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Benjamin A
712 abonnés
1 922 critiques
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1,5
Publiée le 9 mars 2014
Très décrié à sa sorti, la suite de Wall Street, bon film de la fin des années 1980 porté par un excellent Michael Douglas, s'avère décevante. Ce dernier reprend son rôle de l'impitoyable Gordon Gekho et cette suite se devait de bousculer le monde de la finance, surtout à sa sortie en 2008, et malheureusement il n'en est rien, c'est terriblement plat et lisse et si Stone utilise beaucoup le vocabulaire de la finance, c'est très mal exploité. Il ne critique rien du tout et si le film n'est pas totalement désagréable, on se demande quelle est son utilité ? C'est dommage, il devait être pertinent, bousculé et dénoncé le monde de la finance mais c'est oublié que Stone a un peu perdu de son mordant depuis la fin des années 1990. Puis toutes ses situations familiales mal exploité ne sont pas franchement utile et il y avait trop de violons et de guimauve. L'ensemble n'est pas désagréable, on a vu pire, mais c'est une déception vu le sujet et le réalisateur. Michael Douglas et Josh Brolin sont en forme, tant mieux, mais ne sauve pas ce film très naïf que nous offre Oliver Stone.
Wall Street : l'argent ne dort jamais : INTRODUCTION : Un film a la narration classique mais qui se vaut très captivant et intéressant a suivre. Le monde de la finance peut paraitre chiant mais pas avec ce film la. SCENARIO : Car, on a le droit à un beau portrait du monde de la finance avec une bonne critique de l’argent… Bon après, il y a l’histoire d’amour entre Jake Moore et Winnie Gekko qui est bien sympa mais qui peut écarter le film de sont monde. Ainsi que la relation père et fille mais je trouve que tout ça donne un coté humain au film. Et puis, les personnages sont très bien travaillés et exploité. Ils mettent bien en avant la cupidité et ce qui est près à faire un homme pour de l’argent : jusqu'à volé sa propre famille. Le seul reproche est que il manque peut être un peu d’impacte et de cruauté dans tout ça (car tout ce fini bien dans la joie et la bonne humeur : bon après, je n’aurais pas voulu que le film se finisse mal ^^). Donc voila, a mit chemin entre le monde de la finance et l’impacte de l’argent sur sa personne et sa famille. C’est bien construit et écrit, pas de longueur a signalé, de bon petit rebondissement son présent (malgré que la chut est bien trop prévisible). Donc, très bon scénario bien maitrisé, il y a juste un petit défaut, c’est que la transition entre les deux films soit pas meilleurs (on ne voit pas la fille de Gordon Gekko dans le premier) : dommage mais c’est que détail. RÉALISATION : Sinon, pour parlé de la réalisation : elle est classique, posé et donc efficace. On a le droit a de beaux plans appuyés par une excellente mise en scène signé Oliver Stone (qui a lui-même pour l’anecdote réalisé le Wall Street original). CASTING : Pour ce qui est des acteurs : on retrouve un Michael Douglas enfin dans un bon role. Toujours aussi charismatique avec un jeu pour ce rôle qui impose le respect. Pour Shia LaBeouf : je ne vois pas ce qu’on a contre lui. Il est très convaincant et a une bonne palette d’émotion qui arrive bien a transmettre aux spectateurs donc moi je dis : bon acteur. Tous comme la sublime Carey Mulligan qui est vraiment extra dans ce rôle. Noté aussi l’excellent Josh Brolin qui vient compléter le casting. CONCLUSION : Donc voila un bon drame financier qui se regarde avec plaisir et vraiment, je me suis pas ennuyer et j’ai passé un excellent moment : un film remplit de qualité qui efface les petites défauts : a voir.
Oliver Stone a définitivement perdu son mordant et nous livre une suite incolore, inodore et insipide là où on attendait une nouvelle charge féroce contre le monde de la finance. On reste sur notre faim devant ce mélo médiocre, à peine sauvé par ses talentueux acteurs.
