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    Ma vie avec Liberace
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    3,7
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    401 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 novembre 2013
    Un film aussi superficiel que ne l'était la vie extravagante du pianiste Liberace, mais le film est très bien fait. Ça se regarde facilement et cette légèreté à base de strass et de paillettes, magnifiquement interprétée par Matt Damon et Mickaël Douglas, permet de passer un bon moment (parfois dramatique quand même). En VO c'est mieux, comme toujours...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 mai 2014
    Prenez 2 acteurs virils, maquillez-les, déguisez-les en "princesse", arrosez-les de quelques paillettes, donnez leur un brin de folie et d'humour et beaucoup d'excentricités. . . Vous obtiendrez un couple excentrique dans un biopic bien réussi
    Caine78
    Caine78

    6 801 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2013
    Le dernier (télé)film de Steven Soderbergh, vraiment ? On nous a fait le coup tellement de fois que cela demande quand même confirmation, surtout lorsque l'on connaît l'aspect suractif du bonhomme en la matière. Si c'est toutefois le cas, « Ma vie avec Liberace » sera une sortie convenable, à défaut d'être le biopic majeur décrit à de nombreuses reprises. Alors il n'y a pas à dire, HBO a mis les grands moyens : décors, costumes... Tout est clinquant et scintille de partout, illustration idéale pour le quasi-inventeur du bling-bling qui ferait presque passer Lady Gaga pour Tim Burton. Bref, formellement, sans être génial, c'est du beau boulot, soutenu par le côté très insouciant des 70's, également bien rendu. Reste que la question se pose : était-ce vraiment nécessaire de consacrer un projet en grandes pompes à une personnalité pas inintéressante mais finalement très peu connu hors de nos frontières ? Je n'ai pu m'empêcher de m'interroger à plusieurs reprises, tant je trouvais ce que je regardais bien fait et même plutôt réussi, sans jamais me passionner outre-mesure pour une figure par ailleurs très soupe au lait, voire légèrement superficielle. C'était toutefois LA grande promesse du film, LA raison pour laquelle il fallait aller au cinéma voir le résultat : Michael Douglas en Liberace, présenté comme son plus grand rôle depuis des années. Sans être aussi exceptionnel que prévu, celui-ci livre en effet une belle performance, apportant une vraie complexité à son personnage pour le rendre un minimum attachant et profond, ce qui n'était donc pas gagné au vue de ce que j'ai pu écrire juste au-dessus. En revanche, on oublie trop souvent l'excellente prestation de Matt Damon, toujours dans le ton juste et apportant lui aussi beaucoup de subtilité à ce « héros » cherchant constamment sa place sans jamais vraiment la trouver. Et comme il y a quelques détails vraiment étonnants sur jusqu'où peut-on aller par passion de manière parfois incroyablement grotesque, on suit cela jusqu'au bout sans trop de problèmes. Reste donc à savoir si vous souhaitez vraiment consacrer deux heures de votre vie à un pianiste qui ne vous fascinera probablement pas plus que cela, sans pour autant remettre en cause les indéniables qualités de l'entreprise. Un vrai beau téléfilm de luxe donc, mais certainement pas le summum d'émotions régulièrement annoncé.
    Ciné2909
    Ciné2909

    72 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 novembre 2013
    Nouveau biopic consacré à un personnage que peu de gens doivent finalement connaitre ; Wladziu Valentino Liberace était un artiste renommé aux USA. L’artiste a cumulé les conquêtes et d’ailleurs ce film s’inspire en fait du livre écrit par l’un d’entre eux Scott Thorson, une adaptation signée Steven Soderbergh (qui doit être à son 3ème ou 4ème dernier film). On sera d’abord ébloui par les paillettes de son personnage principal puis par les prestations de Matt Damon & du revenant Michael Douglas cependant le parcours du pianiste n’est pas non plus des plus captivants. Ma vie avec Liberace est un portrait bien trop linéaire, il devrait juste intéresser quelques spectateurs à défaut de les passionner.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 novembre 2013
    Je l'ai vu au cinéma une semaine après avoir vu le majordome,j'ai trouvé Michael Douglas presque méconnaissable dans ce rôle mais c'est normal parce que c'était le premier film avec lui que je voyais!
    Matt Damon joue aussi super bien et en le voyant dans diffèrent film très diffèrent il prouve son jeux d'acteur à multiple facette et je l'encourage dans cette voix même si il ne verra jamais cette critique et qu'il s’en fout certainement...
    Le film est vraiment très bien après je ne sais pas si cela retrace parfaitement la vie de Liberace...
    Septième Sens
    Septième Sens

