Avis : Resident Evil : Afterlife 3D - Page 4

On ne change pas une équipe qui gagne ! Après une trilogie aussi inégale que visuellement sympathique, oubliant clairement les frissons des jeux pour nous servir de l'action non-stop bourrée d'effets spéciaux, revoici les interminables aventures d'Alice et de sa troupe de guérilleros intrépides. Premièrement, les scènes d'action sont bien mises en scène donc à ce niveau-là, impossible de cracher dessus : on en a pour notre argent. Ensuite, niveau scénario, c'est évidemment toujours la même chose : on vadrouille, on s'arrête dans un coin, on discute, on combat et on affronte le boss final. Heureusement, certains détails sont tirés de l'excellent "Resident Evil 5" (l'Executioner, les majini, les dobermans, Wesker...). Ne prenant aucun risque, le réalisateur du premier opus reprend les grandes lignes de Zombie, plagie des plans au ralenti de Matrix Reloaded et Blade II, multiplie les effets de style et nous assomme de punchlines faciles mais délaissant hélas les zombies, relayés au dernier plan. Une chose quelque peu dommage vu qu'il s'agit avant tout d'une franchise sur les morts-vivants, remplacés le plus souvent par de nouvelles créatures. L'interprétation reste la même si ce n'est une Ali Larter plus présente, un Wentworth Miller hélas complètement paumé, gâchant le rôle pourtant culte de Chris Redfield, et un Shawn Roberts tout en finesse dans son rôle d'Albert Wesker, grand méchant de l'histoire qui en fait des tonnes derrière ses lunettes noires. Bref, sans être révolutionnaire, Resident Evil : Afterlife nous offre de bonnes scènes d'action, de nouveaux monstres convaincants, une 3D particulièrement réussie et un rythme inégal pour un scénario bourrin. Il n'en fallait pas plus pour que cette quatrième mouture soit tout simplement du bon spectacle décérébré. Néanmoins, vu le final made in Paul W.S. Anderson, on espère que la prochaine adaptation sera définitivement la dernière, la saga commençant tout de même sévèrement à tourner en rond...

Meilleur que le troisieme mais inférieur au deuxième. Néanmoins, un bon film.

Waaah ! ça c'est du film ! Comment un film peut-il être autant foiré ? Le scénario est franchement nul et les scènes d'action en 3D sensées aider à vendre le film sont mal chorégraphiées et les ralentis sont affreux (Et oui Paul W.S Anderson n'est pas Zack Snyder). Ce sont les décors qui sont les plus sauvables. Le méchant est un sous Agent Smith sans la classe d'Hugo Weaving et jamais malgré l'eau et le temps, le maquillage de Mademoiselle Jovovich ne s'estompe, il reste impeccable. Et ce sera la seule chose impeccable du film.

Mwouais, pas mal mais pas assez de combats avec les zombies... Je reste un fan de Resident Evil mais ce film doit être le dernier.

bon film dans l'ensemble même s'il est surtout basé sur l'action la 3d est bien faite

Bien que la fin en queue de poisson de Extinction ne laissait guère de doutes quand à la légitimité d’une suite, les choses n’étaient pas certaines : Paul W.S. Anderson, créateur de la saga, qui revient après deux films où il n’était que scénariste, voyait le troisième comme le dernier épisode de la franchise. Mais vu la forte rentabilité de ses adaptations, le revoilà aux commandes d’un vrai blockbuster, tourné en 3D et doté d’un budget plus conséquent.

Avec son armée de clones, qui se feront décimer immédiatement, Alice (Milla Jovovich) traque les membres de Umbrella Corporation, et tout particulièrement leur chef Wesker, mais sans succès. Elle décide alors de rendre visite à ses amis qu’elle avait laissé partir pour Arcadia, terre paradisiaque d’Alaska où ils offriraient protection et vivres, et assurent de l’absence du virus. C’est du moins ce que laissent entendre certains messages audio. Mais aux points de coordonnées, Alice ne trouve qu’une seule survivante : Claire (Ali Larter), amnésique et contrôlée par une puce d’Umbrella. Que c’est-il passé et où est Arcadia ?

