef d’oeuvre, qui avance à pas feutrés pour que chaque élément trouve précisément sa place, jusqu’à rendre une impression de perfection. Quel contraste avec la seconde moitié du film, où la fantaisie et la créativité explosent à chaque scène, à chaque tableau ! Certes, l’ensemble va parfois trop vite et le scénario se retrouve parfois pris en défaut de cohérence…mais qu’importe, au fond : non seulement c’est une habitude dans les films de Miyazaki mais on parle après tout d’un pays magique, qui constitue aussi une plongée totale qui ne dit pas son nom dans l’imaginaire foisonnant de l’auteur, dont les obsessions formelles et thématiques crèvent l’écran à chaque seconde : l’état mou, semi-liquide des créatures, qui convoque le souvenir du Sans-Visage de Chihiro ; les Warawaras, petits êtres blancs aux traits sommaires dont les cousins peuplaient la forêt de ‘Princesse Mononoke’ ; les femmes fortes, présentes dans tous ses films ; la surabondance de créatures (pélicans, grenouilles, perruches anthropomorphes,...) agglutinées au même endroit, comme l’étaient les poissons de ‘Ponyo sur la falaise’. De toute façon, les légers courts-circuits de la trame narrative ne pèsent pas lourd face à l’émerveillement perpétuel que suscite cette relecture frénétique d’Alice au Pays des Merveilles, dans laquelle Miyazaki lui-même se représente en créateur omnipotent, bien conscient que la survie même de sa création dépendra du temps qu’il passera à veiller sur elle…ce qui ne durera plus des années mais en attendant, ‘Le garçon et le héron’, tout en brassant les mêmes thèmes et en agitant les mêmes motifs, dans le désordre, que ses autres films (ou peut-être bien justement grâce à ce procédé ) prend instantanément sa place parmi les grands classiques inoubliables à oublier du créateur japonais.
    Rodilard
    Rodilard

    21 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 novembre 2024
    Même si les dessins sont magnifiques et inspirants, on a du mal à avoir de l'empathie pour le petit garçon de l'histoire. Je ne saurai pas dire pourquoi. Par ailleurs, la superposition d'éléments symboliques (ou relevant parfois de la farce) dont on ne comprend pas la signification devient au bout d'un moment un peu pesante. On assiste à l'envol d'un OVNI cinématographique dans un feu d'artifices qui scintille certes de mille feux, mais à bonne distance du spectateur.
    Alexandre Huguenin
    Alexandre Huguenin

    4 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 novembre 2024
    Bon film, à la symbolique forte. Même s'il ne dépasse pas (subjectivement) la prestance de certains de ses autres films, Miyazaki nous fait passer un beau moment.
    coton jeremy
    coton jeremy

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 novembre 2024
    Après tellement d'attente le résultat de cette nouveauté est juste magnifique. De la qualité de l'animation à l'ambiance fantastique, la musique parfaitement synchronisé et l'histoire, c'est vraiment un magnifique film à voir absolument.
    Louis Ricard
    Louis Ricard

    23 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 novembre 2024
    Comme d’habitude, l’univers et des dessins sont juste magnifiques ! Ce film autobiographique est très particulier et il sort du lot. Je pense qu’on aime ou on n’aime pas. Personnellement je ne suis pas rentré totalement dedans…
    Acidus
    Acidus

    737 abonnés 3 724 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 novembre 2024
    A sa sortie en 2013, « Le vent se lève » avait été annoncé comme le dernier film du grand Hayao Miyazki avant une retraite bien méritée.
    C’était sans compter sur les aléas de la vie et l’appel irrésistible de la Muse. Et c’est tant mieux !
    Car « Le vent se lève » ne m’avait pas plus enthousiasmé que cela alors qu’avec « Le garçon et le héron », le réalisateur japonais nous offre son véritable chant du cygne.

    J’ai retrouvé avec « Le garçon et le héron » tout ce que j’aime dans le cinéma de Miyazaki et notamment dans son chef d’oeuvre « Le voyage de Chihiro ». Basculement d’un monde à l’autre, une bonne dose de magie, un fantastique bestiaire inspiré de la mythologie japonaise, une histoire tendre qui fait un fort écho à notre monde réel, ce qu’il faut d’émotions,…

    Formellement, « Le garçon et le héron » est une pure merveille et peut-être le travail le plus abouti, de ce côté-ci, de l’animateur. Ce dernier peut en plus, et comme toujours, sur la magnifique partition du compositeur Joe Hisaishi.

