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    Même la pluie
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    4,0
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    251 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 mars 2012
    Bon film, mais c vrai que la fin est trop prévisible , mais c un bon film qui révèle des vérités qui sont souvent trop mises de cotes : il en fait des films comme ca, mm si c pas ce que je prefere. Je le recommande qd mm.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 février 2011
    j'ai beaucoup aimé ce film avec un sujet super dur et qui est d'actualité. les acteurs sont excellents , les images et la musique aussi .
    tixou0
    tixou0

    679 abonnés 1 986 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 février 2011
    En dépaysant en Bolivie pour des raisons d'économies le tournage d'un film sur Christophe Colomb Sebastian et Costa vont se retrouver impliqués dans un dramatique conflit local : une Guerre de l'Eau. Le parallèle entre la Renaissance et notre époque, toutes singularités historiques mises à part, est parfait : la condition des Indiens est toujours aussi misérable. La réalisatrice espagnole Iciar Bollain réussit à éviter la charge militante, et le pathos, en mettant en scène finalement, sur fond d'enjeux majeurs de société, une histoire d'amitié, voire de fraternité - le tout cependant un peu long.
    DarioFulci
    DarioFulci

    95 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 février 2011
    Paul Laverty, scénariste attitré de Ken Loach depuis "Carla's song", a la fâcheuse habitude de confronter ses personnages à des situations d'injustice sociale révoltante mais manichéenne. C'est une fois de plus le cas pour "Même la pluie": l'équipe d'un tournage à gros budget / les habitants les plus pauvres de la capitale bolivienne. La naïveté des idéaux VS la rudesse de la vie des catégories sociales les plus modestes. C'est un peu court et réducteur d'autant qu'il s'agit d'une histoire vraie. Un clivage réduit à un principe aussi simpliste n'encourage pas l'indulgence. Les vingt dernières minutes sont particulièrement caricaturales.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 février 2011
    Hormis la réflexion historicosociologique sur les effets dévastateurs de la prétendue civilisation, de l'argent, de l'idéologie et du pouvoir, l'intérêt de même la pluie se porte sur le basculement vers l'Humanisme.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 février 2011
    De "Même la pluie", l'affiche française retient une image, une seule, hautement (voire lourdement) symbolique, celle d'une croix fichée dans le ciel, tractée par un hélicoptère, surplombant les montagnes magnifiques de la Bolivie. Certes, l'image est forte, mais le film a plus à offrir que cela : "Même la pluie" est tout simplement la première (très) bonne surprise de l'année, et on est ravi qu'elle nous vienne d'Espagne et d'Amérique du Sud – de la part d'un auteur (et d'une femme!) relativement confidentiel à l'échelle internationale (Icíar Bollaín, déjà remarquée pour un précédent long-métrage sur la violence conjugale (le paraît-il terrassant "Ne dis rien"). Avant cela, il y a un scénario, et on nage dans des territoires plus connus puisqu'il est signé par le britannique Paul Laverty, complice de Ken Loach sur la moitié de sa filmographie ("Bread and Roses", "Sweet sixteen", "Le Vent se lève", "Looking for Eric"). Cela a son importance, puisque "Même la pluie" peut se vanter de son récit, d'ores et déjà sacré l'un des plus ingénieux de l'année. Soient Sebastían, un jeune cinéaste idéaliste (Gael Garcia Bernal) et son producteur cynique Costa (Luis Tosar), embarqués en Bolivie pour réaliser un film historique sur Christophe Colomb, son arrivée sur l'île d'Amérique, l'asservissement et le massacre des indigènes perpétrés par son équipage. Installée à proximité de Cochabamba, l'équipe de tournage a choisi les lieux pour ses paysages splendides et pour ses avantages financiers : dans ce pays en crise, où les Indiens Quechuas vivotent dans la misère, où de grandes multinationales ont trouvé le moyen de privatiser l'eau courante et de la faire payer aux habitants, les acteurs du coin sauront se contenter d'un modeste salaire. En d'autres termes, les figurants coûteront que dalle. Sauf que Sebastían et Costa ont mis les pieds en Bolivie au mauvais moment, durant les prémices de la ''guerre de l'eau'' : les natifs en colère entendent bien récupérer, par les poings s'il le faut, cette denrée essentielle qu'ils appellent ''yaku''. L'épisode socio-historique est véridique et remonte à dix ans, la ''conquête'' de l'eau par la population locale s'étant (en partie) résolue par de violents affrontements avec l'armée. On est bien chez Laverty puisque le scénario, ouvert aux réalités sociales de son temps, joue sur un triple niveau : celui de l'Histoire passée de la colonisation, de l'Histoire récente (et toujours actuelle) de la lutte des Boliviens, de la petite histoire des personnages fictifs et de leur tournage. Il trace ainsi des ponts entre 1492 et 2000, suggérant qu'en matière de déconsidération et de rapports de force, rien n'a vraiment changé pour les populations indiennes d'Amérique du Sud. L'idée n'est pas simplement forte sur le plan politique (et elle l'est, à coup sûr), elle se prête aussi à des effets purement cinématographiques qui renforcent son propos...
    (la suite de la critique sur mon blog : http://mon-humble-avis.blogs.allocine.fr/)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 février 2011
    Capital !!! Film majeur. On part de la délocalisation du tournage d’un film- comme les entreprises- et, surgit le « problème » de la répartition de l’eau en Bolivie ( luttes vécues), problème qui concerne le monde entier y compris les pays riches. L’eau est devenue 1) une marchandise qui permet aux grands groupes internationaux de s’enrichir en organisant privations et prix excessifs 2) et en même temps une arme pour assujettir les peuples et/ou les rendre « sages ».Parallèlement le sujet du film narre l’histoire de la colonisation de l’Amérique latine, avec conversion au catholicisme et/ou extermination. Dans un même film, regrouper, délocalisation luttes pour l’eau – survie colonisation, c’est fort ! Ils sont beaux, ils sont forts ces peuples qui luttent, qui résistent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 février 2011
    Bernal a la hauteur de sa réputation très beau film une histoire agréable qui finit sur une amitié surprenante. Très beau
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 7 février 2011
    Ce film d'Iciar Bollan nous livre ici un film magnifique, avec des acteurs impeccable(Bernal, Toscar et Carlos Aduviri). Les conditions de vie d'acteurs boliviens qui ontd'autres soucis que le film du realisateur sebastian. En effet pour pouvoir recuperer l eau, ils vont devoir menes des manifestations, le film va donc etre legerement perturbe. Une histoire originale qui nous montre toute la beaute du cinema espagnol.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 février 2011
    très bon film, très bons acteurs !! je conseille ce film
    harpsichord
    harpsichord