    87 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 novembre 2013
    La voici. La dernière œuvre de Steven Soderbergh. Celle qui conclut une brillante carrière cinématographique avec une Palme d'Or en guise de récompense pour son premier film. Ma Vie avec Liberace est une sorte de petit miracle, un film qui n'aurait pu jamais voir le jour si la chaîne HBO n'avait pas décidé de le produire et le diffuser sur les télévisions américaines. Jugé « trop gay », il sort malgré tout sur nos écrans pour notre plus grand plaisir. Celui de voir un acteur ressuscité dans un rôle de génie : un pianiste prodige qui, à la fin de sa vie, va rencontrer l'un de ses plus grands amour, Scotty.

    Pour narrer cette existence extravagante de cet artiste, il fallait avoir une approche originale et innovante, ce que le cinéaste a parfaitement compris. Cette biographie n'est pas mono focale mais vue d'un autre œil, celui de Scotty, qui rend le personnage de Liberace plus intéressant. Sans rentrer en empathie avec lui, nous pouvons sonder la tristesse qui s'est accumulée en lui depuis tant d'années malgré sa popularité. Ses relations affectives se finissant tout le temps par des échecs, on espère que sa rencontre avec ce jeune homme changera la donne. Un vrai rapport de force s'installe entre eux, car c'est leur relation ambigüe qui passionne (amant, père, mentor) plus que le génie musicale de Liberace. Nous le voyons sous le cercle intime afin de mieux percer ses secrets et sa personnalité cachée.

    Une nouvelle fois directeur de la photographie, Soderbergh nous livre des images très douces et superbement éclairées. Elles renvoient parfaitement au monde artificiel dans lequel vit le pianiste. Idem pour une mise en scène épurée qui arrive tout en légèreté à suivre des protagonistes souvent mobiles. On apprécie toujours autant ces contre-plongées radicales arrivant à capter un certain degré de folie (on repense au récent Effets Secondaires), notamment vers la fin du film.

    La réussite de cette œuvre vient de deux grandes interprétations qui confortent le statut de l'un (Damon), et rassurent sur la santé de l'autre (Douglas). Tout deux n'ont pas besoin de parler pour montrer leur sensibilité, et il suffit d'un regard pour percer toute leur émotivité. À eux deux, ils forment un couple ultra-réaliste et profondément sincère. Car s'ils n'ont pas la même vie que les autres, ils ont cependant des problèmes similaires, tels que la jalousie ou cette lassitude liée au quotidien.

    Le septième art nous a toujours surpris, sous toutes ces formes. Alors nous pouvons croire à un possible retour du cinéaste, un artiste qui aura marqué le cinéma américain pour ses films où leur notoriété n'a d'égale que leur qualité. Merci pour cette belle aventure Steven, et peut-être à bientôt. Qui sait ?
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 novembre 2013
    Très bonne performance pour les acteurs, qui ont un sacré culot car les temps sont pas indulgents, et nous sommes en fait parfois un peu cliché, mais je veux saluer le mérite d'HBO d'avoir financé ce film, les majors n'ayant pas daignés s'intéresser à ce projet
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 4 novembre 2013
    Pianiste de Music-Hall virtuose, Liberace connait une brillante carrière aux États-Unis des années 1950 aux années 1970. Il se produit régulièrement lors de cette décennie à Las Vegas, où il rencontre Scott Thorson, jeune homme qu'il prend sous son aile. La relation entre les deux hommes, ayant trait à la fois à la sexualité, au romantisme, aux gros sous et à la manipulation, va durer plusieurs années, jusqu'à ce que la star se lasse de son bel Adonis, vieillissant, accro aux pilules et à la cocaïne.
    Se basant sur le récit qu'en fit plus tard Scott Thorson lui-même, Steven Soderbergh s'est penché sur cette relation tenue cachée à l'époque, Liberace n'ayant jamais reconnu son homosexualité. Lui qui posait toujours un chandelier sur son piano, comme une signature visuelle, laissait dans l'ombre toute une partie de son existence. Le réalisateur a souhaité explorer toutes les facettes de cet homme, qui était peut-être davantage image que musique.

