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tixou0
700 abonnés
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2,5
Publiée le 1 octobre 2010
Le méchant (mais flamboyant) Gordon Gekko, après une (longue) parenthèse carcérale pour cause de criminalité en col blanc semble s'être acheté une conduite : il s'est fait écrivain et n'est plus partie prenante à Wall Street. Mais l'enfant qui lui reste, Winnie, vit en couple avec Jacob, un jeune et ambitieux.... trader ( au crédit duquel on doit cependant remarquer que s'il veut faire fortune, c'est dans la nouvelle "bulle" verte). De là à y voir une opportunité inespérée pour un retour aux affaires.... Le "gambler" invétéré va mettre au point une stratégie retorse sur fond de crise financière majuscule, en déplaçant avec jubilation ses pions, au premier rang desquels se trouvent Jacob et Winnie dans la position de Candide. Oliver Stone signe là une réalisation sans génie certes, mais plaisante, sur un scénario que d'aucuns qualifient volontiers de noms d'oiseaux, à mon avis avec une sévérité excessive - pas de révélations magistrales sur la débâcle de 2007/2008 certes, mais une histoire qui se tient (ce n'est pas si mal !). Bémol : une fin "morale" un peu convenue, point d'orgue de certaines facilités dans l'intrigue. N'ayant pas vu (à ma grande confusion) le premier "Wall Street", je ne peux me risquer à faire des comparaisons. En lui-même, ce "2" est distrayant, à défaut d'être original ou même didactique. Il est agréable de retrouver Michael Douglas dans un rôle qui lui va comme un gant, toujours puissamment présent à l'image. Josh Brolin en nouveau "méchant" et Frank Langella en digne victime du précédent méritent aussi d'être loués pour leur prestation. En revanche, le jeune couple Jacob/Winnie (LaBeouf/Mulligan) est plus faible, surtout "Winnie".
Le dernier Oliver Stone en date, comme à son habitude beaucoup de parlotte. Mais une parlotte bien gérer, le films ne contient aucune scènes d'action, seulement une leçon de morale sur la cupidité et ce qu'elle peut faire faire à l'homme. Une critiques du modèle américain, qui peut s'appliquer à chacun de nous. Un film à voir une fois, pour ce rendre compte par qui est vraiment dirigé le monde.
Décevant si ce n'est plus, une morale à l'eau de rose grossièrement présentée, une histoire secondaire sur l'importance des valeurs familiales mièvre à pleurer et un réalisateur qui se sent obligé de faire des effets à 2 balles pour montrer qu'il est "in". Une suite casse gueule qui ne rappelle en rien le premier opus réussi quant à lui. Mais quelle pauvreté dans le scénario avec des situations absurdes et ridicules (la course de motos !!!), une vulgarisation scolaire de la finance pour monsieur tout le monde, et des personnages secondaires assez peu mis en valeur malgré le talent de leurs interprètes qui évitent le zéro pointé. A noter la présence sympa d'Eli Wallach et le petit clin d'œil au "bon, la brute et le truand" avec la sonnerie de portable.
Difficile de faire mieux que le premier film WALL STREET sorti en 1987, qui reste à ce jour une des références dans le genre. Néanmoins l'idée de sortir une suite 23 ans plus tard était judicieuse car en effet si notre époque actuelle est devenue plus moderne le monde financier de Wall Street lui n'a pas vraiment changé: il reste toujours aussi implacable et regorge de jeunes loups ambitieux aux crocs acérés. Shia LaBeouf en est l'exemple frappant en éléve doué et fasciné par son mentor de beau père Gordon Gekko. Bien entendu on retrouve certaines ficelles du métier, les coups bas et les désillusions qui ont fait le succès du premier opus sans pour autant en avoir la violence et le panache mais dans WALL STREET 2: L'argent ne dort jamais, c'est un pamphlet sur le monde de la finance qui est dépeint, certains pourront y voir une métaphore scandale Madoff / Gordon Gekko, mais WALL STREET 2 c'est surtout une remise en question totale sur les valeurs fondamentales de la vie: la famille et l'amour. J'ai autant adhéré à ce volet qu'au précédent.
