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Votre avis sur Resident Evil : Afterlife 3D ?
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Excellent film d'action, celui voit le retour de Paul Anderson au commande de la franchise; il nous replonge directement dans les aventures d'Alice au pays des Zombies. Si le coté horror de ce survival, s'est quelque peu atténué c'est au profit d'une action décomplexé et totalement jouissif, le réalisateur n'a pas son pareil pour mettre en boite des scènes d'actions parfaitement maitrisés. Coté nouveauté, le film fait beaucoup références aux jeu Resident Evil 5, ainsi nous avons droit à un duel Homérique avec un géant à la hache et à des combats à la matrix avec Wesker; ce qui n'enleve rien au film qui arrive à malgré ces emprunts à avoir sa propre identité. Toutefois on pourrait reprocher au film d'avoir une histoire pas très recherché puisqu'il s'agit pour l'essentiel d'aller d'un point A à un point B; coté personnage aucun ne sort du lot sauf peut être Alice et Claire Redfield, Wesker étant plutôt un méchant assez basique, il est peu charismatique et ne marque pas les esprits.
Roub E.
Toujours aussi con que ses prédécesseurs ce Résident Evil a cependant le mérite d être un peu mieux foutu. Attention je parle uniquement des effets spéciaux et de l impression visuelle, car point de vue mise en scène le seul effet de style connu par le réalisateur est le ralenti. Préparez vous à manger du ralenti à toutes les sauces et pendant tout le film (je serais d ailleurs curieux de connaître la durée du films si toutes ces scènes étaient passée à vitesse normale.
Paul W.S Anderson réalise avec Resident Evil : Afterlife l'exploit de faire passé les autres épisodes de la saga pour des bible cinématographique (si vous voyez ce que je veux dire)
Continuant la saga de Anderson, Resident Evil : Afterlife n'apporte absolument rien de nouveau. C'est toujours la même chose : un monde apocalyptique peuplé de zombie (mais ou Mila Jovovich est arrivé a ce trouver un coiffeur) et la tueuse de zombie avec des allures de Carrie Ann Moss ce battant sans relâche contre Umberlla et parcourant le monde pour retrouver des survivant.
Anderson a décidé de parlé tout seul dans ce film mais tout de même aidé par sa super caméra enregistrant pas moins de 1000 images par seconde. Ce qui donne visuellement un résultat plutôt pas mal mais immédiatement détruit par un scénario d'une débilité absolus et des acteurs pathétique.
Au final, Resident Evil : Afterlife est une incarnation absolue du mauvais goûts, sans aucun sérieux et incompréhensible.
A éviter !
Continuant la saga de Anderson, Resident Evil : Afterlife n'apporte absolument rien de nouveau. C'est toujours la même chose : un monde apocalyptique peuplé de zombie (mais ou Mila Jovovich est arrivé a ce trouver un coiffeur) et la tueuse de zombie avec des allures de Carrie Ann Moss ce battant sans relâche contre Umberlla et parcourant le monde pour retrouver des survivant.
Anderson a décidé de parlé tout seul dans ce film mais tout de même aidé par sa super caméra enregistrant pas moins de 1000 images par seconde. Ce qui donne visuellement un résultat plutôt pas mal mais immédiatement détruit par un scénario d'une débilité absolus et des acteurs pathétique.
Au final, Resident Evil : Afterlife est une incarnation absolue du mauvais goûts, sans aucun sérieux et incompréhensible.
A éviter !
Pas mal, pas mal ... Mais je dois dire que je m'attendais à mieux, mais ça ne lui empêche pas d'être dans la lignée des précédents. Bon effets spéciaux, on rentre bien dans l'histoire. Bon : Bon film, dans la lignée de ses prédécesseurs mais pas le meilleur de la saga. A voir.
