Derniers Avis : Godzilla - Page 20

Ayant été fan de la version américaine de Godzilla sortie en 1998 étant petit, j'en suis finalement venu à la voir comme un gros navet en grandissant et en m'intéressant un peu plus au septième art. Du Roland Emmerich pur jus.

Je ne savais pas trop quoi m'attendre à ce nouveau film, d'autant que je trouvais le design de ce nouveau lézard quelque peu saugrenu, étant plus habitué au look "dinosaure" de la version précédente qu'à l'originale de la Toho.

Finalement, je me suis régalé. Il y a de très bonnes idées de mise en scène qui témoignent d'une très bonne maitrise du langage cinématographique : La scène des explosions successives à l'aéroport d'Honolulu, qui dirige la caméra du muto vers l'apparition de Godzilla en est un bon exemple. La photographie magnifique de la chute vers San Francisco également (surtout accompagné avec une musique faite de chœurs inquiétants et sinistres). Le traitement est très bon : Godzilla est toujours plus ou moins masqué et très peu visible en entier dans un écran les premiers tiers du film, afin de souligner son gigantisme et de préserver le mystère qui entoure ses motivations. L'action est presque toujours filmée à hauteur d'homme, encore une fois pour nous mettre directement face à la monstruosité des créatures. Et les apparitions de Godzilla à travers la brume sont aussi impressionnantes que son hurlement qui résonne jusque dans les tripes.

J'aime beaucoup l'idée de montrer l'impuissance totale de l'être humain face à des forces qui le dépassent totalement : Toutes leurs tentatives, du début à la fin, se soldent par un échec inéluctable de lutter contre les monstres. Ils ne peuvent que se cacher pendant que l'affrontement a lieu.
De même, l'idée de donner une explication à l'existence des monstres autres que "les essais nucléaires ça fait des gros monstres".

Gros coup de cœur de ma part pour l'intro et la réutilisation de films d'archives mêlées d'éléments ajoutés et de petites modifications, le tout sur une musique transpirant l'effroi (envers une force dévastatrice ; que ce soit le nucléaire ou Godzilla). Et le petit détail amusant, les faux extraits de documents secrets masqués façon guerre froide, qui laissent apparaître les noms d'acteurs et d'équipe de réalisation.

Toutefois, le film souffre de quelques problèmes : D'abord, une campagne de trailers qui en a beaucoup trop dévoilé. Ensuite, une action qui retombe trop vite : Plusieurs affrontements des créatures ont lieu en ellipse ; la tension monte jusqu'au moment de l'affrontement, puis on nous laisse en une fraction de seconde face à une ville dévastée qui témoigne de la violence du combat et du désastre qui en résulte, mais on reste totalement sur notre faim de combat titanesque.

Quoiqu'il en soit, j'ai adoré.

Le grand retour de godzilla, ou godjira.

Que dire d'autres, que ça m'avait manquer un film comme ça.

Quand j'ai vu la B.A, j'ai pensais que ce serait un film d'action habituelle, et bof. Mais j'ai été agréablement surpris. Alors j'ai vu que certains n'aimait pas ce godzilla, moi j'ai adoré ma race, bordel.

Le film commence et là, on commence légèrement comme tous godzilla, le début me laisser perplexe, car je le trouvais assez ennuyeux, le fait que aaron joue son rôle pas à fond m’embêtait et se ressentait. Alors certes c'est un militaire, mais il faut au moins de l'ambiance dans le personnage, là, il n'a pas beaucoup donné et j'ai été déçu sur ce point.

En revanche, Bryan cranston, lui m'a donné des frissons, juste incroyable, il m'a séduit de suite, il joue son rôle a merveille et ça se ressent dans la profondeur.

Maintenant, je vais passer au monstre, plutôt le roi des monstres. Que dire, au début je m'attendais à ce que l'on voit qu'une ou deux fois le monstre, à la manière de cloverfield (très bon). Mais dès qu'il apparait, la musique qui suit son apparition et le grondement qui fait vibré les haut parleur, j'ai été troué dans mon siège, j'y croyais pas, il en jette ce godzilla. Je lui donnerais un oscar s'il le fallait. spoiler: Mais merde, toute ses apparitions sont cultes, surtout celui où il va se battre pour la première fois contre le MUTO mâle, là où les avions explosent à cause justement du MUTO et où l'on voit l'énorme et badassssss patte du lézard géant, et que l'on voit enfin sa gueule ( mieux que godzilla de rolan). Aussi, la seconde apparition culte de godzilla est lorsqu'il apparait devant un écran de fumée dans le quartier chinois ou thaïlandais de San Francisco.


