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    De l'autre côté
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    mimid'paris
    mimid'paris

    7 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2024
    Un film tout en retenue et portant prenant. Une image claire, une musique envoûtante. La trame est à l’image de l’escalier à double hélice de Chambord. Le jeu des acteurs est tout en finesse. Merci a Fatih Akin.
    Serge K
    Serge K

    14 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 novembre 2022
    excellent film lesbien , tout en douceur scenario intelligent, jeux d'acteur très juste, dialogues très bons, la photographie est a la hauteur de ce bon film
    Karine77
    Karine77

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 juin 2021
    Sublime, un chef d'oeuvre pour moi.
    Des destins croisés, de l'amour, des tensions, j'ai adoré!
    Vu à sa sortie en 2007, je m'en souviens encore! J'aimerai beaucoup le revoir.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    105 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2021
    Dans ce film délicieusement romanesque – il reçut le prix du scénario au Festival de Cannes 2007 – Fatih Akin fait s’entremêler entre Allemagne et Turquie le destin de trois duos, deux mères et leurs filles ainsi qu’un père et son fils. Œuvre sur la filiation, le hasard, le destin et la culpabilité, De l’autre côté embrasse un nombre important de thématiques, à travers un scénario complexe mais à la fluidité impressionnante. Un long-métrage politico-sentimental bouleversant, intime et universel, qui illustre comme seuls les grands films savent le faire cet étrange mélange de puissance et de fragilité que constituent nos destinées humaines.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 décembre 2020
    Jeu d acteur horrible musique inapproprié série espagnol decevant et distribution a côté de la plaque
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 610 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 octobre 2020
    Différents lieux cultures et émotions et la liberté comme axe commun. De l'autre côté est un film sur le désir et le devoir qui ne répond que sous forme de croquis. C'est un film qui devient scène par scène un ennui et comme une sorte de miroir pour le spectateur. Pour l'hypothèse les ombres et la tension et les morceaux d'un drame qui semble si familier. Mais ce n'est pas seulement une histoire sur la recherche d'une fille au milieu d'un monde différent. Mais une définition de la société contemporaine et de ses frontières. Ainsi une histoire d'amour et de rencontres et les portraits de bonheur illusoire. Est ce utile peut-être mais comme un diagnostic pas comme un film...
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    122 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2019
    Il faudra que je revoie Head On pour être sûr de mon avis, mais il se peut qu’il n’ait pas marqué de changement de style chez Akın, lequel renoue avec l’empathie et la gentillesse – tout simplement – comme moteurs de ses films, avec ce tour de l’autre côté qui est plus expert et plus osé, puisqu’il va dans la critique du système judiciaire turc.

    Ses films sont toujours allemands mais le ratio de langue turque est de plus en plus en faveur de cet Orient échappant à l’Europe et où se jouent des révolutions ignorées, en l’occurrence par Hanna Schygulla dont les sourires doux sont formidables en sa qualité de mère. Peut-être n’aurait-elle pas eu besoin du perfectionnisme humain du réalisateur pour qui l’impromptu est roi au royaume de la société, et chez qui tout se passe en un instant, comme le passage de l’autre côté.

    Les rouages sont plus anonymes, peut-être parce que rodés, ou peut-être parce qu’Akın cherche de nouvelles recettes après avoir découvert que la violence était inadéquate. Les passages les plus forts sont un peu étouffés sous la prise de parole du sous-texte ; la trame est dense et ne tolère pas bien qu’on y fasse courir des doigts spontanés. Par contre, il y a un talent qui ne se perd pas : c’est le méli-mélo culturel et langagier, une entreprise qui doit se heurter à pas mal d’accrochages dans les coulisses.

    septiemeartetdemi.com
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 juillet 2018
    Très beau film choral qui joue sur les décalages de temporalité pour offrir un regard doux-amer sur l’interdépendance des êtres, mais aussi sur les rencontres ou retrouvailles ratées. Pas de bouquet final, pas de spiritualité ou de sentimentalité cheap comme souvent dans le film choral. On est bien ancré dans une veine réaliste et Akin ne cherche pas à rassembler artificiellement tous les fils narratifs. Inutile d’attendre un grand message existentiel ou politique (le regard porté sur le militantisme, par exemple, reste ambigu), Akin s’intéresse d’abord à ses personnages et à leurs pays, la Turquie et l’Allemagne, qui représentent en quelque sorte les deux facettes de leurs personnalités à tous.
    Matthias T.
    Matthias T.

