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    Brazil
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    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    158 abonnés 995 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 décembre 2024
    Une dictature administrative et sa paperasse pour cette distopie comique et anti-conformiste signé Terry Gillian. Une œuvre d'une originalité folle, enchaînant des scènes à la réalisation et l'ambiance unique. Si la fin bascule dans un rêve abstrait poussé légèrement trop loin à mon goût, ce voyage hors des limite du réalisme d'une grande richesse visuelle et scénaristique est une expérience cinématographique à vivre !
    Anto386
    Anto386

    28 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 décembre 2024
    Un Véritable Ovni. Terry Gilliam livre une expérience de cinéma Hors du Commun a travers ce Dystopique Onirique et Inclassable devenue une référence intemporelle du Septième Art. Porté par une Réalisation Virtuose et Tonitruante qui nous plonge dans un Univers Futuriste complétement Hallucinant et Immersive dont l'ambiance est Angoissante et Psychédélique tout en étant accompagné d'une Bande Originale enivrante de Michael Kamen qui nous transporte a chaque note musicale qui résonnent a tout jamais dans nos mémoires. Ensuite le Scénario est Édifiant et Captivant du début jusqu’à la fin avec notamment un Dénouement Final Surprenant et Troublant qui entre au rang des meilleurs Fins de l'histoire du cinéma dont le film parvient avec Finesse et sans concessions a y aborder des Thématiques très Profonds comme la Politique,la Rêverie,le Totalitarisme,la Société,l'Amour et la Libre Arbitre qui est parfaitement rendu a l'écran a travers son Rythme Frénétique qui s’intensifie pendant 2h12. Ajouter a cela, Des Effets Spéciaux Révolutionnaires en passant par des Séquences Indélébiles et Mythiques qui laissent une trace indescriptible dans nos mémoires en passant par une Tension Suffocante ainsi qu'une bonne poignée d’Humour Noir particulièrement Caustique pimenter par une bonne dose de Romance et de Poésie qui apporte énormément de tendresse et d'humanité a ce récit d'anticipation hors pair. Enfin le Casting est Prodigieux avec son lot de Personnages Atypiques et Intriguant mener par l'impeccable Jonathan Pryce qui est excellent dans la peau de Sam Lowry un Fonctionnaire de bureau Timide,Rêveur et Attachant qui se retrouve embarqué dans un voyage périlleux et mouvementer qui le marquera a tout jamais, Autour de lui on retrouve une poignée de Seconds Rôles au cordeau composer notamment de Robert De Niro,Katherine Helmond,Ian Holm,Bob Hoskins,Kim Greist,Jim Broadbent et Michael Palin qui apportent leurs pierre a l'édifice en complétant cette Distribution hétéroclite. En Résumer, Brazil est indéniablement un Monument majeur du Cinéma de SF grâce au talent Visionnaire et Incandescent de Terry Gillam qui signe assurément l'un des plus grands films de Science Fiction des années 80 qui n'a pas trop de ride avec les années tout en étant une Fable D'Anticipation a la fois Baroque,Délirant,Poétique et Jubilatoire qui rentre directement au rang de Film Culte du Septième Art a redécouvrir impérativement.
    Alasky
    Alasky

    362 abonnés 3 485 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 décembre 2024
    Il faut être prêt pour ce genre de film, ou alors réceptif à tous les genres cinématographiques. Visuellement c'est grandiose, on est transporté dans le temps et l'espace, dans une atmosphère Gilliamesque au possible, c'est détonnant, onirique, complètement barré. Le tout sur une musique superbe, servi par un casting au top, et les thèmes abordés sont aujourd'hui encore d'actualité (amour, liberté, imagination, autorité, narcissisme, refus de la vieillesse...).
    GéDéon
    GéDéon

    92 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 octobre 2024
    Bien plus qu’un film de science-fiction, il s’agit d’une comédie burlesque réalisée en 1985 par Terry Gilliam. L’ancien membre des Monty Python distille un humour absurde au gré d’un scénario complètement farfelu. En effet, dans une société dystopique, un petit fonctionnaire de l’administration (Jonathan Pryce) se retrouve à jouer les héros malgré lui. La critique de la bureaucratie totalitaire donne lieu à une multitude de gags savoureux en raison notamment d’une mise en scène ingénieuse utilisant des décors et des accessoires délirants. Même Robert De Niro se prête au jeu en interprétant un rôle à contre-emploi. Bref, une œuvre considérée comme culte possédant une vraie originalité tant sur le fond que la forme.
    Alolfer
    Alolfer