Si le Wall Street de 1987 suscitait un intérêt de part sa fraicheur, une certaine originalité dans le propos et un sens du cynisme, cette suite, longue et barbante, déçoit fortement. Le scénario est basé sur différentes intrigues qui tombent pour la plupart à plat, sans jamais vraiment réussir à intéresser. Les dialogues ultra verbeux et le jargon omniprésent plombent l'ensemble et rendent le film hermétique et excluant; les initiés de la finance apprécieront mais pour le quidam, c'est une autre affaire. Michael Douglas parait fatigué et beaucoup moins incisif que dans le premier opus. Shia LaBeouf livre pour sa part une prestation anecdotique, loin de ce qu'on est en droit d'attendre pour ce genre de rôle. Seule Carey Mulligan parvient à tirer son épingle du jeu. Finalement, ce qui sauve le film du naufrage complet, c'est la réalisation, la patte Oliver Stone qu'il met ici encore une fois en avant.
Alors Wall Street est le film que j'aime le plus du réal que je ne connais pas très bien, mais que je n'apprécie pas vraiment (un parmi tant d'autre). Le film commence sur une voix off racontant de la merde en barre, blabla la bulle blablabla l'évolution OU la création. C'est le moment où se fait la scission entre le film et moi, je savais que Stone était un faux impertinent (ça c'est bien vu avec W.) mais à ce point là c'est grave, pour ne se mettre personne à dos il cite bien les deux théories à un pied égal et dans une phrase d'une nullité absolue… Non mais quoi ? De qui il croit se moquer là ? Il veut se faire un public chez les créationnistes ? Le foutage de gueule commence à se faire sentir et on est même pas à 2 minutes de film. Bon cet incident presque oublié le film commence vraiment, ou oublie directement Gecko qui passe à la trappe… C'est con parce que c'est le seul perso un temps soit peu intéressant (pas très intéressant non plus mais quand même). Et puis les minutes passent passent, ah mais en fait il ne se passe rien ? Ah oui c'est du vide. "Bouh les méchants capitalistes sont méchants, ils ont combattu toute leur vie le socialisme bouhhhhhh", mais encore ? Alors on assiste à des scènes nunuches réalisées n'importe comment (bien oui Gecko il a une petite fifillllle). On assiste à un caméo totalement inintéressant et vain… (méé ouais c'est pour faire plaisir aux fans du premier, grands dieux que c'est nul). On a de la morale, blablabla, de la niaiserie pour bonne femme (je pensais que c'était des requins moi ?), ah mais je rêve il la situation n'a pas avancé d'un chouïa depuis 1h30 ? Et puis les 20 dernières minutes c'est fausse fin sur fausse fin, et on assiste à un carnage de la part de Stone qui vise à tuer Gecko symboliquement. Ah et au fait viens on se retrouve tous et on se fait un bisou et on se pardonne ?
C’est difficile de faire une suite à un film pareil. Bon, il l’a quand même fait, et ça commence bien. Gordon Gekko sort de prison. Le monde ne l’a pas attendu, car le business n’attend pas. Ça se gâte vite, car tout de suite après, on a le clone de Bud Fox de Wall Street 1, qui s’amène, réincarné en un jeune trader le talentueux Shia LaBoeuf, (il a un nom à coucher dehors, quand même !), et on se demande si il n’essaie pas de nous faire du réchauffé. Le même film, Wall Street 1, qui ressemble à une suite qui n’en ait pas une, Wall Street 2. Et je ne sais pas si c’était une bonne idée de faire revenir Gekko, qui avait tout dit dans le film précédent, mais sans lui, sans Michael Douglas dans le rôle titre, je pense qu’il n’aurait jamais pût financer le film, Oliver, donc il était bien obligé. C’est visuellement beau, très clinquant, avec pleins d’effets, des surimpressions, images de synthèse, des écrans séparés, des dialogues fait sur mesure, on en a plein la vue, c’est séduisant comme une pub pour une voiture de luxe. Et le fait que Gekko cherche à retrouver l’affection de sa fille, nous fait chuter brutalement dans le mélo, je t’aime moi non plus, Où t’es, papa, où t’es ? Ça n’a rien à faire là, on est à Wall Street pas à Nothing Hill ! Le scénario est taillé sur mesure pour faire blockbuster, pseudo critique du monde de l’argent, une démonstration de mise en scène, mais il a perdu la force de conviction et les enjeux. Par contre, pour le spectacle de l’argent qui se regarde, dans un écrin de luxe, c’est top. Il me fait l’impression qu’il ne savait plus sur quel pied danser : Faire l’éloge ou la critique du système ? Il fait les deux en même temps. Bizarre.
