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Clooney en vedette dans ce film de 2011 qui se situe à Hawaï, descendant de la famille royale c'est pourtant quelqu'un de modeste, même un peu naïf. Le langage et les situations tout le long du film sont assez crues mais d'une façon volontairement humoristique et ne sont que rarement vulgaire. C'est plus une comédie légère qu'un drame bien filmée dans de beaux paysages.
Malgré quelques petites longueurs, des zooms pas très inspirés, une bande son improbable et une scène pas très meetoo-consentement-2024-compatible, The Descendants nous plonge dans un film où il faut apprendre à dire au revoir à un être cher.
Sauf qu'ici, l'être cher s'en va avec son lot d'histoires jusqu'ici secrètes qu'il va falloir encaisser.
Si les personnages apparaissent dans un premier temps assez légers, ils prennent de plus en plus d'épaisseur au fil des scènes.
On ressent cette situation oppressante et l'envie évidente d'obtenir des explications, un pardon ou au moins une dispute. Ce n'est pourtant plus possible. La colère serait alors en mesure d'avaler tout sur son passage, ce n'est pourtant pas le parti qu'Alexander Payne prend pour ses personnages qui évoluent vers la tendresse.
L'image, quoique un peu vintage, mais c'est souvent le cas avec ce réalisateur, est aussi naturelle et garde un côté intemporel.
Sauf qu'ici, l'être cher s'en va avec son lot d'histoires jusqu'ici secrètes qu'il va falloir encaisser.
Si les personnages apparaissent dans un premier temps assez légers, ils prennent de plus en plus d'épaisseur au fil des scènes.
On ressent cette situation oppressante et l'envie évidente d'obtenir des explications, un pardon ou au moins une dispute. Ce n'est pourtant plus possible. La colère serait alors en mesure d'avaler tout sur son passage, ce n'est pourtant pas le parti qu'Alexander Payne prend pour ses personnages qui évoluent vers la tendresse.
L'image, quoique un peu vintage, mais c'est souvent le cas avec ce réalisateur, est aussi naturelle et garde un côté intemporel.
Je ne me suis pas ennuyé. Une belle panoplie des relations humaines aussi bien entre adultes, qu'entre parents et enfants
Une belle surprise ! Un G.Clooney à contre-emploi dans un film sensible, pas grandiloquent et très bien réalisé.
très chouette !
très chouette !
Le cinquième long-métrage d’Alexander Payne, sorti en 2011, possède un charme fou. Sa femme étant tombée dans le coma, un homme doit apprendre à gérer ses deux filles tout en s’occupant d’importantes affaires familiales. Dans cette comédie dramatique, c’est l’absence de grandiloquence qui donne un caractère lumineux. En effet, contrairement à l’usage du genre où les bons sentiments et les blagues sur les relations père/enfants affluent avec insistance, ici tout évolue en finesse. Le récit contient même une certaine profondeur en rappelant que l’écoute et le pardon sont essentiels pour accomplir sa vie. George Clooney, dans un rôle à contre-emploi, est vraiment épatant. Pour ses premiers pas au cinéma, la jeune Shailene Woodley est également éblouissante. Bref, un divertissement dont le caractère authentique permet de passer un moment rempli de tendresse.
Le film peint à petites touches, cette famille qui ne sait pas coexister vers un possible avenir, dans la vérité de toutes sortes d’émotions (colère, dégout, tristesse, chagrin) à la perte de la mère
George Clooney qui sait très bien incarner ses personnages (malgré son glamour hollywoodien) est ici un mari et père à la dérive (bel entrainement pour, à l’époque, l’éternel célibataire sans enfant dont la vie privée allait basculer d’ici 2 ans)
Hawaï, présenté sous tous ses aspects ville, villages, plages, champs, montagnes, tableaux de couleurs, de sons et d’ambiance nous invite à un joli voyage touristique
Enfin Shailene Woodley, est la révélation du film avec sa stature fraîche, spontanée et déterminée. Elle joue à la perfection son rôle en duo avec « Georges » : quel plaisir de voir s’épanouir dans son 1er grand rôle la future star de grands films à succès comme « divergente » ou « les étoiles contraires »
George Clooney qui sait très bien incarner ses personnages (malgré son glamour hollywoodien) est ici un mari et père à la dérive (bel entrainement pour, à l’époque, l’éternel célibataire sans enfant dont la vie privée allait basculer d’ici 2 ans)
Hawaï, présenté sous tous ses aspects ville, villages, plages, champs, montagnes, tableaux de couleurs, de sons et d’ambiance nous invite à un joli voyage touristique
Enfin Shailene Woodley, est la révélation du film avec sa stature fraîche, spontanée et déterminée. Elle joue à la perfection son rôle en duo avec « Georges » : quel plaisir de voir s’épanouir dans son 1er grand rôle la future star de grands films à succès comme « divergente » ou « les étoiles contraires »
Je viens de revoir ce merveilleux film que j'ai déjà vu 3 ou 4 fois. J'ai toujours beaucoup aimé ce film de par son ambiance, son rhythm, ses personnages, son scénario. Un film magnifique.