    Les décors, les costumes et le maquillage valent à eux seuls le ticket d'entrée. C'est un délire visuel de couleurs, de matières, de clinquant, de surabondance. Il y a de tout, partout et toujours. Le jour est écrasé par le soleil du Nevada et de Californie. La nuit étincelle de strass, de sunlights et de bougies au bord des baignoires à robinets d'or. Les hommes sont à l'image des lieux et des objets, trop et pas assez dans le même mouvement. A la fois très loin de qui ils étaient avant tout ça et de l'image qu'ils ont d'eux même.
    On se dit un moment que c'est trop, que Soderbergh doit bien en rajouter un peu, puis on se souvient des tenues d'Elvis, de la Villa Versace à Miami et du visage de Barry Manilow et instinctivement, on comprend que non, que quelque chose en Amérique est réellement comme ça; l'abondance jusqu'à l’écœurement.

    Très vite, on comprend aussi que ces deux hommes dans leur palais doré ne peuvent qu'être malheureux. La grande force de Soderbergh est de suivre son sujet sans forcer le trait là où la situation initiale se suffit à elle-même. Il nous montre Liberace et son amant avec la plus parfaite neutralité, ces deux personnages excessifs parlant d'eux-même. Ils sont tour à tour répugnants et touchants. On les déteste, on les plaint et ils nous font rire. Beaucoup rire d'ailleurs, c'est un film vraiment très gai ! Soderbergh évoque à merveille ces stars un peu trash, qui brillent, qui choient et qu'on adore crucifier. La compassion qu'elles inspirent a toujours ses limites: on ne parvient jamais à les aimer pour de vrai, car elles réveillent en nous trop de mauvais instincts, moches mais délicieux, comme la déco de la maison de Liberace.

    Michael Douglas, Matt Damon, et Rob Lowe, qui n'ont pas été épargnés question fond de teint, paillettes et brushings aux rouleaux, semblent beaucoup s'amuser et donnent au film un rythme endiablé.

    Plus que la séparation à couteaux tirés des deux amants, c'est la mort de Liberace, rattrapé par le SIDA et par l'annonce de sa maladie dans les médias, qui semble sonner la fin de la récréation. La fin d'une époque, insouciante mais aussi froide et clinquante, dont on ne sait trop s'il convient de la regretter.
    A cette époque, j'étais toute petite et je regardais l'Amérique dans le poste de télévision. Starsky et Hutch, Les drôles de dames..., ce sont mes premiers souvenirs liés aux États-Unis. Ma vie avec Liberace m'a rappelé cela.
    NicoDino
    NicoDino

    4 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 novembre 2013
    Grand fan de M. Douglas entre autres dans Walt Street, il est ici un Michou incroyable. Du grand biopic américain servi par un duo d'acteur parfaits.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 novembre 2013
    majestueux rôle de Michael, et Matt lui donne à merveille la réplique, très bon film, il manquait cependant un petit quelque chose pour en faire un chez d'oeuvre,
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 octobre 2013
    Quel retour de M. Douglas, tel est vraiment l'impression laissé par le film, en plus de la superbe prestation de M. Damon. C'est simple, par moment j'ai presque oublié que c'était lui et je voyais Liberace à la place (que je n'ai jamais vu). En plus d'avoir des acteurs remarquables, S. Soderbergh installe son ambiance avec maestria, la scène d'intro est simple et magnifique, résumant à elle seule la vie gay où le sexe est une partie importante et directe. Le film beigne même dans une ambiance gay tout du long, pas une seule femme jolie ou jeune à regarder, décrit en plus comme un monde purement sexuel. Avant de faire surgir l'amour. Si le réalisateur réussi son histoire d'amour, c'est aussi en instaurant une tension purement sexuelle entre les personnages alors que la relation entre Liberace et Scott (personnage de M. Damon) est bien plus que ça. L'esthétisme de S. Soderbergh est impeccable quoiqu'un peut trop télévisuelle par moment malheureusement même si sa touche ciné est très présente et que la mise en scène est excellente.
    schemaman
    schemaman