Resident evil AFTER LIFE 3d est vraiment spectaculaire. C'est franchement la meilleur 3d pour un film que j'ai jamais vu, c'est vraiment sublime, les effets sont vraiment excellent, la profondeur est vraiment parfait , et il y a même des effet qui sort de l'écran ( c'est pas du relief , c'est de la bonne 3D ) . Après les acteur sont convaincant : surtout Milla Jovovich qui est toujours parfait et sublime. L'action est spectaculaire ( avec le 3D ) avec de jolie effet de ralenti , très sympa , on a le temps de admiré l'action . La Musique est sublime et très prenante. Le scénario : très bien ficelé. On suit bien le scénario dans le film .Que dire : excellent film a voire absolument, surtout en 3D. ( car je l'ai vu en 3D ) si il font encore mieux, moi je dit vivement la suit (j'ai vu la suite, et il est pas terrible du tout malheureusement). Un très bon divertissement cet opus.
Aïe! Paul W.S. Andersonreprend du service à la mise en scène! Du coup, "Resident Evil : Afterlife" s'en ressent fortement dans une surenchère d'action qui devient lassante! En ce qui concerne l'intrigue, c'est la suite du dernier film, "Resident Evil : Extinction". C'est la suite de l'histoire, avec les mêmes personnages, mais Anderson a essayè de faire un film qui, si on n'a pas vu les autres opus, soit regardable et comprèhensible! En fait, il a essayè de faire faire un bon en avant dans la franchise, de l'anoblir...et de faire malheureusement un film plus grand grand, plus fort! Donc, investir plus d'argent afin d'avoir de plus grosses scènes d'action! On tourne à travers le monde : Tokyo, en Alaska (sur ces splendides glaciers), à Hollywood (sur Hollywood Boulevard), à Long Beach, au Canada...De plus, les producteurs ont investi beaucoup de temps et de pognon dans une 3D qui fait plus mal au crâne qu'autre chose! Rèsultat : bienvenue dans un plagiat de Matrix où le spectateur plonge totalement dans l'irrèaliste! Hormis Milla Jovovich, les seconds rôles font peine à voir, notamment le mauvais jeu de Wentworth Miller et la super star locale (Boris Kodjoe) qui rattrape l'aile d'un avion du toit d'un building! La messe est dite! A part ça, Anderson a essayè de faire un quatrième volet comprèhensible...
Yannickcinéphile
Anderson reprend les commandes, et ça se sent, d’ailleurs à mon avis les deux derniers Résident Evil (pour l’instant) sont clairement les meilleurs.
Niveau casting Jovovich poursuit son petit bonhomme de chemin, en se glissant toujours avec talent dans la peau de son personnage, auquel elle apporte un vrai relief en dépit d’une évolution qui peine à se faire jour depuis le tout premier épisode. Puisque le personnage est censé être au cœur de tous les films, il serait pas mal à un moment de le faire évoluer. A ses cotés je crois que Jovovich dispose du meilleur casting de tous les épisodes. On retrouve en effet de bons acteurs, se glissant dans la peau de seconds rôles plutôt bien construit. On retrouve Ali Larter avec plaisir, mais surtout c’est le groupe des réfugiés, avec Coates, Kodjoe, Miller notamment qui offre des choses intéressantes. A noter que l’on voit davantage Shawn Roberts dans la peau du méchant ce qui n’est pas un mal.
Le scénario comme pour l’épisode 5 d’ailleurs se montre beaucoup plus punchie que pour les précédents épisodes. Misant énormément sur l’action, les rebondissements spectaculaires, le rythme effréné, ce quatrième film développe peut-être une histoire moins intéressante, mais il assume son côté roublard propre à toutes bonnes adaptation de jeu vidéo avec plus de fermeté. Continuant d’approfondir la mythologie autour de la saga, on a affaire à un spectacle divertissant, et à une histoire simple mais bien menée.