Petit bijou du cinéma indépendant signé Alexander Payne, "The Descendants" apparaît comme une véritable radiographie de la famille américaine, avec son lot de joie, de doute, de tristesse, de bonheur... George Clooney épatant, en père devant faire face à ses nouvelles responsabilités, trouve certainement ici son meilleur rôle.
Le film dont George Clooney aurait pu se passer. Sans lui, on s'ennuierait ferme. A moins d'être un grand fan de la musique hawaïenne, même la bande originale est ennuyeuse. Les paysages sont agréables à regarder, sans pour autant montrer le plus touristique de l'archipel. A regarder si on est vraiment fan de George Clooney et de son jeu dilettante.
Dans le cadre enchanteur d’Hawaï un père absent et dépassé découvre ses filles dans des circonstances dramatiques. Esthétique et émouvant malgré quelques petites lourdeurs sur la fin.
Un film très touchant et plein d amour et renvoyer à travers l écran après l histoire déjà vu et on connaît la fin mais on s attaché au récit
The Descendants est une sorte de buste. Le principe est simple incroyablement simple compte tenu de la durée du film. La femme d'un homme entre dans le coma à la suite d'un accident de bateau et il apprend via l'une de ses filles qu'elle avait une liaison. Il n'y a bien sûr rien d'intéressant. Par exemple Clooney en voix off nous dit qu'il est le parent de secours alors nous voyons quelques scènes de lui échouant à être monsieur maman et quelques scènes de lui combattant avec sa fille aînée. Pourtant, remarquablement une demi-heure après le début du film toute la famille s'entend si bien qu'ils partent tous en troupe vers une autre île hawaïenne à la recherche de l'homme mystérieux avec lequel maman avait une liaison la fille aînée jouant même un rôle principal le rôle de détective. Ce qui se déroule c'est heure après heure la famille marchant sur les plages conduisant sur les routes, etc. Le tout culminant dans une scène de cuisine où Clooney confronte l'homme joué par Matt Lillard à propos de l'affaire. Lillard dont le jeu d'acteur ne s'est pas approfondi depuis ses jours de Scooby-Doo. Ensuite c'est de retour à l'hôpital pour regarder maman mourir. Le jeu d'acteur de Clooney était en bois et forcé. Je pensais que peut-être le paysage pourrait sauver ce film mais la plupart des scènes ont été tournées pendant des orages. L'intrigue était presque inexistante et pas développée dans une mesure irraisonnable...
Une très bonne comédie qui alterne entre plein d'émotions, rire, tristesse, suspense... J'ai vraiment apprécié ce film. Les acteurs sont très bons, surtout George Clooney, acteur unique est parfaitement dans son personnage ! J'ai trouvé l'histoire captivante et remplie de suspense. Le début du film m'a un peu déçu car j'ai trouvé qu'on rentrait trop brusquement dans le l'histoire... Sinon le film est de très bonne qualité, la réalisation est très bonne. J'ai seulement trouvé que ça manquait un peu d'action.
Emouvant autour de personnages finement imaginés et bien campés. Les rapports familiaux ne versent pas dans la mièvrerie ou un facile manichéisme et l'intrigue nous émeut jusqu'au bout. Bien agréable donc de voir un film américain subtil et qui ne recourt pas aux mécaniques traditionnelles de la violence ou de la frénésie rythmique. Clooney porte le film comme il assume son rôle de père de famille et mari abandonné, avec une élégante mélancolie. A regarder en famille, si possible.
J'ai trouvé ce film touchant mais sans plus.. Je trouve qu'il y a une certaine moralité dans l'histoire. C'est beau à voir !
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