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    127 heures
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    1 583 critiques spectateurs

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    fabrice69
    fabrice69

    30 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 janvier 2013
    Film poignant avec des scenes tres dures sans etre gore. Le film commence avec la presentation classique americaine idiote, mais passe rapidement au coeur du sujet. A voir absolument
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 19 février 2013
    Après le succès critique et commercial de "Slumdog Millionnaire", Danny Boyle continue de surfer sur le succès avec ce "127 heures", soit l'histoire vraie de Aron Ralston, jeune casse-coup qui s'était vautré en plein dans une crevasse et qui, par la même occasion, y était resté bloqué durant 127 heures. Voilà le thème du film: la survie. Et sur ce plan, même si la tension aurait pu être mieux maîtrisée notamment à cause d'un montage trop superficiel, la survie est transposée à l'écran sans que l'on s'y ennuie une seule seconde. Toutefois, avec du recul, même si le nouveau film de monsieur Boyle reste divertissant, il manque cette profondeur qui fait que l'on s'attache pleinement au héros. Là, on se dit "ok, le mec est coincé, comme va-t-il s'en sortir?". Mais c'est tout. Jamais on ne se met à la place du type, jamais Boyle parvient à nous faire vibrer et stresser au rythme des minutes. On suit "127 heures" comme si il s'agissait d'un film "pop-corn" et là réside le problème. A croire que Danny préfère ne pas trop s’essouffler pour la réalisation en favorisant le modèle "MTV" pour son histoire et son montage, à savoir un truc bien clipesque et à une mise en scène simpliste qui touche directement les jeunes spectateurs qui verront le film. Boyle veut nous bourrer le crâne en sortant du long-métrage avec ce mot en bouche: "incroyable". Certes, si l'histoire du véritable Aron Ralston est incroyable, celle mise à l'écran l'est nettement moins. Tout reste traité à la surface des choses, sans développer en finesse le ressenti et les craintes du personnages principal. Si James Franco livre une bonne prestation, ce dernier aurait tout de même pu donner une autre image de Ralston, à savoir un homme prêt à tout pour survivre. Là, les évènements arrivent un peu comme un cheveu dans la soupe ce qui est dommage en toute somme car "127 heures" reste plaisant à regarder. Mais seulement plaisant, alors que si ce cher Danny avait réalisé l'ensemble comme à l'époque de "Trainspotting", on aurait grandement gagné en intensité dramatique, ce qui n'est pas le cas ici.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 juin 2013
    J'ai bien aimé . Franchement l'histoire est bien trouvé , les acteurs jouent bien . On a envie d'aidé ce pauvre homme . On a l'impression que cela peut arrivé a n'importe qui . La délivrance nous rend heureux et plein d'espoir.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 14 janvier 2013
    J'ai regardé 1/2 heure et puis je me suis très vite lassé, film à éviter.
    Vincent N
    Vincent N

    3 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 janvier 2013
    Introduction :
    Danny Boyle sait tout faire, c’est un fait. De la comédie, du drame (Trainspotting ; Millions ; Slumdog millionaire…), de l’horreur (la franchise 28 x plus tard) en passant par la SF (Sunshine) et maintenant le film d’aventure. Après son toujours controversé « La plage », Danny Boyle est bel et bien un réalisateur « couteau suisse ». Le monsieur anglais a pour ainsi dire sillonné quasiment tous les genres cinématographiques avec sa petite touche, son savoir faire indéniable qui fait que l’on reconnaît son style dès les premières secondes. « 127 heures » est l’histoire d’Aron Ralston, jeune aventurier américain (forcément) qui durant un road trip dans les gorges de l’Utah se retrouve coincé, dans une crevasse et contre un rocher, durant 127 heures. Un nouveau projet, juste parfait pour Boyle, car comme un sportif de haut niveau, c’est avec des scripts toujours plus ambitieux que le réalisateur de 54 ans peut arriver à se réinventer, se surpasser grâce à sa patte unique.