    45 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 janvier 2017
    Après "Head-On", le cinéaste germano-turc signe un deuxième chef-d'oeuvre avec "De l'autre côté", "film de festivals", mais dont on est bien forcés de reconnaître toutes les immenses qualités, d'écriture, de mise en scène, d'interprétation, d'intelligence, et aussi, bien sûr, d'émotion.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 189 abonnés 4 177 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mars 2017
    En 2007, Fatih Akin, le jeune cinéaste allemand prodige, d'origine turque s'essaye avec virtuosité au récit éclaté mis à la mode par Alejandro Gonzales Inarritu et Guillermo Arriaga dans leur trilogie entamée avec "Amours chiennes" en 2000 , suivi par "21 grammes" (2003) et Babel (2006). Beaucoup s'y sont essayés, pas mal s'y sont perdus. Il s'agit de narrer séparément où parallèlement plusieurs histoires (trois en général) apparemment sans lien pour les faire se nouer au fur et à mesure du récit jusqu'à un climax final où le puzzle s'assemble de manière complètement cohérente. Très centré sur les difficultés d'intégration des turcs sur le sol allemand et la nostalgie du pays qui l'accompagne, Akin qui s'était révélé avec le très poignant "Head on", décrit encore une fois une situation poignante avec six destins dont la rencontre sera le déclencheur d'une succession d'évènements tragiques le plus souvent dus à la fatalité. spoiler: Ali, (Tuncel Kurtiz) un père à la retraite, veuf et alcoolique va vouloir sortir une prostituée (Nursel Köse) de sa condition. Gül (Nurgül Yesilcay), une fille qui n'a pas revu sa mère depuis des mois se réfugie en Allemagne après avoir fui la Turquie où elle milite dans un parti anti-gouvernemental. Lotte (Patrycia Ziolkowska) une autre jeune fille étudiante à Brème va suivre Gül jusqu'à Istanbul après que sa demande d'exil politique a été refusée. Nejat (Baki Davrak) le fils d'Ali ,professeur de littérature à Brème va rejoindre Istanbul pour y reprendre la seule librairie de langue allemande. Susanne (Hanna Schygulla) la mère de Lotte va elle aussi rejoindre Istanbul.
    Au gré des allers et retours entre l'Allemagne et la Turquie qui rythment en général les films de Akin, les destins s'entrecroisent sans se chercher ou se manquent d’un souffle (une annonce arrachée sur un mur au moment fatidique). Les fils de l’intrigue tous solidement tenus sont l’occasion pour Akin de laisser s’exprimer tous les sentiments qui animent nos vies et plus particulièrement celles des gens déracinés. Sans pathos Akin nous montre des gens combatifs ou démunis face au destin qui basculent ou au coup du sort. C’est l’humanité profonde qui s’extrait de ce cinéma à fleur de peau se construisant essentiellement sur des moments de rupture. Un très beau film où les acteurs tous formidables sont au diapason d'un réalisateur qui n'a pas besoin de recourir à beaucoup d'artifices pour exprimer sa sensibilité. Depuis "Julie en juillet" (2000), Fatih Akin n'a jamais déçu.
    Captain fantastic
    Captain fantastic

    26 abonnés 285 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mars 2015
    Film très touchant !!! La première partie beaucoup plus rythmée est excellente, la seconde partie un peu plus lente en pâtit un peu mais l'ensemble est vraiment passionnant. Les actrices sont exceptionnelles !!! Un moment savoureux !!
    Julien D
    Julien D

    1 204 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2014
    En tant que représentant cinématographique des allemands issus de l’immigration turque, Fatih Akin signe, après Head-On qui a reçu le Lion d’Or trois ans plus tôt, un second film entièrement axé sur le rapprochement entre les peuples des deux pays. Le scénario se construit harmonieusement autour du destin croisé de deux duo mère-fille, l’un venant de Turquie avec une mère contrainte de se prostituer en Allemagne et sa fille désirant y trouver l’exil politique, et un autre, allemand, avec une fille qui se lie à la précédente et sa mère qui cherchera à la suivre en Turquie. Dans ce chassé-croisé émotionnel entre les deux nations, le réalisateur réussit à traiter les grands enjeux politico-sociaux de la question de l’immigration et à dessinant des ponts humains entre les deux populations, le tout avec une mise en scène dont la sobriété maitrisée évite tout sentimentalisme lacrymale et tout moralisme pro-européen. De plus, la qualité esthétique (assurée par Rainer Klausmann, incontestablement le meilleur chef opérateur allemand contemporain) participe à faire de De l’autre côté l’un des plus beaux films que le cinéma d’outre-Rhin nous ait offert ces dernières années.
    Éric S
    Éric S