Juste incroyable aussi, les combats de titans en arrière plans pendant que l'on observe les humains qui peinent à lutter contre ces créatures sortis de l'espace intersidérale ^^. Aussi, le fait que le réal coupe les scènes d'actions quand il y a de l'action ne me gène pas, car c'est tellement bien construit que ça ne m'a pas choqué, je pense qu'il voulait épurée l'image de godzilla comme un vulgaire monstre qui fait panpan t'es mort MUTO, hahaha, maintenant je dors dans l'eau....

Je conseille fortement ce film, et pour profiter du film, monter le son et éteignait tous les téléphones, et sonnettes ^^, mais surtout monter le son, pour profiter du spectacle.

Moyen, le gros problème de ce film c'est que 90% de l'action se passe dans le noir, donc on est obligé de deviner ce qu'il se passe, tout ça pour économiser de l'argent sur les scènes d'action, dommage...

Une grosse déception, comme quoi, des super effets spéciaux, des monstres, les gentils héros ne suffisent pas a faire un bon film, il manque l'essentiel, un scénario plus consistent dommage pour le casting mal exploité..

"Godzilla" est une nouvelle adaptation américaine du célèbre monstre japonais, qui, cette fois-ci, le met aux prises avec deux MUTO gigantesques qui menacent d'anéantir le monde... Le premier mot qui me vient à l'esprit quand je pense au film de Gareth Edwards (II), c'est frustrant. En effet, le réalisateur britannique a choisi de montrer très peu Godzilla, comme il l'avait déjà fait avec les créatures de "Monsters". C'était compréhensible pour son premier long-métrage, car il avait un petit budget, mais, pour "Godzilla", on était en droit d'attendre plus de scènes avec ce monstre fabuleux. Et le pire, c'est qu'il fait monter plusieurs fois la sauce en nous proposant des débuts de séquences entre Godzilla et les MUTO prêts à en découdre, mais il les coupe aussitôt et passe à autre chose. Frustrant est vraiment le mot. Néanmoins, on ne peut nier que son long-métrage est une réussite et un bel hommage aux films japonais, notamment celui de 1954, réalisé par Ishirô Honda. Le scénario est plutôt intelligent ( spoiler: bonne idée de faire de Godzilla un "héros"
) et mêle avec brio certains éléments des oeuvres précédentes, tout en gardant un premier degré bienvenu (on est loin du film d'Emmerich à ce niveau-là). En outre, la mise en scène est très soignée et recherchée et confirme le grand talent d'Edwards, qui a un vrai style. Plusieurs scènes sont très marquantes, en particulier le réveil du MUTO mâle, la scène du pont, la destruction de Las Vegas, le saut en parachute à 30 000 pieds dans une atmosphère de fin du monde, accompagné par le "Requiem" de Ligeti (ma scène préférée du film) ou l'affrontement final entre Godzilla et les MUTO (entrecoupé, mais monumental). Les effets spéciaux sont fabuleux et font parfaitement ressentir l'impuissance humaine face à ces créatures dantesques. Par contre, l'interprétation est très inégale. J'ai trouvé Aaron Taylor-Johnson assez fade dans un rôle pour lequel il s'est pourtant bâti une carrure impressionnante. Même chose pour Ken Watanabe et David Strathairn, deux très bons acteurs pourtant, mais qui sont desservis ici par deux rôles peu intéressants. Quant à Juliette Binoche, elle doit avoir à peine deux minutes de présence à l'écran. C'est limite honteux de prendre une telle actrice pour lui donner un si petit rôle (son dernier regard est toutefois marquant). Heureusement, Bryan Cranston livre une prestation très émouvante - même si j'aurais aimé le voir plus -, et Elizabeth Olsen est touchante (et très belle en plus). Enfin, Alexandre Desplat a composé une partition très énergique (superbe thème principal), qui rappelle par moments les musiques d'Akira Ifukube. Le film de Gareth Edwards (II) est donc une bonne surprise au final, bien qu'on regrette de ne pas voir un peu plus Godzilla.