    « Boyle Touch » :
    Unique, car en vérité, c’est comme si Aronofsky fusionnait avec Tony scott (calmé sous morphine durant la fusion, évidemment). Le premier pour son rapport à l’Homme, à sa psychologie, son corps et à sa détérioration (souffrances physique et organique) et le second pour son style visuel exubérant, pas toujours fin mais unique, lui aussi et toujours diablement efficace. Là où Boyle apporte son savoir faire, c’est dans sa mise en scène pesante, dure et violente. Mêlant image léchée, effets de mises en scènes soignés mais parfois un peu cheap, le plus souvent en DV ; c’est un peu tout ça, la « Boyle touch ». On pardonne toujours à la fin, parce-que ça claque, ça en jette mais surtout parce que l’on ressent toujours la souffrance physique et psychologique qu’il aime infliger à ses personnages, plus qu’aucun autre réalisateur de cinéma. Imaginer qu’un type comme Danny Boyle puisse s’attaquer à un tel projet laisse rêveur car le bonhomme a ici toutes une pléiades de possibilités. Déjà, pour sa mise en scène, mais aussi et surtout pour exploiter au mieux le thème de la survie. Le pari de Boyle ? Comment réussir à instaurer un rythme et varier sa mise en scène quand l’histoire raconte celle d’un type (dont toute empathie envers lui semble quasi-impossible) qui reste coincé dans une crevasse ?

    L’histoire, tout le monde la connaît déjà puisque que c’est une « Extraordinary true story » ; la fin également ; alors, que reste t-il à « 127 heures » pour susciter notre attention ?

    « Don’t give up Aron » :
    A l’image du personnage d’Aron, remarquablement interprété par James Franco, l’introduction de « 127 heures » démarre à toute berzingue. Seulement 15 minutes pour poser l’ambiance et le train de vie mené par ces hommes décidément pas comme les autres. Dans l’esprit, Aron Ralston ressemble véritablement au regretté Christopher McCandless dont Sean Penn avait lui aussi rendu hommage avec « Into the wild ». Des personnes qui ne trouvent une manière de s’épanouir qu’aux travers de parcours toujours plus dangereux pour l’Homme, en mettant leurs mentales et leurs physiques à rudes épreuves. Des épreuves qui les aident à trouver une plénitude, certains préférant les vivres dans la solitude, laissant derrière eux femmes, familles, amis... DONC, une fois l’introduction terminée (que certains jugerons, à juste titre, quelque peu « clipesque ») et le personnage principal instauré, c’est maintenant le moment pour notre réalisateur britannique de créer une sorte de rupture. Rupture avec ses effets à outrances, ruptures avec ses split-screen qu’il adore. Désormais, place au cauchemar, le vrai, vécu et véridique d’Aron Ralston. La réalisation de Danny Boyle se retrouve donc plus posée, exploitant ainsi au maximum chaque angle qui lui est possible d’utiliser, mais toujours en adéquation avec ce que voit le personnage d’Aron dans la crevasse. Dans une telle situation, Boyle choisit de montrer par quelles étapes son personnage va devoir passer avant de prendre la décision de se « libérer ». C’est l’axe principal de « 127 heures » et c’est aussi celui qu’a choisit Aron pour réussir à trouver la force de passer à l’acte et de s’en sortir. Passant d’un être individualiste insouciant à un homme complètement désemparé, laissant place à une terrible résignation, Aron tombe peu à peu dans la folie, tout en gardant l’espoir qu’il puisse encore trouver un moyen de s’en tirer. Avertissement pour les âmes sensibles, les étapes psychologique et physique qu’Aron va devoir traverser sont toute plus difficiles les unes que les autres. Certains éléments que le vraie Ralston a subit ont été volontairement sacrifiés pour que le film puisse conserver son label « tout public avec avertissement ».