    136 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 septembre 2024
    D'une prouesse dingue, d'une originalité inventive, et des décors exceptionnelles, "Brazil" est un film qui nous donne un vent de "fraicheur" dans le cinéma de Science Fiction. Avec un Terry Gilliam aux commandes, ainsi que Jonathan Pryce dans le premier rôle, le réalisateur dénonce, par son scénario comique et inventif, une critique d'une société néo-libéral. Visuellement, c'est impressionnant pour l'époque !

    Un grand film de Science Fiction !
    Bardamu59
    Bardamu59

    10 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 août 2024
    Vous aimez Orwell, Huxley; vous avez adoré 1984, Le meilleur des mondes, pour leur côté visionnaire et inquiétant à la fois. Alors regardez ce chef d’œuvre à la fois poétique et effrayant, avec des pointes d'humour très British, je vous promets que vous n'allez pas être déçu.
    BillBoo
    BillBoo

    14 abonnés 286 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 août 2024
    Bureaucratie aliénante et critique stylisée du totalitarisme – ennemi consensuel –, Gilliam fait partie de la lignée des cinéastes qui ont recours à de nombreux artifices pour exacerber leur propos. C'est une originalité que d'aucuns peuvent trouver ringarde, quoique son défaut réside surtout dans la saturation interprétative suscitée. Ce sentiment peut nous traverser en visionnant Brazil, l'impression d'un visionnage trop copieux, dont les éparpillements maîtrisés sont affaiblis par une durée importante.

    Face à l'adversité systémique, Sam s'évade dans ses rêves, dans lesquels il peut voler et partager l'amour. L'art, dans toutes ses formes, sert souvent de refuge psychologique aux prisonniers sociaux. Ici, on passe un cap puisque l'échappatoire est à la fois tangible, car vécue, et vaporeuse, car onirique.

    Sa mère se prélasse dans ses privilèges de classe, nie les injustices à l’œuvre, et a recours à la chirurgie plastique pour conserver un visage jeune. Le travail de bureau de Sam le plonge dans une paperasse sempiternelle. Son émancipation individuelle passe par le rejet des structures en place, ainsi que de son propre conformisme, puis par la réparation de l'erreur administrative d'un autre.

    Hélas pour lui, l'individu seul, de surcroît dans un système oppressif organisé, n'est qu'un minuscule caillou dans la chaussure qu'il est facile d'anéantir avec des méthodes disproportionnées.
    Julien Weber
    Julien Weber

    63 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mai 2024
    Chef d'oeuvre de Terry Gilliam - tout y est encore une fois: drame, humour, univers, critique, romance, malaise, écologie...
    Theo
    Theo

    19 abonnés 901 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 décembre 2024
    Brazil, réalisé par Terry Gilliam, est une œuvre audacieuse et inventive qui transcende les conventions du cinéma de science-fiction. Ce film combine satire sociale, absurde kafkaïen et imaginaire rétro-futuriste pour tisser une histoire à la fois captivante et troublante. Bien que son ambition dépasse parfois sa maîtrise narrative, l'œuvre reste profondément mémorable et pertinente.

    L’histoire de Sam Lowry (Jonathan Pryce), un bureaucrate en quête de sens dans un monde dystopique hyper-bureaucratique, est une exploration des luttes de l’individu contre un système oppressif. À travers ses rêves de liberté et son amour obsessionnel pour une femme mystérieuse, le film illustre les dangers des illusions face à une réalité implacable.

    Le scénario, coécrit par Gilliam, Tom Stoppard et Charles McKeown, est dense et foisonnant d’idées. La structure narrative, bien que parfois confuse, reflète l’absurdité du monde qu’elle dépeint. Les touches d’humour noir allègent un récit souvent sombre, offrant une critique cinglante mais nuancée de la bureaucratie et de la surveillance de masse.

