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Un visiteur
2,5
Publiée le 10 avril 2013
Le film est plus que moyen. Le début est absolument horrible avec cette succession de vidéos sur 3 bandeaux différents ça fait vraiment très mal aux yeux et ça dure 7 min !! Après nous avons le droit à de belles images en VTT mais déjà un fau raccord en moins de 7 minutes c’est vraiment mauvais signes (cf scène de la chute en vélo). Ensuite le film se déroule comme Danny Boyle a voulu le faire c’est-à-dire dès sa chute et le blocage de sa main on a le droit à des souvenirs, des rêves en tout genre qui sont là pour meublés les 127 heures durant lesquels Aron a été bloqué. Enfin le final est pas mal et rattrape quelque peu le film même s’il finit sur une morale molle. Petite innovation avec l’insertion de notre regard dans la « rembobineuse » de la caméra, dans la gourde… Niveaux acteurs à part James Franco aucun vrai rôle. On peut souligner le jeu de Franco même si c’est loin d’être une de ses meilleures prestations.
Danny Boyle propose avec 127 Heures un film basé sur une histoire vraie. Il est effectivement fondé sur l’accident d’Aron Ralston, un randonneur américain expérimenté qui s’est retrouvé coincé pendant 127 heures dans un canyon en 2003. *** Le talentueux James Franco joue ici le rôle de cet homme de vingt-sept ans, se mettant en route pour une randonnée solitaire dans les gorges de l’Utah. Il ne prévient malheureusement personne de l’endroit où il se rend. Ainsi, lorsqu’il se retrouve emprisonné au fond d’une faille rocheuse, à cause d’un terrible accident, il se retrouve seul au monde. Le rocher responsable de l’incident lui bloque le bras. Le public va par conséquent assister à une véritable lutte pour la survie. La déshydratation, l’hypothermie, ou les hallucinations, menacent. Le temps s’écoule inéluctablement. Le suspens est à son comble. Après cinq jours d’acharnement, Aron comprend qu’aucun secours ne sera en mesure de lui venir en aide. Cette cruelle fatalité va le conduire à prendre la plus importante décision de son existence. La prestation surprenante de James Franco est évidemment à souligner, à l’image de la mise en scène. Le personnage déjanté et les musiques sélectionnées, créent un contraste avec le sujet dramatique présenté. L’ensemble est captivant. *** En ce qui concerne l’unique défaut de cette adaptation, il pourrait s’agir de la longueur des scènes. La patience est de rigueur afin de découvrir la chute de l’histoire. Le spectateur à l’impression de vivre les 127 heures d’enfer avec la victime, ce qui est paradoxalement une qualité, puisqu’il est complètement immergé. L’effet désiré est certainement atteint. *** Poignant, prenant, étonnant, le film mérite d’être vu au moins une fois. ***
Pas vraiment convaincu par ce "127 heures". Cet accident pourtant impressionant est mal adapté par Danny Boyle qui, pour rythmer un peu son film, en fait des tonnes avec beaucoup de gros plans rapides, des effets visuels dispensables et une musique trop envahissante. Ces excés techniques et stylistiques, idéal pour un film d'action, ont pour conséquence première d'enlever ou d'amoindrir l'intensité du sujet. Un beau gachis donc que peine à faire oublier l'acteur James Franco.
Un film qui m'a vraiment impressionné ! James Franco est tout simplement génial car on ne vois pratiquement que lui dans le film. On se met vraiment dans la peau du personnage, on se demande comment il va faire pour s'en sortir de ce piège horrible. Je ne me suis pas ennuyé durant tout le film ! Et du fait que le film soit tiré d'une histoire vrai (celle d'Aron Ralston) ma vraiment marqué. Un film à voir absolument !
super film surtout quand on sait que l'histoire est vraie porté (à bout de bras ) par un James Franco magistral , Danny Boyle a su retranscrire les différentes étapes psychologiques du cerveau humain quand il se réalise perdu , sans échappatoire .. l'euphorie , le doute , les hallucinations qui s'installent au fil des jours sont incontestablement réalistes , la dernière étape étant le courage ou une mort certaine ...
Aron Ralston a réuni tout son courage pour s'extirper de cet enfer , une belle leçon de vie et un avis à la prudence à tous les alpinistes même les plus chevronnés ..
127 heures est un film qui ne peut que marquer les esprits. Ce film nous fait réfléchir et met en exergue les valeurs de la vie. À quoi peut-on s’accrocher pour tenir le coup quand la mort est proche ? À ce qui compte vraiment… non ?