    Le chant du cygne d’un des maîtres incontestés de l’animation japonaise et mondiale.
    Yvan Moullec
    Yvan Moullec

    16 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 octobre 2024
    Le Garçon et le Héron" est une œuvre sublime qui démontre une fois de plus le génie de Hayao Miyazaki. Ce film, qui mêle magie et introspection, nous plonge dans un univers à la fois onirique et poignant. L'histoire suit un jeune garçon en quête de sens, accompagné d'un héron mystérieux qui l'entraîne dans une aventure fascinante.

    Visuellement, le film est un véritable chef-d'œuvre. Les paysages sont d'une beauté à couper le souffle, et l'animation, comme toujours chez Studio Ghibli, est d'une finesse incroyable. Chaque image est une peinture vivante, chargée d'émotion et de détails.

    Sur le plan narratif, Miyazaki aborde des thèmes profonds tels que la perte, le deuil et la recherche de soi. La façon dont il tisse ces éléments avec une légèreté apparente est remarquable. Les personnages sont attachants et profondément humains, ce qui rend leurs épreuves d'autant plus touchantes.

    En somme, "Le Garçon et le Héron" est un voyage émotionnel qui mérite d'être vécu. C'est un film qui résonne longtemps après le générique de fin, laissant une empreinte durable dans le cœur des spectateurs. Un incontournable pour les fans de Miyazaki, mais aussi pour tous ceux qui apprécient le cinéma d'animation de qualité. Ne le manquez pas !
    Dominique Mathieu
    Dominique Mathieu

    16 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 octobre 2024
    Sans doute le pire des studios ghibli. Le scénario est un supplice, il n y a aucun sens, pas de but, pas de cohérence. Juste des phrases aléatoires et des scènes compliquée à dessiner techniquement. C'est peut être juste une demo? En tout cas c'est vide et ennuyeux à mourir...
    Suzie Hoff
    Suzie Hoff

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 octobre 2024
    Encore un monde remplie de merveilles et de nouveaux personnages attachant et merveilleux !
    Encore un film magnifique !!
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    299 abonnés 3 161 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 octobre 2024
    Bon bah voilà c'est encore la même chose avec ces maudits mangas... fait croire que c'est pas fait pour moi ! Et non car là, j'ai adoré le début comme rarement tant j'aimais le ton, l'histoire, les personnages... car tout était comme beau et triste à la fois mais soudain le héron se révèle et tout bascule ! Et oui moi qui m'attendais à une belle histoire d'amitié entre le petit garçon et le héros, on en est loin !! Bah oui car la créature dans le héron est décevante mais surtout après ça, l'histoire devient fantastique et je n'ai plus accroché ! Je n'arrive pas à adhérer à ce genre d'univers et malgré certains passages un peu meilleurs que les autres, je me suis ennuyé surtout que j'ai trouvé le personnage du petit garçon très antipathique alors ça aide pas... pas un énorme raté mais une grosse déception tout de même vu comment j'attendais beaucoup de ce héron !
    Taahz
    Taahz

    136 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 octobre 2024
    Le garçon et le héron est une expérience douce et pleine de quiétude. On s'attarde sur les détails et on écoute les bruits du monde qui nous est proposé. Le style d'animation propre au studio invite à la contemplation.

    Le héro se réfugie dans un monde loin de la guerre, un monde presque antithétique à celui dans lequel il vit, où les vielles dames peureuses deviennent jeunes et courageuses et où sa mère joue avec le feu plutôt que d'en périr.
    Cadreum
    Cadreum

    5 abonnés 234 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2024
    Maître absolu de l’animation japonaise, il offre une œuvre complexe, où chaque fil narratif se déploie en une arborescence d’une richesse éblouissante. Ce film est la quintessence d’un art qu’il dompte avec virtuosité, un dédale onirique exigeant, où chaque visionnage nous révélera des strates cachées, des subtilités invisibles à l’œil pressé.

    Si l’imaginaire foisonnant qu’il invoque est admirable, il demeure, pour moi, hors d’atteinte, dont la magnificence m'impressionne sans toucher mon âme.La narration et l’imagerie poétique émergent avec la délicatesse d’un songe éveillé, et dès la séquence d’ouverture, d’une beauté cruelle.

    Le film, miroir de ses multiples influences et héritages, assume pleinement ses références aux studios qui l’ont vu naître, mais ne s’y perd jamais, offrant un récit conscient de sa propre densité, captivant pour qui accepte de s’y plonger.
    O.M.A.
    O.M.A.

    10 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 octobre 2024
    Un film très étonnant, que ce soit sur le plan des mœurs familiales décrites ou du passage des kamis habituels - chez l'auteur - à la science-fiction ( spoiler: extra-terrestres
    ). J'ai trouvé la première partie longuette et la deuxième débordante de créativité.
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