Faire renaître cette légende du pays du soleil levant n'est pas évident sur le papier. Avec une approche totalement différente, Edwards nous avait habitué au contraire de l'attendu (cf Monsters). Avec Godzilla, plutôt que dans faire le monstres dans la ville (comme Cloverfield), le réalisateur choisit de faire de son monstre le héros, celui là seul à même de nous sauver! Lui accordant une beauté impressionnante, Edwards tente d'en faire le seul héros, face à d'autres, qui eux sont volontairement très laid. Or, ce qui aurait dû être une force en devient une faiblesse, car même si le scénario est plutôt solide, le jeu de lumière (le film est très sombre) nuit à l'ensemble, l'envie de suggérer plus que de montrer devient vite lassant. Et ne pouvant vivre que de cette entité "nucléaire", on sent l'obligation d'avoir des personnages, et notamment un héros, qui malheureusement ne fait pas le poids et nuit à la démarche. Un tel film sans humains (en tout cas sans importance, se contentant d'être des victimes d'une catastrophe) aurait frôlé le génie... Ici le tout se noie dans un simple film de monstre où l'homme est aussi important que la bête, ce qui est une erreur vu la beauté de celle-ci.

Un blockbuster décevant. Le scénario est grotesque et bâclé, jonché d'incohérences et de facilités. D'ailleurs tous les poncifs du genre sont présent, le père incompris en quête de la vérité, la gentille famille qui se retrouve au centre de l'histoire... Les acteurs font le job et encore heureux car on ne fait guère appel à leur compétences avec des personnages inconsistant et creux. Les dialogues ne sont qu'une succession de clichés mièvres. Dommage car la réalisation est correcte et certaines séquences sont même visuellement superbes. Un film fadasse à oublier.

Film potable ,je dirais meme regardable pour les vrais amateur de godzilla et de ses versions japonaises .
Les mutos sont plutot merdique mais le "monstre" principal reprend les lignes de l'original malgrés des cuisses trop grosses une tete et des bras un peu trop petit .
Sachez que godzilla est pas né en 1998 dans la version avec Jean Réno ,j'ai meme vu un commentaire qui s'étonne de voir Godzilla crachant du feu ,inculte se qui a aussi rendu godzilla célèbre c'est son rayon atomisant !!!
Et oui il s'est toujours "nourris" du nucléaire ,bref les films de godzilla japonais sont un genre a part entière ,un style bien a eux .
J'en ai vu 4 en tout le plus moisis "Godzilla final wars" le mieux "Godzilla vs Biollante" film qui a mon age et je me régale encore devant .
La plus part des scène de celui ci restent prévisible ,comme dans la grande majorité des films américains et comme sa a été dit aussi on s'étonne de voir des bus bondés d'enfants a l'endroit d'un combat .
En résumé y a pas de quoi casser 3 pattes a un canard comme on dit ,reste regardable mais surtout si on connais deja un peu le bestiaux et qu'on considère pas comme pas celui de 98 comme référence car lui est tout moisis ,le "zilla" ressemble a un t-rex avec une machoire trop prohéminente ,alors que l'original a plus les traits d'un ours .
Ensuite chacun se fait son avis ,mais moi se qui me rend dingue c'est que la grande majorité ne connaissent que 2 godzilla sur ses 28 films ,c'est a dire que les versions américaines ,ou ils se font passé pour les sauveurs alors qu'a la base en 1954 c'est suite a leurs essai dans le pacifique qui a iradiés un bateau de peche japonais et aux bombardement de 1945 "Hiroshima et Nagasaki" (pour les pas doués en histoire) fut créer .

Dans le style ce film est tout simplement magistral. Il s'agit bien d'un film de monstre, mais avec une vision esthétique...
Le scène finale du saut en parachute est visuellement parfaite. La bande son est travaillée et de grande qualité (on notera d'ailleurs des sons issus du film 2001 L'Odyssée de l'espace)
Les effets spéciaux sont tout simplement fabuleux et le design des monstres et le sounddesign tout simplment incrooyables.

Les monstres sont faits dans le respect des Godzilla.

Est-il absurde de concevoir des monstres se nourrissant d'uranium..? Bien nous sommes tout d'abord dans un film de fiction. Enfin, l'idée d'un adn à base de carbone et de silicium n'est pas totalement "absurde" (voir les recherches en AI sur des matériaux non "biologiques"

Bref, pas de superflu ni d'histoire parallèle, le film en vient à l'essentiel du sujet qu'il veut traiter.
A voir pour les amateurs de films de "monstres", de ceux qui ont aimé Clovervield.. Ici c'est plusieurs crans au dessus...

Bon film dans l'ensemble, quelques longueur par ci et là mais l'ensemble reste bien construit. Le scénario est cohérent bien que différent de celui de Rolland Emerich. Tant mieux d’ailleurs comme sa l’univers s’agrandit, change. Le monstre n'a pas les même origines, certains axes sont bien trouver. Pas mal de scène font référence aux anciens films d'origines en noir et blanc. Bien sympa de petit hommage. Les acteurs sont impeccables, l'histoire bien écrite et bien montrer, du coup la réalisation est superbe et encore une fois la musique au sommet. Grâce aux français Alexandre Desplat qui signe une bo excellente.