Je me souviens d'avoir vu ce film en version original et je pense que c'est grâce à cela que j'ai autant accroché au synopsis et au jeu des acteurs. Plus particulièrement celui de James Franco qui incarne le personnage principal puisque c'est son talent qui, pendant tout le film, garde le spectateur en haleine. L'atmosphère oppressante provient de l'habilité du metteur en scène Danny Boyle, connu notamment pour le succès de son film Slumdog Millionnaire, réalisé en 2009. En effet, ce dernier a adapté l'histoire vraie du randonneur Aron Ralston avec son originalité et un style qui lui est propre. De plus, même étant tiré d'une histoire réelle et émouvante, 127 heures ne ressemble ni à un documentaire, ni à une tentative de happy end exagérée. Ce film est vraiment à voir si vous aimez les intrigues où se côtoient drame et thriller.
Très bon film de Danny Boyle pour lequel je n'adhère pas spécialement d'habitude. James Franco est impeccable dans ce rôle et les différents choix de mise en scène bien trouvés. On connaît l'histoire mais pourtant on est tenu en haleine jusqu'au bout. La dernière demi heure est particulièrement stressante (et pourtant j'en ai vu des films d'horreur dont je suis friand!!); vous allez serrez les dents un bon moment puis vient la libération. Aussi, un conseil, pour tous ceux qui appréhendent la scène finale, regardez les bonus du DVD, les effets sont expliqués et montrés (remarquable de réalisme cela dit), ce qui vous permettra d'être plus à l'aise à la fameuse scène cruciale. J'ajouterai que la BO est parfaite et que la fin alternative proposée est meilleure que celle qui a été retenue (elle est plus complète et donc un peu plus longue).Je rajouterai pour terminer que ce très bon film aurait mérité une interdiction - de 12 ans et non un simple avertissement. La censure françaire est un peu laxiste je trouve.
Danny Boyle adapte avec réussite et fidélité l'histoire vraie d'Aron Ralston. La mise en scène soignée et l'interprétation magistrale de James Franco parviennent à rendre intéressant un film où il ne se passe quasiment rien. Un grand moment de cinéma à ne pas louper!
127 heures est dans le même esprit que Gravity (2013) et Seul au Monde (2000) c'est-a-dire pas beaucoup d'acteurs et de dialogues. Les images sont très belle, l'histoire prenante mais l'ennui domine le film jusqu'à ce qu'il prenne une tournure intéressante qui enlève cet ennui. James Franco joue super bien et la fin est assez émouvante. Pour conclure, un film prenant, très réaliste et très surprenant, mais un peu trop long.
127 heures est finalement une oeuvre à haute tension émouvante, poignante mais également capable de surprendre, avec ces scène qui nous font un instant passé du rire aux larmes malgré une mise en scène décontracté. James Franco sort ici tous son talent ! A ne pas manquer !
127 heures est finalement une oeuvre à haute tension émouvante, poignante mais également capable de surprendre. On reconnais parfaitement ici le style de Boyle avec ces scène qui nous font un instant passé du rire aux larmes malgré une mise en scène décontracté. James Franco sort ici tous son talent ! A ne pas manquer !
Si l'idée de voir ce film peut sembler sadique (un casse-cou prit au piège par un rocher et qui doit sacrifier sa main pour survivre est un spitch assez hard), 127 heures a au moins le mérite d'hisser James Franco au rang de très bons acteurs et de confirmer le talent de Boyle (déjà archi-confirmé par ses précédents films) dans la réalisation. Comme à son habitude, le réalisateur anglais nous pond un petit ovni dans la mise en scène, ça va à 100 à l'heure, l'idée des écrans scindé avec images de photo, point de vue de la caméra de Aaron (le personnage de James Franco) est bien exploité, la musique accentue ce côté E.P.O., même lorsque le randonneur se trouve coincer dans la crevasse ça reste assez rapide et l'on ne s'ennuie pas une seule seconde ce qui était pourtant a redouté pour ce type de film. Mais 127 Heures est bien plus qu'un huit clos, c'est aussi un film sur la limite des conditions humaines et de la prétention de se croire invincible, au-dessus de tout, jusqu'au jour où l'on se remet en question, l'on se met à regretter cette soi-disant "supériorité", si ça tombe parfois dans la facilité le fond est tout de même là, là où l'on en attendait pas vraiment comme la psychologie du protagoniste principal assez poussé. Cette psychologie nous permet de mieux comprendre l'acte d'auto-mutilation, on finit même par le vouloir tant l'envie que le personnage survive s'installe en nous, la scène reste assez trash, bien que peu nous en soit montré, la suggestion et notre imagination font le "nécessaire", seul la dernière minute avec la voix-off fait un peu "too much". Pas une surprise mais pas non plus une déception, 127 Heures réussit à la manière de Buried à captiver le spectateur malgré l'espace très restreint dans lequel se déroule l'action.