Visuellement le film a énormément progressé. Là en effet Anderson reprenant les rennes à clairement pousser son métrage vers le haut. Revenant à une réalisation très clipesque, pleine d’effets de style, il se débrouille fort bien dans les scènes d’action. Tout est clair, lisible, c’est mené avec beaucoup d’allure, certains combats sont franchement spectaculaires (avec une créature mastodonte notamment), et Anderson exploite aussi fort bien ses décors. Ces derniers sont en effet très réussis, et la saga profitant d’un budget en hausse gagne en luxe. La dernière partie sur le bateau notamment en témoigne. La photographie a peut-être un peu moins de personnalité que pour les autres métrages, mais elle est tout de même classieuse et élégante. Le petit bémol que je relève c’est au niveau de certaines images de synthèse. Le film a tendance en effet à faire un peu de surenchère niveau action, sans forcément avoir tout à fait les moyens de ses ambitions, et certains passages en pâtissent (lorsque Jovovich saute dans le vide notamment). Toutefois en même temps on peut louer cette tendance à offrir un spectacle plus riche et plus variée, avec des créatures nombreuses, et plus diversifiées. Le film se montre aussi plus violent, plus sanglant, revenant un peu à la source du 1. Enfin la bande son trouve une véritable place dans ce film, et ça c’est un très bon point.
En clair Resident Evil Afterlife prépare le terrain à un renouveau de la saga, vers des films peut-être un peu plus typés, s’éloignant des genres classiques des films de zombis et post-apocalyptique entrevus dans les trois premiers épisodes. Si l’histoire est moins écrite, en revanche le film se montre plus pêchu, plus spectaculaire, plus violent, bénéficiant grandement de la mise en scène soignée d’Anderson qui reprend les rênes avec maitrise. 4.
Niveau casting Jovovich poursuit son petit bonhomme de chemin, en se glissant toujours avec talent dans la peau de son personnage, auquel elle apporte un vrai relief en dépit d’une évolution qui peine à se faire jour depuis le tout premier épisode. Puisque le personnage est censé être au cœur de tous les films, il serait pas mal à un moment de le faire évoluer. A ses cotés je crois que Jovovich dispose du meilleur casting de tous les épisodes. On retrouve en effet de bons acteurs, se glissant dans la peau de seconds rôles plutôt bien construit. On retrouve Ali Larter avec plaisir, mais surtout c’est le groupe des réfugiés, avec Coates, Kodjoe, Miller notamment qui offre des choses intéressantes. A noter que l’on voit davantage Shawn Roberts dans la peau du méchant ce qui n’est pas un mal.
Le scénario comme pour l’épisode 5 d’ailleurs se montre beaucoup plus punchie que pour les précédents épisodes. Misant énormément sur l’action, les rebondissements spectaculaires, le rythme effréné, ce quatrième film développe peut-être une histoire moins intéressante, mais il assume son côté roublard propre à toutes bonnes adaptation de jeu vidéo avec plus de fermeté. Continuant d’approfondir la mythologie autour de la saga, on a affaire à un spectacle divertissant, et à une histoire simple mais bien menée.
Visuellement le film a énormément progressé. Là en effet Anderson reprenant les rennes à clairement pousser son métrage vers le haut. Revenant à une réalisation très clipesque, pleine d’effets de style, il se débrouille fort bien dans les scènes d’action. Tout est clair, lisible, c’est mené avec beaucoup d’allure, certains combats sont franchement spectaculaires (avec une créature mastodonte notamment), et Anderson exploite aussi fort bien ses décors. Ces derniers sont en effet très réussis, et la saga profitant d’un budget en hausse gagne en luxe. La dernière partie sur le bateau notamment en témoigne. La photographie a peut-être un peu moins de personnalité que pour les autres métrages, mais elle est tout de même classieuse et élégante. Le petit bémol que je relève c’est au niveau de certaines images de synthèse. Le film a tendance en effet à faire un peu de surenchère niveau action, sans forcément avoir tout à fait les moyens de ses ambitions, et certains passages en pâtissent (lorsque Jovovich saute dans le vide notamment). Toutefois en même temps on peut louer cette tendance à offrir un spectacle plus riche et plus variée, avec des créatures nombreuses, et plus diversifiées. Le film se montre aussi plus violent, plus sanglant, revenant un peu à la source du 1. Enfin la bande son trouve une véritable place dans ce film, et ça c’est un très bon point.