À peine pourra t-on se féliciter du choix de Milla Jovovich de se faire retirer son ignoble bouton au front que les premiers constats désagréables fusent douloureusement. Tout ce que Extinction avait implanté est oublié et Paul W.S. Anderson est un vendu : les costumes en cuir moulant à la Matrix sont de retour, exit l’originalité et le style ; l’inoubliable musique, emblème de la saga, est passée aux oubliettes ; et son réalisateur délaisse ses plans intelligent aux profits d’effets aux ralentis vite gonflants. Fier de son gros budget, il nous balance les plus beaux paysages au monde, fait des effets de lumières magnifiques, envoie des monstres très réussis, et accumule les images impressionnantes. C’est très bien mais le résultat n’a aucune identité et ça blase de voir une telle absence de talent. Même l’histoire ne vaut rien, tout juste est-elle prétexte à faire une démonstration de la saga en mode gros budget + 3D. Et quand on pense que Alice a perdu tous ses pouvoirs, c’est comme si on perdait espoir. Tout juste peut-on se consoler au milieu de cette débauche technologique de la présence remarquée et remarquable de Wentworth Miller. Mais encore une fois, si son charisme est immense, le mystère l’entourant se révélera être une déception colossale. La saga possède toujours un bon capital sympathie, mais il sera désormais difficile d’imaginer un retour flamboyant…


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Un peu mieux que le 3 qui était un échec, mais on est a des années lumière de la réussite des 2 premiers film. Mon préféré reste de loin le 2ème.

Beaucoup d'incohérences, de choses incompréhensibles, mais bon on prend quand même toujours autant de plaisir à poser son cerveau et à regarder simplement un Resident Evil.

Très bon film d'action super effet spéciaux un agréable moment

Le 1 était moyen , le 2 pas mieux , le 3 navrant et le 4 suis la lignée en étant nul . Et je ne suis pas fan du jeu video donc ça n'a aucun rapport .

Pour commencer je confirme, c'est un bon gros nanar de série Z ! Mais j'ai été grandement aveuglé par la 3D qui était assez convaincante. C'est l'un des seul film qui nous roule pas dans la farine, la 3D est utilisé (et pour une fois) dans chaque scènes et ça c'est vraiment cool ! J'ai aucun regret d'avoir "utilisé" mon pognon sur ça ! En tout cas Avatar à côté, la 3D n'était pas si bien utilisé que ça en y repensant...
Maintenant, retirons la 3D et examinons : C'est ici que les choses se gâtent. Déjà dans le film on retrouve énormément d'incohérence (sachant que le premier film restait plutôt crédible) à savoir que Alice redevient humaine et perd ses pseudos "pouvoirs". Pourtant elle n'a aucun mal de lever sa jambe à la karaté kid, survivre à des choses totalement impossible [spoile]le crache de l'avion au début[/spoile] et je ne parle même pas de Claire qui "censé être humaine" arrive à faire des saltos arrière sur un seul pied contre le mur, glisser sur le sol façon Jackie Chan et autres. Le jeu d'acteur pour Milla, bah c'est pratiquement pareil que les premiers (bon mais sans trop) Ali Larter c'est largement rabaissé par rapport à extinction, Wentworth Miller personnellement avait beaucoup de charisme, enfin ce n'est que mon avis mais il a une expression assez remarquable. Après sa façon de jouer est de même pour Milla donc... cool mais sans trop. Les nouveaux perso du film ne sont pas du tout attachant, [spoile]on a à peine vu le chinois qui se fait zigouiller et la gonzesse dont on connait presque pas son prénom se fait sucer la cervelle pendant que ses amis ne pleurent même pas sur son sort[/spoile] L'acteur reprenant Wesker est pour ma part bien trop jeune et son charisme est à revoir. En revanche, niveau gore c'est pas si mal. Ça respecte plutôt bien un Resident Evil (ne vous fiez pas aux avertissement simple sur la fiche) Voilà, sans parler de l'adaptation je note le film 13/20.
Voyons se que la fidélité par rapport au jeux en a dans le ventre...? Bah merde alors son estomac est complètement vide =S. La trahison en-vers la franchise du jeu mythique est simplement misérable, ils ont réussi à faire pire que les anciens. Le bourreau qui sort de nul part, on ne sais même pas pourquoi il veut la peau des gentils, pourquoi il veut les tuer ? Il se nourrit même pas de vivants ! Les supers pouvoirs d'Alice (comme il a été déjà vu précédemment) sont toujours resté choquante mais Paulo à bien fait de mettre ce petit sujet sur la perte de pouvoir d'Alice (le film devient plus crédible... ou pas). On ignorent pourquoi les plagas sont présent, aucune explication n'a été promise, le casting du aux personnages ne correspond pratiquement pas (surtout pour Claire). Bref j'en passe, j'en passe et j'en rerepasse sur l'adaptation... Le dernier défaut est aussi la fin, et oui encore une fin encore plus ouverte que celle d'extinction ou de l'immonde Apocalypse. Ça devient chiant perso, et en plus on dirait que Paul Anderson se prive de montrer ce qu'il a dans le ventre pour garder le meilleur à la suite, sauf que tout ses films laisse présager d'une suite donc il restera coincé dans son univer commercial. Voilà je vais m'arrêter là même si j'ai encore énormément de choses à dire. Bref, un film que je recommande pour les pitits fans des films de Paulo l'Anderson, mais d'autres vrai fans du jeu seront en prise d'un saignement des yeux en regardant ceci...