    Visuellement, Brazil est un triomphe. Terry Gilliam crée un univers rétro-futuriste unique où la technologie dystopique côtoie une esthétique inspirée du film noir des années 1940 et de l’expressionnisme allemand. Les conduits omniprésents et les machines absurdes deviennent des symboles oppressants de l’inhumanité du système.

    Les décors, notamment les Espaces d’Abraxas en France, plongent le spectateur dans un monde monumental et grotesque. L’utilisation d’objectifs ultra-grand-angle amplifie la démesure et la claustrophobie de cet univers, tandis que les angles de caméra exagérés traduisent le déséquilibre psychologique de Sam.

    Jonathan Pryce livre une performance poignante dans le rôle de Sam Lowry. Sa transformation, de bureaucrate apathique à rêveur brisé, est exécutée avec une subtilité remarquable.

    Les seconds rôles ajoutent une richesse supplémentaire à l’ensemble. Robert De Niro incarne Archibald Tuttle, un ingénieur rebelle, avec un mélange d’intensité et d’humour. Michael Palin brille en tant que Jack Lint, un bureaucrate charmant mais impitoyable, offrant un contraste glaçant. Enfin, Katherine Helmond, dans le rôle de la mère de Sam obsédée par la chirurgie plastique, illustre la vacuité du matérialisme.

    Brazil est une satire mordante de la bureaucratie, du consumérisme et de l’autoritarisme. La société dépeinte par Gilliam est un miroir grotesque mais reconnaissable de nos propres systèmes. Si le film brille par la pertinence de son commentaire social, certaines scènes s’attardent un peu trop sur leur symbolisme, ce qui peut alourdir le rythme.

    Le film questionne également la valeur de l’imagination comme refuge face à un monde oppressif. Cette ambivalence entre évasion et résignation est l’une des forces narratives du film, bien que la conclusion tragique puisse diviser les spectateurs.

    La musique de Michael Kamen, construite autour du leitmotiv de "Aquarela do Brasil", joue un rôle essentiel dans la tonalité du film. Le contraste entre la légèreté de la mélodie et l’oppression des images renforce l’impact émotionnel de l’œuvre. Ce choix musical audacieux ancre également le récit dans une dualité entre espoir et désespoir.

    Brazil est une œuvre marquée par son ambition débordante. Si certains moments semblent s’éloigner de la cohérence narrative, ils participent à l’immersion dans un univers où l’absurde règne. C’est un film qui prend des risques, parfois au détriment de sa fluidité, mais toujours au service de sa vision unique.

    Avec Brazil, Terry Gilliam signe une œuvre à la fois visionnaire et imparfaite. Ses visuels inoubliables, ses performances marquantes et sa critique sociale incisive en font un film incontournable. Cependant, ses excès stylistiques et ses digressions narratives peuvent frustrer.

    C’est une œuvre qui interpelle, amuse et dérange, laissant une impression durable. Un véritable monument de la dystopie cinématographique, brillant dans son audace tout en acceptant ses imperfections.
    White Fingers
    White Fingers

    16 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 février 2024
    Ce film hors du commun, d'une durée de plus de deux heures, transporte le spectateur dans un monde futuriste et imaginative qui défie toute imagination. Terry Gilliam a réussi à créer un monde futuriste jamais vu auparavant, mélangeant habilement comédie, science-fiction, thriller et horreur pour offrir un cocktail explosif et visuellement jouissif. Le film se distingue par son scénario complexe, riche en rebondissements, qui maintient l'intérêt du spectateur à chaque instant. Ce film volontairement satirique critique la société de consommation sous tous ses aspects. Chaque plan est méticuleusement conçu pour contribuer à l'histoire, qui possède une profondeur et une densité impressionnantes. À la fin de ce tourbillon cinématographique, on ressent que Gilliam a parfaitement compris les phénomènes de la société contemporaine, abordant des thèmes comme le refus de vieillir, les interrogatoires d'État, la cupidité, les erreurs judiciaires, le désespoir, et la révolte contre un système oppressif. Le film pose la question fondamentale : comment échapper à un système où les hommes et les femmes agissent comme des robots plutôt que comme des êtres humains ? La réponse est donnée de manière radicale dans le dénouement du film. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
    NotThatYouThink
    NotThatYouThink