En clair Resident Evil Afterlife prépare le terrain à un renouveau de la saga, vers des films peut-être un peu plus typés, s’éloignant des genres classiques des films de zombis et post-apocalyptique entrevus dans les trois premiers épisodes. Si l’histoire est moins écrite, en revanche le film se montre plus pêchu, plus spectaculaire, plus violent, bénéficiant grandement de la mise en scène soignée d’Anderson qui reprend les rênes avec maitrise. 4.
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Paul W.S. Anderson revient aux commandes pour le quatrième volet d'une saga qu'il représente fièrement depuis le début, même en temps que producteur. Un nouveau survival toujours aussi éprouvant et d'un visuel époustouflant. Alice, plus qu'un rat de laboratoire, n'a de cesse que de quérir d'éventuels survivants dans un monde dévasté, où plus une âme ne semble subsister. La solitude et le danger sont son lot quotidien. C'est un tour du monde assez succin que nous propose Anderson, entrecoupé de somptueux plans photographiques, de pétarades et de scènes d'action plus renversantes que jamais. Il anoblit la franchise d'une mise en scène grand public, avec ces scènes figées, ces ralentis à la Matrix, et une BO explosive. Il faut s’accrocher pour y retrouver l'univers et l'histoire originale du jeu, toujours est-il que Milla Jovovich remplie parfaitement le contrat une fois encore, toujours aux côtés d'Ali Larter, alias Claire Redfield, et de son frère Chris. Les choses s’enveniment avec un des plus redoutables ennemis: Wesker, lui-aussi métaboliquement changé par le virus T. Il ne faut plus chercher ici la logique et la cohérence, mais avant tout le divertissement et l'abandon total face à du grand spectacle. En cela, le paris est totalement gagné. 4/5
J'ai l'impression que le but recherché est de coller le plus possible à un jeu vidéo: personnages caricaturaux (et qui font tout le temps la gueule et sont forcément balèzes), film organisé en "missions", 2 ou 3 big boss, tuerie massive (et là aussi c'est caricatural), flingues chargés avec des pièces...Si on part de ce postulat ce n'est pas vraiment insupportable, mais pour voir un vrai film avec un minimum de scénario et des acteurs ne ressemblant pas à des frigidaires il faudra repasser...
gimliamideselfes
alors il y a un truc positif et tout le reste est d'une nullité à en faire pâlir les précédents opus de la saga. Le truc positif, ça m'emmerde de le dire, c'est la 3D, c'est bien lisible, pas de flou, bien que ça sorte de l'écran, ça reste regardable (ce qui n'est pas le cas de la mise en scène donc ça ne change pas grand chose).
Alors on retrouve nos Alice, je pense que là c'est un peu un concours de la scène la plus ridicule durant tout le film (rassurez vous le gagnant est à la fin, eh oui on peut faire plus ridicule que l'intro).
Franchement le scénar est lolant de bout en bout, c'est juste pas crédible trente seconde même pour un truc aussi mal pensé que Resident Evil en film. Et puis c'est marrant de voir autant de filles maquillées en plein apocalyspe.
Franchement vu les extraits je pensais qu'on aurait du nanars de compet, à la hauteur d'un Death Race (du même réal) ou de RE2 (de la même saga), mais non ! c'est pas fondamentalement ennuyant mais c'est d'une nullité croissante. ça fait peur.
Exemple, il y a une énorme créature dans une toute petite pièce et personne la remarque avant qu'elle tue quelqu'un… franchement c'est se foutre de la gueule du monde.
Et Paul qui nous offre des ralentis hideux sur sa femme, c'est juste affligeant.
Alors on retrouve nos Alice, je pense que là c'est un peu un concours de la scène la plus ridicule durant tout le film (rassurez vous le gagnant est à la fin, eh oui on peut faire plus ridicule que l'intro).
Franchement le scénar est lolant de bout en bout, c'est juste pas crédible trente seconde même pour un truc aussi mal pensé que Resident Evil en film. Et puis c'est marrant de voir autant de filles maquillées en plein apocalyspe.
Franchement vu les extraits je pensais qu'on aurait du nanars de compet, à la hauteur d'un Death Race (du même réal) ou de RE2 (de la même saga), mais non ! c'est pas fondamentalement ennuyant mais c'est d'une nullité croissante. ça fait peur.