Une suite pachydermique, moralisatrice et un brin opportuniste, loin de la hargne de l'original, qui fait en plus l'erreur de délaisser le personnage culte de Michael Douglas pour un Shia LaBeouf pour le moins fade.
J'y allais à reculonsavais tord! On passe un exellent moment, seul reproche la fin qui est un peu trop jolie à mn goût! Shia Labaouf remonte dans mon estime quand Michael Douglas il a toujours autant classe!
Plus facile que le premier, plus abordable aussi et ce entre autre dû aux relations père/fille et mari/femme qui apportent une touche émotion (féminine ?) pas négligeable.
Que dire, une suite par indispensable , on regarde le film avec intention pas aussi bon que le premier mais quel plaisir de revoir Michael Douglas. Petit cameo pour charlie Sheen qui vient faire une petite apparition. Dommage que le film ne soit pas aussi engage contre cette argent facile, une réalisation loin d'etre me meilleur de stone.
1987 puis 2008, Oliver Stone nous offre un Wall Street à chaque tsunami boursier. Espérons qu'il doive attendre longtemps avant de commettre un troisième volet. Cela dit, on se lèche les babines en retrouvant cette vieille canaille de la haute finance qu'est Michael Douglas alias Gordon Gekko. Son numéro d'acteur reste le principal atout du film, qui par ailleurs s'enlise entre une description sans originalité de ce monde de requins avides, et une romance pataude et convenue. Un tout petit Oliver Stone qui reste malgré tout un agréable divertissement.
Y a un moment où faut arrêter de nous prendre pour des boubourses. A force de nous embrouiller dans tous les sens avec des explications on ne peut plus absconses, Oliver Stone semble finir par se perdre lui-même (jusqu'à citer la fameuse crise des Tulipes pour à peu près n'importe quoi). Douglas fondu, Lebouf tête à claque, l'amourette et les twists à deux actions font quand même un peu cheap pour un blockbuster en forme de bulle internet dont on ne sait même pas quoi retenir. Ah si: les excès du système financier, c'est mal, mais on s'en serait un peu douté. Enfin bon, c'est pas comme si Stone nous avait déjà sorti des trucs aussi génialement originaux et palpitants que le courage des pompiers ou les méfaits des méchants média manipulateurs.
Fan du premier opus, j'avais hâte de voir le second. A la lecture des rudes critiques de nombreux spectateurs, j'étais néanmoins un peu froid. Mais, finalement, je n'ai pas été déçu. Je ne me suis pas ennuyé. Le scénario est crédible. Les acteurs sont bons. Bref, je conseille ce film aux lecteurs de ces lignes...
Gordon Gekko, sorti de prison, est de retour. Et l'ancien requin de la finance semble s'être assagi, témoignant l'envie de renouer avec sa fille qui sort avec le jeune Jacob Moore, jeune trader avec une certaine éthique, loin de le faire ressembler à Gekko ou même à Bud Fox. Moore et Gekko apprennent donc à se connaître alors qu'une crise financière vient secouer Wall Street et que Moore a une vengeance personnelle à accomplir... Première suite que réalise Oliver Stone, renouant alors avec l'un de ses personnages cultes, "Wall Street : l'argent ne dort jamais" est plus proche du drame familial que du thriller et la critique acerbe qui faisait le sel de "Wall Street" semble s'être évaporée au profit d'une certaine humanisation. Certes, Stone pointe du doigt tout ce qui fait tourner les rouages de la finances américaine à grands coups de magouilles, de tirs dans les pattes et de manipulations mais alors que le premier film était prophétique, celui-ci ne nous apprend pas grand chose de nouveau et le cinéaste assure le minimum syndical niveau réalisation, calmant son hystérie pour quelque chose de plus posé. Même s'il est assez faible en terme de dramaturgie et qu'on attendait mieux de toutes les intrigues à moitié tissées dans le scénario, le film reste suffisamment divertissant pour que l'on s'y attache, notamment parce que Michael Douglas n'a rien perdu de sa niaque en Gordon Gekko, que les seconds rôles sont assez réussis (Josh Brolin, Frank Langella et même Eli Wallach) et que Shia LaBeouf s'en sort plutôt bien dans le rôle principal.