Une excelle suite au Wall Street de 1987 !!! Oliver Stone nous replonge dans le monde des finances !!! Shia Laboeuf ( La guerre des Stevens, la trilogie Transformers, Des hommes sans loi) est brillant dans son rôle de trader !!! Gordon Gekko, le requin des finances sort de prison pour se racheter !!! Carey Mulligan (Orgueil et Préjugés, Une éducation , Brothers, Drive , Shame, Public Ennemies, Gatsby le Magnifique, Inside Llewyn Davis ) est magnifique dans le rôle de la fille de Gekko !!!
Après le chef d'oeuvre de 87 Oliver Stone nous sert un film décevant... Mais loin d'être le navet tant décrié, faut pas exagéré ! Dans cette suite Stone n'a plus le mordant nécessaire - et ce depuis quelques années déjà, le nouveau millénaire n'a pas l'air de lui aller. Le scénario de ce second opus est beaucoup plus hollywoodien. de romance optimiste - réaliste donc = happy end navrant. A partir d'un thriller financier Stone réalise plus de 20 ans après un comédie dramatique qui tient plus du petit polar sur une vengeance spéculative teintée de mélo familial. Oui c'est bof oui Stone n'est plus le même mais ça reste un film efficace et pas ennuyeux. Et quel plaisir énorme de revoir Gekko et Douglas toujours aussi charismatique.
Le jeu entre les deux acteurs principaux fait l'effet d'une danse et ne nous laisse pas indifférents même quand on ne connaît pas les termes concernant le thème du film.
LA CRISE. Reprendre les reines de Wall Street, c'est foncé tout droit dans le mur. Et c'est au pied du mur... qu'on voit mieux le mur. Oliver Stone n'a plus la gnack. Déjà, il m'avait beaucoup ennuyé avec son World Trade Center. Ici, c'est une nouvelle fois long et ennuyant. En plus avec Jacob le beauf...
Un bon film sur le monde de la finance. Michael Douglas est très convaincant en grand maitre de la bourse et le Shia Labeauf est pas mal non plus. On suit avec interêt l'évolution de leur relation et des stratégies qu'ils mettent en place. Le film est moins percutant que le premier mais se laisse regarder avec plaisir.
Ça n’est pas mauvais mais c’est une déception (comme le premier en fait), Wall Street est un film que j’aurais aimé adorer par l’environnement si particulier du sanctuaire du capitalisme. Il n’arrive pas à atteindre ce qu’a si bien su capter le loup de Wall Street à savoir la folie furieuse des salles de marché, le côté illusion des marchés financiers qui ne sont que poudre aux yeux et où seuls les puissants et les grandes banques sont gagnants. Le premier soucis de ce Wall Street 2 vient du personnage principal joué par Shia LaBoeuf, non que ce dernier joue mal, mais son personnage de trader idéaliste persuadé de la vertu que peut avoir le capitalisme pour l’ensemble de la population est trop peu crédible, de plus l’astuce scénaristique d’en faire le futur gendre de Gordon Gueko (impeccable Michael Douglas) paraît vraiment trop facile. Gueko parlons en, la aussi des choses m’ont déplus quand à son traitement, il aurait put être intéressant de le retrouver lui l’ancien maître de Wall Street dépassé par un univers encore plus requin que dans les années 80, cette piste n’est pas exploité, le fait qu’il reprenne ses marques et s’accommode d’une donne encore plus excentrique et immorale va aussi au film, mais le fait qu’il devienne quelqu’un de presque sympathique ne colle pas au final. En revanche j’ai trouvé des seconds rôles intéressants comme celui de Susan Sarandon qui illustre en lui même la crise des Subprimes, et celui de Josh Brolin en Gueko des années 2000. Bien mise en scène, toujours prenant, Wall Street 2 est loin d’atteindre le potentiel qu’il pouvait laisser penser, mais il reste assez sympa à découvrir.