    20 abonnés 277 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 octobre 2013
    Michael Douglas excellent, et étonnant, Matt Damon, beau mec, pas mal mais pas très crédible. Un film total kitch, strass et folles à gogo : C'est la cage aux folles version américaine. Mais on a du mal a rentrer dans l'histoire d'amour, quelque chose sonne faux : est-ce que cela vient du rythme, du montage, des dialogues, de certaines outrances... ? L'image est belle, dans un décor de villa de milliardaire à couper le souffle. Époustouflante performance de Michael Douglas... ou de ses maquilleurs...probablement des deux à la fois. Il reste tout de même le magnifique monologue dit de ton juste par M. Douglas "Je t'aime parce que ..." qui, s'il passe inaperçu aux oreilles de certains pendant le cours du film, mérite sa reprise dans le générique de fin.
    Yves G.
    Yves G.

    1 500 abonnés 3 517 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 octobre 2013
    Peu connu de ce côté-ci de l'Atlantique, le pianiste Liberace fut dans les années 60 et 70 une star aux Etats-Unis. Croisement improbable de Richard Clayderman et de Thierry Le Luron, il cultivait une image kitsch qui faisait se pâmer tout à la fois les grands-mères et les gays.
    L'un de ses amants, Scott Thorson, a écrit l'histoire de leur relation de 1977 à 1982, leur rencontre alors que le pianiste était au firmament de sa gloire et que le jeune homme, de 26 ans son cadet, n'avait que 18 ans, leur collaboration et leur séparation douloureuse.
    Steven Soderbergh, sans doute l'un des plus grands réalisateurs contemporains, l'a mis très fidèlement à l'écran. Michael Douglas - qui se rétablit lentement des suites d'un cancer - joue le pianiste fantasque avec une mielleuse sensualité (il faut à tout prix voir le film en VO pour entendre ses roucoulements). Matt Damon est - comme d'habitude - bluffant dans un rôle qui ne peut qu'écorner son image de gendre idéal. Le film est un aimant à Oscars pour ses deux héros. Pourtant il m'a laissé étonnamment indifférent. La faute à sa réalisation trop lisse ? Ou à un sujet qui ne me touche pas ?
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    90 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 octobre 2013
    Proclamé film-testament de Steven Soderbergh, "Ma vie avec Liberace" ressemble finalement à une œuvre joyeuse et lumineuse, malgré son scénario décrivant les hauts comme les bas d’une vie de couple. Décors kitsch, costumes à paillettes, éclairage solaire, l’ambiance même du film est tournée vers la décontraction. Pourtant, "Ma vie avec Liberace" reste un mélodrame très bien écrit, suivant les amours de deux hommes et leurs frustrations respectives. Michael Douglas et Matt Damon sont tous deux immenses, leurs performances étant pour beaucoup dans la réussite du film. Surtout, ils parviennent à toucher grâce à leur confrontation avec les affres du temps et les désillusions concomitantes. La mise en scène, magistrale aussi bien dans les scènes intimes que publiques, met en valeur cette histoire d’amour et la rend vive et dynamique tout en soulignant la beauté des images. Soderbergh a donc bien accompli son pari en réalisant un très beau film et effectuant sa sortie avec panache, à l’image de celle qui conclut "Ma vie avec Liberace".
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 26 octobre 2013
    Bof, longuet et ultra-prévisible, dès la première minute. Un film évitable, même s'il permet de voir Matt Damon...
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