    3 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 février 2011
    Superbe film et pourtant ...
    Acteur exceptionnel à tout point de vue par son charisme, son magnétisme, sa qualité de jeu : Carlos Aduviri. Contrairement aux autres acteurs, il ne joue pas, il vit le film.
    Une fois ceci posé, que reste-t-il ? Plus grand'chose ! Tout le reste est, à mon avis, surjoué : regardez-moi comme je joue bien dans un bon film pétri de bons sentiments. Trop c'est trop à en être écoeurant et le film perd en crédibilité. Le drame perd sa tension. Bref une direction d'acteurs assez mauvaise dans l'ensemble.
    Pourtant, prise de vue, scénario, bande son ... tout cela aurait pu faire un film d'exception. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 février 2011
    Magnifique film, plein d'humanité et d'espoir !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 février 2011
    Il faut rappeler que les Espagnols en 1500 ont pratiquement décimés les Indiens .En effet ceux-ci dans les mines ne dépassaient pas quarante ans pour l'extraction de l'argent avec le mercure..Maintenant dans ce film qui ce situe à notre époque les dirigeants de la province veulent leur facturer l'eau en scellant les puits.......
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 février 2011
    Luis Tosar s'affirme une nouvelle fois comme l'un des meilleurs acteurs mondiaux, dans une histoire que les cyniques reprochèrent d'être un sujet tendance et politiquement correct. Mais comment reprocher à l'actualité d'être à la une du jour? Est-ce politiquement correct que de donner raison à la victime et non au bourreau? A voir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 février 2011
    Exceptionnel, eblouissant...L'histoire de ce réalisateur qui essaye de terminer son film avec son acteur principal qui est le meneur d'une guerilla urbaine pour l'obtention du droit à l'eau est terriblement bien tourné.Il n'y a rien d'autre à ajouter.Comme d'habitude pour les bons films il ne profite pas d'une grande publicité dommage....
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