    "Do not give up Aron" :
    En homme parfait de la situation, Danny boyle y va tout de même Franco (facile ^^) et orchestre une savante confrontation entre Aron et la grande faucheuse. En restant toujours au plus proche de son personnage, Boyle s’amuse à nous titiller là où ça fait mal, à travers les épreuves d’Aron que nous prendrons soins de ne pas vous dévoiler. Grâce à l’utilisation de sa petite caméra visant à immortaliser les moments de son quotidien sportif qui n’intéressent que lui, Aron va se retrouver à engager avec lui-même une vraie remise en question sur sa nature et son existence, aux travers de moments clefs liés à sa petite vie. A cet instant, Boyle choisit de nous faire vivre une sorte de testament vivant ! Peut-être que certaines personnes reprocheront à « 127 heures » son côté onirique, certes quelque peu semblable à « Millions » mais en homme intelligent, Boyle n’oublie pas l’essentiel et ne s’écarte jamais vraiment de son sujet. La performance de James Franco est juste éblouissante, l’acteur passant par toutes les étapes psychologiques de son personnage. Il faut voir le visage et son expression, juste après qu’il se soit retrouvé coincé ! Littéralement tétanisant et bluffant de sincérité, Franco laisse petit à petit une grande place à l’improvisation. La prouesse est surtout qu’il arrive à varier son jeu physique dans un environnement plus que restreins, faisant irrémédiablement penser à la situation, assez similaire, de Ryan Reynolds qu’il à lui même vécu dans l’excellent Buried de Rodrigo Cortés.

    Conclusion :
    Danny Boyle confirme avec « 127 heures » qu’il peut VRAIMENT tout faire. La véritable prouesse du réalisateur, c’est de nous avoir fait, une fois de plus, vivre une expérience physique viscérale et psychologiquement intense. Boyle double la mise en évitant de faire le forcing afin de provoquer l’empathie chez les spectateurs pour ce qu’a vécu ce pauvre Aron. Il l’évite car il fait justement preuve d’intelligence et de justesse dans sa mise en scène. Quelques effets superflus auraient pu être évités ici et là, mais le tout reste assez bien équilibré, avec un final absolument magnifique et assez terrifiant, porté par un James Franco habité et qui mérite grandement sa nomination aux Oscars.
    Le message parfaitement clair et limpide derrière le « Based on the extraordinary true story » que l’on se bouffe à toutes les sauces dans le cinéma hollywoodien prend ici un véritable sens avec « 127 heures ». Ce qui est arrivé à Aron Ralston sert indéniablement de leçon, et Danny Boyle profite de « l’occasion » pour nous donner une bonne claque dans la tronche. Une vraie leçon de vie et de survie qui viens nous rappeler que la grande faucheuse n’est jamais très loin et que le plus important, le jour où nous « tomberons », avant d’arriver au bout de ce fameux tunnel, aura été l’amour et l’attention que l’on aura porté aux êtres qui nous sont chers et qu’on laissera surement derrière soi. Leçon retenue Mr Boyle !

    Par Vincent N.Van du groupe Madealone.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 décembre 2013
    Un film à huit clos ce n'est pas condamnable, c'est un style. Et je trouve que Danny Boyle excelle dans le domaine avec 127 heures. Chaque plan est calculé avec minutie, James Franco est attachant tout le long du film et surtout, le temps s'arrête malgré le titre : 127h c'est la pause dans la vie d'un homme où il remet en question la valeur de sa vie, précieuse. Il est bien de s'amuser et de voyager, mais il y a des réalités qui dépassent le hasard et nous condamnent à être pétillant mais raisonnable. Il est donc beau de voir que le cinéma peut, sans plus nous dépayser que cela, nous insuffler une leçon aussi simple qu'un blocage, débloquable par le courage et la raison. Il y a deux ans, je lui avais bêtement attribué la note de 3,5/5 pour l'ensemble convainquant, mais c'était sans compter la qualité de la bande-son dont je
    n'avais pas attaché d'importance, avant de revoir 127h ce soir-même. Elle est parfaite, pas fameuse, parfaite. Ce qui vaut en conclusion un joli 4/5 au frère de Slumdog Millionnaire !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 décembre 2012
    Un chef d'oeuvre incroyable !
    On s'y croirai en vrai , j'ai adorer ce film !
    10/10 <3
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 décembre 2012
    Je dois dire qu'au début je n'était pas vraiment enthousiaste à l'idée de passer 1h30 à voir un pauvre jeune homme essayer de se débattre le bras coincé sous un rocher. En vérité, le travail sur l'ambiance général du film et sur les nerfs du spectateur est tel que l'on se retrouve toujours en haleine, à l'affut d'un évènement incroyable qui pourrait sauver James Franco, par conséquent on ne s'ennuit jamais. La fin représente alors une merveille de libération. Bref, un excellent film, Mr Boyle, chapeau bas !
    Merytamon
    Merytamon

