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Un visiteur
4,0
Publiée le 17 août 2017
La planète des singes : les origines posent parfaitement les bases de ce que sera la suite. Le réalisateur arrive à bien introduire l'histoire de César et de la révolte des singes. Même si le rythme est lent spoiler: (sauf la fin sur le Golden Gate) , il y a quand même de bonnes bases pour la suite surtout qu'à la fin, spoiler: on voit bien le voisin qui est infecté et qui va répandre le virus mondialement à cause de son métier de pilote.
C’est un chef d'œuvre avec une histoire très prenante et touchante, une BO magnifique de Patrick Doyle, une réalisation de grande qualité, des effets spéciaux époustouflants, un scénario intelligent et des acteurs excellents surtout Andy Serkis dans le rôle du chimpanzé César.
Première film d'une trilogie qui s'avère juste enorme. On découvre une histoire et l'origine de la création de la planète des singes. L'histoire est extrêmement bien conçu et les graphismes sont surprenant. À vraiment voir d'urgence !
Sûrement le meilleur de la trilogie (trilogie qui d'ailleurs est composée de 3 très bons films), ce film nous retranscrit parfaitement le caractère humain de Caesar, ponctué par un excellent James Franco
Un très bon film ! L'histoire est très réussie et les effets spéciaux sont très bons comme pour la scène sur le Golden Gates Bridge qui est spectaculaire ! Tous les singes sont bien faits et les acteurs sont convaincants. Les images sont réussies et les décors sont bons. La ville de San Francisco est agréable et l'ambiance est plaisante. Il y a de l'émotion et une bonne morale. Les scènes d'action sont très bonnes et l'aventure est très convaincante. Andy Serkis est impressionnant dans la peau de César au côté d'un James Franco très bon dans son rôle. Un film donc vraiment très réussi !
Un super reboot dramatique qui donne un bon espoir pour le remake en trilogie d'un chef d'oeuvre historique. Pour la première fois c'est un singe qui est le protagoniste, on a donc un point de vue qui n'est plus humain comme dans tous les reboot de la planète des singes.
Le film est aussi humaniste puisque l'on nous pose la question de la nature face au contre nature. Faut-il laisser la nature s'occuper de la vieillesse ou changer la nature des choses pour profiter des gens que l'on aime? Malheureusement le film ne dure que 1h30 et on est un peu déçu que Rupert Wyaat ne se soit pas plus penché sur l'aspect psychologique du film. La mise en scène n'est pas extraordinaire mais par moment elle est révélateur de beaucoup d'éléments comme le premier mot de César qui montre l'idée principale du film. La remise en question de la place du singe avec César comme leader qui prône le "Non" à la soumission mais aussi le "Non" aux valeurs des humains.
Le film possède une photographie très esthétique et on comprend pourquoi quand, au générique, on voit apparaître le nom de Andrew Lesnie oscarisé grâce au film la communauté de l'anneau, un des film de la trilogie du Seigneur des Anneaux.
Enfin un bon film sur les origines des films cultes " la planète des singes " des années 70. De très bon acteurs, un bon scénario et une belle histoire. Pas du tout déçu et j'attend avec impatience la suite !
L'adaptation du livre de l'écrivain français Pierre Boulle par le cinéaste Franklin J. Schaffner, pouvait autrefois avoir un sens. La science fiction « apocalyptique et spéculative » des années 60 trouvait là une source inépuisable de questionnement sur l'avenir de l'homme dans son propre eco-système. Le mystère qui enveloppait le périple existentiel de Charlton Heston dans le désert trouvait à terme une conclusion radicale, au jugement implacable. En 2011, le film de Rupert Wyatt se cherche désespérément une identité, noyé par des considérations moins humanistes que clientélistes. Tout semble faux et surfait, de telle sorte qu'on a davantage l'impression de jouer à la fin du Monde que de vraiment la vivre - même par procuration. Il y a pourtant, dans l'idée même de prequel, de nombreuses pistes intéressantes à tenter en termes d'écriture, de narration et de mise en scène. Mais pour obtenir un véritable film d'anticipation qui puisse survivre aux années, encore faut-il éviter de penser en termes de "franchise", et se libérer des contraintes inhérentes au système. C'est en cela que ce blockbuster, comme tant d'autres, souffre d'une censure omniprésente, et d'une mise scène convenue qui ploie sous une série de clichés gentillets que les effets spéciaux ne parviennent pas à casser. Ceci alors même que le sous-texte dramatique était là, et n'attendait qu'un peu de courage pour prendre son envol.