Concernant les séquences beaucoup sont superbe mais mention spéciale a celle de largage avec les fumigène rouge qui est sublime. Un peu frustrant de ne pas voir l'affrontement dans Las Vegas qui aurait pu être grandiose mais qui n'est pas beaucoup mis en valeur.

Dans l'ensemble un bon film bien sympa qui resserve sont actions pour le final et qui offre un spectacle de qualité. Il reste très différent de celui de 1998 et plus dans l’esprit des anciens films.

Le film se passe à 70% dans le noir. Donc on ne voit pratiquement rien du film. Des effets spéciaux a la x-or ou bioman sur Godzilla et les 2 mutants. J'ai mi 2 étoiles le film ne mérite pas plus.

De bons effets spéciaux et un rythme assez prenant font de Godzilla un film assez spectaculaire et très sympa à regarder.

Un film désastreux, nul sans contraste, sans couleurs et donc doté d'un relief inutile. Il est construit de Bric et de Broc avec les scenarii de deux épisodes les plus nanardesques de la série des "Gojira". Entre "Le monstre des temps perdus" et le "Gojira" de 1954 par Ishiro Honda, deux grands chefs-d’œuvre du cinéma de monstres, avec les moyens actuels, il y avait de quoi faire pourtant, Non ce "Godzilla 2014" est médiocre techniquement. Il est même inférieur à celui de 1998. La bestiole est beaucoup plus pataude que ces ancêtres au cinéma et le spectacle de ses destructions est affligeant de répétitivité et d’invraisemblances. Préférez l'original en version japonaise sous-titrée, ou alors, offrez-vous la "Vallée de Gwangi" de Ray Harryhaussen, vous verrez alors de l'inédit et du visuel costaud, bien que le film ait déjà 54 ans.

Énième remake de l'histoire du monstre, Godzilla fait partie des quelques films de kaiju a l’américaine, avec la (ou les je ne sais plus) précédente version et bien sur le récent Pacific Rim.
Un film qui mélange donc les codes de ces deux styles qui ne sont en général pas des chefs d'oeuvre car bien sur très action et destruction (ça plairait bien a Michael Bay) mais aussi rempli de cliches, du scientifique rat de bibliothèque au militaire grade et autoritaire. Le défi pour Gareth Edwards etait donc de sortir du lot, de ne pas reproduire le scénario et les scènes trop classiques qu'on a l'habitude de voir dans ce genre cinématographique.
Dans un premier temps, la période qu'on peut appeler "découverte du monstre", le réalisateur se débrouille très bien, on ne comprend pas avant qu'il le désire l'ensemble de la situation, la mise en haleine est excellente et le cote "calme avant la tempête" très bien exploite. Tout cela est fait avec originalité et bon goût.
Dans la deuxième phase, la phase dite de "chasse du monstre", les choses se compliquent, on retombe quelque peu dans les cliches(dont certains ne sont pas sans rappeler les nanars a requins) et on se désintéresse un peu du film devant certaines scènes improbables (le héros qui se fait aider et intègre des forces militaires en mission WTF ?? ). Malgré les très bons effets spéciaux et une approche qui se veut toujours originale cette partie du film est plutôt ratée.
Vient enfin la phase "affrontement final" qui se révélé être ici la meilleure partie du film, la plus aboutie avec des scènes impressionnantes et totalement libérée des clichés. L'action y est intense, le suspense étonnamment efficace (alors qu'on connait déjà l'issue du film si l'on connait Godzilla) et d'une certaine manière réaliste pour ce type de film. J'insiste sur l’originalité de l'approche et l'apport d'un renouveau du genre de la part d'Edwards dans la première et la dernière partie.
Avant de conclure je décernerais tout de même un autre mauvais point au réalisateur pour ses consignes de jeu envers Ken Watanabe
On a donc dans l'ensemble un bon divertissement qui mêle habilement action et film de monstre en s’intéressant périphériquement a la position d'un homme dans tout ça. Le tout laisse présager de bonnes choses pour celui qui s'est vu confier la lourde tache (et responsabilité) de réaliser l'un des spin-off de Star Wars.

Film à grand budget extrêmement ennuyeux malgré les classiques énormes effets spéciaux mis en oeuvre.
Pacific Rim (qui est un "power rangers" gros budget) est bien plus divertissant à mon gout.
Le fait que Godzilla soit un second rôle n'aide pas et les 2 " spoiler: insectoides de 100m de long
" acteurs principaux sont une idée scénaristique très peu convaincante.