    21 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 décembre 2012
    Aaron Ralston (que James Franco incarne a merveille comme a son habitude) est un habitué des activités sportives un peu casse cou jusqu'au jour ou une chute dans une crevasse et une pierre qui lui coince entièrement le bras vont changer son destin !
    Ce film est excellent ! on pourrais croire qu'on va s'ennuyer mais c'est tout le contraire ! La BO est superbe, les décors sont magnifiques ! et surtout ,on est sidérés par le courage exemplaire et la force physique et mentale dont fait preuve cet homme ! Même si à la fin ca commence a devenir dur quand même !
    C'est vraiment un film a voir au moins une fois dans sa vie, ne serait ce que pour l'interprétation de James Franco ! Attention certaines scènes peuvent choquer les plus sensibles et ne sont pas a la portée de tout le monde ! A voir et même a revoir !
    DeSaintJean
    DeSaintJean

    4 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 décembre 2012
    Quand je pense que qu'il m'avait insupporté en Bouffon Vert... Depuis j'ai constaté que ce comédien est pétri de qualité et qu'il est devenu un réalisateur très convaincant. James Franco est un artiste. Danny Boyle quant à lui ne déroge pas à sa manière de sublimer la réalité. Grâce à sa réalisation énergique, toujours inventive, il surmonte chaque écueil d'un scénar' casse gueule. On ne s'ennuie pas une seconde et ses flash back oniriques aèrent judicieusement le récit. Une merveille de survival non horrifique. Dame Nature est toujours mise en abîme avec le confort de la société humaine consumériste.
    Clomire
    Clomire

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 décembre 2012
    Très bonne réalisation !!!!!!!!!!!!!!!!!! Fin très émouvante, SUPERBEMENT bien filmé et James Franco jouant Aron Ralson est juste E- X- E- L- E- N- T- I-S-S-I-M-E!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 décembre 2012
    J'ai detester .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 novembre 2012
    Malgré un maigre scénario (puisque l'histoire de la réalité des faits est simple), Danny Boyle est parvenu à faire un superbe film très réussi, en tant que spectateur nous sommes pris d'empathie pour Aaron Ralston et on partage tous ses sentiments de désespoir tout le long du film. à voir absolument pour s'imaginer à la place de cet homme qui a vécu un terrible calvaire.
    Lotorski
    Lotorski

    17 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 novembre 2012
    On ne peut le nier, le concept est ambitieux et original. Si certaines séquences sont très réussies, d'autres le sont moins, et par moment je me suis un peu ennuyé.
    Lucien O.
    Lucien O.

    7 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 novembre 2012
    A la fin du film, je me suis dis que la vie était vrmt terrifiante dans son implacable réalité,...terrifiante mais exaltante.
    Il faut dire que Danny Boyle est incroyablement doué pour passer les sentiments par delà l'écran, pour contraindre son public à l'empathie,...Dans "127 heures" il nous oblige à nous demander : " comment gérerais-je cette situation?" et l'on se sent logiquement, amené à considérer cette sale idée qui est à peine latente, dés l'instant où le bras fut coincé sous la caillasse et qui s'impose irrémédiablement jusqu'à envahir tout le champ de la pensée: . "Y'a qu'un seul moyen,..." .
    C'est une superbe démonstration de l'existence de cette force inhérente à l'homme : "La vie envers et contre tout".
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