    40 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2024
    “Brazil” de Terry Gilliam est un OVNI, aussi bien venu du futur, pour son aspect avant-gardiste que du passé, pour ses effets spéciaux rétro qui sonnent véritablement “eighties”. Bien sûr, j’ai visionné la version “Director's cut” de 142 min, suite au litige à la sortie du film entre le réalisateur et le producteur (Universal). “Brazil”, étrange missile qui semble partir dans tous les sens montre au final une belle cohérence dans son propos. Cependant, j’ai trouvé quelques longueurs dans cette folle aventure et cette amourette entre Sam Lowry (Jonathan Pryce) et Jill Layton (Kim Greist), même si le final a beaucoup plus de poids, dénonçant une société sans scrupule, que la “legereté” de la première heure de visionnage. Tout d’abord, ce rêve étrange de Sam Lowry qui s’imagine en Icare sauvant sa belle spoiler: (mais qui finira par s’y brûler les ailes)
    coupe le rythme et la dynamique du film, malgré sa représentation onirique et symbolique. Les tuyaux et deux plombiers fous du Service Central, un remastering déjanté des Mario Bros, et ce M. Tuttle (Robert De Niro) avec Sam Lowry qui nous font passer un côté burlesque fort plaisant.
    J’ai retrouvé également dans cette œuvre, un léger coté organique style Cronenberg, mais aussi des fragments de la dystopie “1984” de George Orwell, une étrange ressemblance (un amour impossible, l’arrestation, la salle de torture). La BO est originale, même si elle est vieillissante, il faut l’avouer. “Brazil” est à voir, c’est superbement réalisé (avec les effets de l’époque), mais je trouve que ce final est convaincant et le film est unique en son genre, beaucoup de long-métrage ne se risquerait pas à ce genre de fin, mais c’est surement la plus belle surprise qu’on pouvait avoir de ce sombre tableau. J'émet tout de même des réserves sur certaines séquences trop laxistes et également sur la longueur du film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 novembre 2023
    ce film n'a pas pris une ride, il est toujours merveilleux et dénonce tant de choses notamment la chirugie esthétique et ce en 85.par contre maintenant je boycotte Terry Gilliam qui a fait mourir de faim un cheval pour son film qui finalement n'a pas vu le jour sur don quichotte
    Midnight on the cliffs
    Midnight on the cliffs

    1 abonné 60 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 octobre 2023
    Il y a bien longtemps, à une époque révolue où je dévorais les pages du magazine télé de mes parents pour sélectionner les films à enregistrer sur cassette VHS, je découvris Brazil qui fut un choc cinématographique sans précédent pour moi. Trente ans après, en écrivant ces lignes, l'émotion est toujours bien présente. D'une rare beauté visuelle, foisonnant d'idées, romantique et nihiliste, unique en son genre, Brazil est un ovni dans une décennie pourtant riche en chef d'œuvres. Sa fin aussi inattendue que celle de Fight Club ou Sixième Sens reste certainement encore dans la mémoire des adolescents qui, comme moi, un soir seuls devant leur téléviseur, ont brièvement ouvert la porte d'un monde interdit les laissant à jamais aux prises avec une nostalgie secrète et poignante.
    Arthus27
    Arthus27

    97 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 septembre 2023
    Les mots manquent tant Brazil est un chef d'oeuvre inégalé du cinéma. L'univers dystopique qu'il déploie est d'une richesse et d'une justesse folles. On y suit le personnage de Sam, présenté comme marginal dans une société où se mêlent bureaucratie, consumérisme et autorité (pour ne pas dire totalitarisme). Terry Gilliam entremêle des scènes de rêveries de son personnage principal avec la réalité, comme une tentative de s'échapper d'un monde dans lequel il n'a pas sa place. Le film est ainsi truffé de trouvailles d'écriture et de mise en scène absolument formidables qui nous transportent et nous submergent d'émotions. Car Brazil est un film généreux, dont chaque plan est d'une beauté absolue, parvenant à donner vie à cet univers pas si lointain.
    O.M.A.
    O.M.A.

    10 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 août 2023
    Un film d'une richesse de détails tout bonnement incroyable

    Avec les années qui passent, la situation matérielle décrite (technologies) paraît encore moins probable et plus onirique, ce qui n'enlève rien au film, qui a donc très bien vieilli.
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