Exemple, il y a une énorme créature dans une toute petite pièce et personne la remarque avant qu'elle tue quelqu'un… franchement c'est se foutre de la gueule du monde.
Et Paul qui nous offre des ralentis hideux sur sa femme, c'est juste affligeant.
Je crache complétement sur ce film et sur Paul Anderson, moi qui est passé des heures sur TOUS les "resident evil" sur playstation, vraiment j'ai une haine sur ce type .... Depuis quand le personnage d'Alice fait elle partie de la saga, depuis quand le paysage est - il chaotique à la "Ken le survivant".... Le 1er m'avait plu mais il manquait les personnages du jeu, le second était plutôt réussi mais c'était centré sur cette pseudo Alice, par contre, c'est à partir du 3ème que j'ai maudis Paul Anderson... malgré la présence de Chris Redfield dans le 4ème que j'aurais plus donner à Dominic Purcell qu'à Wenthorth Miller... Bref, énorme déception de cet saga qui aurait réussie si elle s'appelait autrement que "Resident Evil"...
La couleur est annoncée des le début du film, de l'action, des images à couper le souffle et une superbe bande son !!!!
Les commentaires de ceux qui croyent que c'est un film super intello à dormir debout, passez et RDV aux archive de la Gaumon! Là c'est du divertissement pur et dur! On en a plein les yeux et les oreilles pour notre grand bonheur ! Pourquoi entrer voir un film d'une saga qui n'a jamais prétendu autre que du divertissement????
Ah! le truc qui me fait marrer le plus "3D innutile"!! Mouahahaha, est-ce qu'on a dit lors de l'apparition du son ou de la couleur que c'était "innutile" ou du gadget??? C'EST RIDICULE !!!!
Certe ce volet se démarque beaucoup des trois précédents, mais c'était le cas depuis le début, aucun ne ressemble à l'autre, et chaqu'un son style, toute fois sans jamais péter plus haut .... Y a de l'action, des zombies à la péles et ça divertie, que demander de plus!!! Les images magnifique de sublimes panaramiques, une bande son excellente et des effets spéciaux à couper le souffle!
Et le personnage "Alice" offre le plus grand spectacle tout le long du film avec des scénes incroyable et du jamais vu!!! 5/5 cigare à la main!!!
Les commentaires de ceux qui croyent que c'est un film super intello à dormir debout, passez et RDV aux archive de la Gaumon! Là c'est du divertissement pur et dur! On en a plein les yeux et les oreilles pour notre grand bonheur ! Pourquoi entrer voir un film d'une saga qui n'a jamais prétendu autre que du divertissement????
Ah! le truc qui me fait marrer le plus "3D innutile"!! Mouahahaha, est-ce qu'on a dit lors de l'apparition du son ou de la couleur que c'était "innutile" ou du gadget??? C'EST RIDICULE !!!!
Certe ce volet se démarque beaucoup des trois précédents, mais c'était le cas depuis le début, aucun ne ressemble à l'autre, et chaqu'un son style, toute fois sans jamais péter plus haut .... Y a de l'action, des zombies à la péles et ça divertie, que demander de plus!!! Les images magnifique de sublimes panaramiques, une bande son excellente et des effets spéciaux à couper le souffle!
Et le personnage "Alice" offre le plus grand spectacle tout le long du film avec des scénes incroyable et du jamais vu!!! 5/5 cigare à la main!!!
je suis un fan depuis le début et là je tombe sur afterlife... Pfff la cata complete !! Aucune action, on se fait chier de bout en bout c'est triste. Par contre point positif, on voit de plus en plus de similitudes avec la série jeux vidéos et ça c'est bien mais bon ça reste faible... A quand un vrai RE?
Une daube sans nom, paul Anderson est d'une médiocrité absolue, comment a-t-on pu laisser un mec pareil faire d'une oeuvre comme Resident Evil en jeux vidéo, une telle honte au cinéma ???
Je m'attendais à un navet insupportable, c'est juste une idiotie divertissante donc une bonne surprise malgré des trous dans la compréhension; la 3D est discrète et non décisive.
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