    5 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 janvier 2015
    Film largement surnoté car vu uniquement par ceux qui allaient forcément l'aimer, du fait des critiques presse et de l'effet Cannes...
    Aucun intérêt pour moi. Tout est improbable !!!
    spoiler: Une mère qui se prostitue et file l'argent à sa fille sans savoir ce qu'elle en fait...

    spoiler: Une fille qui héberge une autre chez sa mère alors qu'elle ne la connaît pas. Tombe amoureuse d'elle en 2 minutes. Et risque tout pour elle jusqu'à en mourir...

    spoiler: Un petit qui utilise une arme et tue une femme sur le coup en un coup...

    spoiler: Une mère qui aide la fille qui est à l'origine de la mort de sa propre fille...

    Tout ça dans un film mou au possible qui finit en queue de poisson...
    A éviter si vous voulez ne pas perdre de temps...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 mars 2014
    De l'autre côté m'a plu par la diversité des thèmes, qui me sont apparus comme portés avec force et finesse par les personnages : vieillesse, intolérance, tolérance, militantisme, immigration, homosexualité, innocence, filiation, mort, les liens entre la turquie et l'allemagne (et plus largement l'europe de l'ouest) ... comme tous ces thèmes sont pris au niveau de l'individu, des peuples qui se rencontrent, le spectateur peut plus facilement se les approprier. Ce film invite à l'écoute, à la tolérance, à ce que chacun se défasse de ses préjugés pour pouvoir créer et jouir ensemble.
    J'ai beaucoup aimé les différentes sortes de remise en cause : soi, son quotidien, ses proches (parents-enfants), les inconnus (Yeter et Nejat, Ayten et Susanne), les organisations ... toute une recherche de justice, de justesse, de valeurs et d'équilibre. Plus qu'un idéal à investir, je le ressens comme une vision d'espoir en chacun et en tous. Ca m'a plus marqué que la mort et le désespoir qui assaillent parfois les personnages, car j'ai eu l'impression que leur "recherche de la bonne manière d'agir" primait. (assez existentialiste non ?

    Le scénario est habile, mais ça casse pas non plus quatre pattes à un canard. Par exemple, j'ai trouvé la manoeuvre du "on se croise mais on se connait pas donc on se remarque pas mais le spectateur sait combien on est liés" absolument dénué d'intérêt.

    Pour que la complexité des personnages et évènements du film puisse nous apparaitre, il faut parfois être informé : par exemple, dans les années 60 (et au-delà) l'allemagne a appelé les turcs à immigrer car c'était et est toujours nécessaire pour son économie ; aujourd'hui la population d'origine turque avoisine les 5 millions d'habitants, le contexte est donc précis, il s'agit d'une émigration particulière et non de l'immigration en général.
    Mais heureusement, il n'est pas nécessaire de connaître à fond la culture et l'histoire turque ou allemande pour apprécier le film et comprendre les situations : elles sont très émotionnelles ! Elles m'ont touché, mais sans être bouleversantes – je crois que ça n'est pas le but, que ça n'aurait pu qu'apporter de la niaiserie au film, tandis que là, les scéquences émotion (susanne dans le motel, Lotte qui devient mélancolique (coups de fil à sa mère..), Nejat sur la route jusqu'à la plage...) font partie intégrante du reste, sont légitimes, c'est pas seulement du pathos.

    Le jeu des acteurs m'a subjugué car je l'ai trouvé à la fois juste et pas trop académique, tout juste assez personnel donc.

    La façon dont les militants et organisations contestataires turques se comportent est un peu stéréotypée, presque caricaturale (je pense à tous les "amis" d'Ayten), mais ces raccourcis sont largement compensés par la figure de Güll/Ayten, qui transpire l'humain et la volonté énergique de changement. C'est seulement dommage qu'elle m'ait laissé l'impression d'une figure fragmentaire.
    xxLaurent
    xxLaurent

    6 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 août 2013
    Je suis encore tombé dans le piège ce cet encensement de critique intello. Le scénario soit disant magistral, est en fait assez ordinaire.

    Un croisement de parcours qui n'émeut pas forcément et qui s'appuie surtout sur la bonne morale religieuse du pardon à tous prix. Pas ma tasse de thé, même s'il est d’Istanbul !!
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