J'aime pas cette trilogie, moche, mal fait et mal joué. on voit trop que c'est faux, trop de fx cela annihile toute émotions. Je préfère la planètes des singes de Tim Burton plus fidèle à l'oeuvre originale.
Fan de la première série avec Charlton Heston et sa version télévisée (de moins bonne qualité il faut reconnaitre), la planete des singes renait de fort belle manière avec ce premier opus. Loin du film de Tim Burton, "La planete des singes les orgines" garde la même trame que les films des années 70's. On n'est plus dans un voyage inter temporelle mais dans l'avancée de la science pour donner de l'intelligence aux singes. L'humanité se montre sous ses mauvais cotés et ses bons cotés. La série des années 70's était plus philosophique alors que celle des années 2010 est plus dans l'action. Mais les singes paraissent réels et bougent remarquablement bien. Une vraie renaissance de l'histoire de Pierre Boulle dans le monde des années 2010. Un pur bonheur de cinéma. Vivement la suite.
J'étais pas trop chaud pour le voir, mais finalement j'ai été agréablement surpris par ce film. C'est entraînant, divertissant. Les effets spéciaux sont impressionnants. Je me suis pas ennuyé. En plus y a James Franco. 3,5/5
"La Planète des singes : les origines" est le premier volet de la nouvelle adaptation cinématographique de la licence. 10 ans après l’échec de Tim Burton, la saga était donc repartie d’une bien meilleure manière. Cette fois-ci, elle débarque sous la forme d’un reboot et s’éloigne du concept de base de celle-ci. Pourtant, l’ensemble fonctionne particulièrement bien et réussit parfaitement à nous intriguer. Globalement, cette nouvelle formule apporte son lot de nouveautés à mettre en scène au sein de la saga. Ici, l’objectif est de revenir sur le début de cette histoire, le tout sera donc bien moins porté sur l’aspect science-fiction. On va bien plus se concentrer sur nos personnages et sur les nouvelles façons de renouveler visuellement la saga. Et au niveau de ce premier point, notre héros est globalement assez intéressant, et je veux bien évidemment parler du singe César. Bien aidé par des effets spéciaux qui étaient déjà très performants pour ce premier film, Andy Serkis livre une superbe prestation dans la peau de ce singe. On arrive à avoir énormément de sympathie pour lui et on comprend rapidement son évolution. Ce sera le personnage central de cette nouvelle trilogie, et il était déjà particulièrement réussi au sein de ce premier opus ! J’en dirai cependant un peu moins au niveau de notre héros humain. J’ai trouvé le personnage de Will assez peu attachant, on a finalement peu de séquences pour vraiment se rapprocher de lui. Il semble très effacé du film et ne semble n’être qu’un prétexte à l’apparition de César. Sa romance ne sert strictement à rien et l’interprétation de James Franco est clairement extrêmement anodine. En clair, c’est vraiment le point faible du film. Mais de l’autre côté, cela ne nous empêche pas de passer un agréable moment. Tout ce qui est raconté est vraiment intéressant et prenant. Si le premier acte va un poil vite à mon goût, le deuxième est parfaitement maîtrisé en matière de tensions. On sent vraiment l’ambiance se renforcer tout au long du film, pour finir par exploser dans un final grandiose. Cette séquence de fin est vraiment très impressionnante et particulièrement classe. C’est donc un divertissement intéressant et avec beaucoup de bonnes idées. Il a réussi à totalement transformer la licence pour l’amener vers quelque chose de nouveau. Et même si on est un peu en dessous des deux prochains volets, j’aime quand même beaucoup ce premier épisode. Pour conclure, un bon redémarrage.
Cette fiction, très bien réalisée par Rupert Wyatt, nous délivre une histoire émouvante et très rythmée. Le scénario nous offre une belle ingéniosité très habilement passée en images. Ce film bénéficie également d'une belle affiche avec James Franco dans le rôle principal de Will Rodman ; il est bien entouré par l'esthétique Freida Pinto. Mais la vedette du casting restera César, le singe intelligent et attachant, que l'on voit grandir grâce à une superbe animation de personnage.