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Un visiteur
0,5
Publiée le 7 novembre 2010
Je l'ai attendu pendant longtemps... Quelle déception... Un scénario creux (que s'est il réellement passé dans le film???), j'ai attendu pendant 2 heures que le film démarre... Ne parlons pas du jargon abscons
Fabuleux, avec un mickael douglas toujours intéressant dans son rôle, même si il reste affaibli par ses problèmes de santé. Presque on zapperai les passages avec la famille tellement le reste du film devient envahissant et prenant.
Scénario à deux balles et love story de pauvresses. Encore heureux que Shia est un mec doué, parce que sinon le film ne serais même pas digeste. Ceci dit...on peut supporter jusqu'au bout sans faire de crise de nerf, mais en somnolant.
Je n'ai pas regardé ce film jusqu'au bout parce qu'il m'a ennuyé et n'a pas réussi à me réveiller. L'envoûtement est néant et ça traîne un peu. J'aurais pensé le sujet plus passionnant, ou présenté différemment.
Première fois qu’Oliver Stone fait une suite de l’un de ces films et pas des moindres Wall Street, film des années 90 sur l’univers de la finance. Il faut reconnaître que pour l’occasion Stone mets le paquet, on ressort du placard le grand Gordon Gekko qui a passé 8ans derrières les barreaux et qui revient dans le milieu en pleine crise des subprimes. Rajouter à cela quelques acteurs de la nouvelle vague américaine ; Shia LaBeouf, Carey Mulligan, d’autres plus connue Josh Brolin et Susan Sarandon et une réalisation tape à l’œil avec pas mal d’effets. Mais bizarrement ça ne prend pas, et pour cause on reprend les même ficèles que le précédent, le jeune homme plein d’ambition qui se fait avoir par le grand requin de la finance avec une histoire familiale en plus. Bref une déception au vu du premier après ça se regarde, les acteurs sont bons et les situations crédibles.
Stone est tombé dans le panneau des suites , mais là c'est loupé , un scénario creux, des acteurs sans charisme , et des scènes ridicules , notemment l'apparition de Sheen . et une fin baclée
C’est pas un grand film, ce n’est pas une grande comédie, ce n’est pas une grande œuvre sentimentale et ce n’est pas le meilleur film d’Oliver Stone. Il n’y a pas grand-chose ; et apparemment la bourse mondiale, donc l’économie mondiale ; varie selon les rumeurs et les règlements de compte.
La crise des subprimes a permis à Oliver Stone de rescuciter Gordon Gekko plus de vingt ans après le krach de 1987. Si l’argent ne dort jamais, Wall Street semble bien assoupie et Michaël Douglas bien assagi. Il fait plus figure de formateur à l’école de la Bourse que de requin de la finance. Quant à sa fille et son futur gendre, on se demande s’ils ne se sont pas trompés de plateau en allant jouer pour Disney. Difficile d’imaginer ce gamin maniant des centaines de millions de dollars et qui renfloue sa maman étranglée dans sa spéculation immobilière. Un casting mièvre et un scénario difficile à suivre, même pour les initiés (pardon ! les professionnels). On aurait aimé plus de fièvre dans les salles de marché et moins de sentimentalisme familial.
Très interessant, je n'ai pas été déçu à part quelques attentes non traités qui auraient été pas mal comme les subprims (évoquées assez brievement) ou les grands noms de la finance comme Lehmans brothers (pas du tout évoqué).Quelques termes sont cependant à connaitre avant, si vous ne savez pas ce qu'est wall street, c'est meme pas la peine d'aller voir le film.
Oliver Stone garde en lui cette envie de raconter, de ruer dans les brancards d'un paysage politique et économique parfois désespérant. Wall Street, l'argent ne dort jamais, n'a rien d'original, mais Stone sait manier la caméra et le verbe. La scène du discours de Michael Douglas devant un parterre d'étudiants, suffit à le rappeler. Les plans de la cité agité sont également de toute beauté. D'autres bonnes idées comme le passage de Charlie Sheen. Apres la romance est un peu maladroite mais aide a s'attacher aux personnages. Un bon film qui tente de denoncer (Stone ne se refait pas, et apres tout, tant mieux) la cupidité et le cynisme si bien installé maintenant