Pendant tout le long du film, la plus grande question que l'humanité ce pose était dans ma tête, "pourquoi ?". Les trois films précédents, qui sont loin d’être des chefs d’œuvres sont au moins cohérents les uns aux autres. Mais la non, la cohérence et la logique n'existe plus dans ce film. Déjà le scenario, qui, je tiens a le préciser pourrait faire passer le scenario de Rambo II pour le plus grand scenario de toute l'histoire du cinéma, est juste inexistant. C'est vide, le néant absolu. Et donc en plus d’être totalement vide, il est incohérent. L'Arcadia par exemple, d’où il sort ? des le début du film elle dit qu'il faut qu'elle ( Alice ) aille a l'Arcadia parce qu'avec le groupe de survivants qu'elle a rencontrée dans Exctinction, ils ont pu entendre un message radio. Ok, pourquoi pas, le problème c'est que dans Extinction a aucun moment ils reçoivent des messages radio venant de l'Arcadia, ils pensent juste, grâce a un livre, que l'Alaska est une zone non infectée. Pas de message radio et pas une seule fois le nom d'Arcadia dans Extinction. C'est juste une invention de Paul WS Anderson, qui au dernier moment a voulu changer ça. C'est con. Et Claire comment elle a fait pour survivre ? entre le moment ou elle pose l’hélico et le moment ou Alice la retrouve il ce passe plus d'un an ( 18 mois je crois, a peu prés ). Déjà Alice la retrouve comme ça, sans doute grâce a des coordonnés magique qui était dans les transmissions radio qui existent pas, et en plus Claire était toujours sur la plage ou il y a l’hélico. Les mutations dans le film reste cohérentes avec le reste de la saga, mais par contre il sort d’où le Bourreau ??? ok c'est un des monstres du jeu, mais il est très très mal intégré, c'est une expérience de Umbrella ? c'est un zombie qui a muté et qui du coup s'est dit qu'il allait ce mettre une cagoule sur la tête pour le fun et ce faire des armes ? il est juste la pour faire jolie, pour les fans du jeu, mais intégré de cette façon il est juste inutile. Puis les personnages, ils sont juste inintéressant, a part Luther, et les acteurs sont pas super. Mais voila malgré ce scenario fait en peau de lépreux, j'avoue avoir passé un moment sympathique et fun. Car même si Paul WS Anderson est un gros tacherons en tant que scénariste, il arrive quand même a rendre les scenes d'actions visuellement très bonne, surtout grâce aux ralentit, même si il y en a quand même un peu trop et qu'elles sont la pour faire un effet 3D. Je m'amuse devant ce film, un divertissement très con, un plaisir coupable, un nanar spectaculaire aux scenes d'actions extrêmement bien foutu. A voir pour le fun.

Un film dénué de scénario et de rebondissements, les effets spéciaux sont toujours aussi mauvais, certaines scènes sont abusées, mais l'interprétation de Boris Kodjoe est vraiment bonne, tout comme la fin qui est bien rythmée.

Le 3 était bon le 4 ben , celà commence à venir un peu lourd , et le film commence à souffrir de grosses incohérences , je pense que comme beaucoup à force de vouloir faire à n'importe quel prix des suites , on fait du n'importe quoi

Plus les épisodes de la série « Resident Evil » s’accumulent, plus on flirte avec le néant.