Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l'épisode de Demain nous appartient diffusé demain soir sur TF1 ! Si vous ne voulez rien savoir, passez votre chemin !!
Mardi 22 janvier dans Demain nous appartient...
La police sur la piste d'une meurtrière
Alors que Sylvain Moreno est en train de réparer sa panne de chauffage, Sandra Meyer tente de lui injecter quelque chose à l'aide d'une seringue. Mais Sylvain se retourne au même moment et fait tomber la seringue par terre. Sandra lui fait alors croire qu'il s'agissait de son traitement et s'apprête à aller chercher une autre seringue lorsque Sylvain lui annonce qu'il lui manque le bon fusible pour réparer la panne. Il repassera donc plus tard dans la journée. En parallèle, Karim et Lucie interrogent Fred qui assure n'y être pour rien dans la vidéo et la caméra dissimulée sur la veste de Lucie. Une perquisition au domicile de l'entraîneur de boxe vient d'ailleurs confirmer sa version puisque son ordinateur n'a servi ni à envoyer la vidéo ni à configurer le mini dispositif d'enregistrement. Lucie tente alors de s'excuser mais Fred a juste l'impression qu'elle s'est servie de lui et lui demande de rester loin de lui.
Plus tard, une lettre d'un certain José Alvez adressée à Véry arrive au commissariat. Alvez dit vouloir venger Véry et continuer son oeuvre et assure que deux autres meurtres vont bientôt se produire. La police découvre qu'il a écrit de nombreuses lettres à Very en prison et que si les premières ont été envoyées de Guyane, celles des huit derniers mois ont été postées à Sète. De plus, les analyses graphologiques montrent qu'il s'agit probablement d'une femme. Lucie confronte alors Marc, qui aurait dû se rendre compte du caractère obsessionnel, voire amoureux, de ces lettres, mais le tueur aux alliances lui répond qu'il les a à peine lues car il n'attendait qu'une seule lettre : la sienne, qui n'est jamais venue. La jeune flic se rend ensuite à la salle de sport et avoue à Fred qu'elle s'est bien servie de lui pour oublier Véry. Mais ça a été plus fort qu'elle, elle est retombée dans ses bras, et elle espère qu'il pourra lui pardonner un jour. Enfin, en début de soirée, Sylvain Moreno revient chez Sandra Meyer, qui a caché un pistolet dans son canapé et va pouvoir mener à bien son plan.
Laurence essaye de présenter ses excuses à Alex
Pour le dernier jour de Lucas à Sète, Laurence a prévu de déjeuner avec ses enfants au Spoon et propose à Sandrine de se joindre à eux, mais cette dernière décline, prétextant à nouveau avoir trop de boulot. Une fois les enfants partis, Laurence offre un cadeau à Sandrine pour la remercier de s'être occupée d'eux en son absence mais son ex n'en veut pas et lui rappelle que tout est fini entre elles. Plus tard, au lycée, la journée de Sandrine s'illumine pourtant lorsque Morgane, l'infirmière scolaire, lui fait un petit numéro de drague qui la déstabilise un peu mais semble aussi lui faire plaisir. Au Spoon, Alex vient apporter une commande à Tristan et aperçoit Laurence en train de manger avec Lucas et Arthur. Laurence se lève et tente de lui présenter ses excuses mais Alex s'en va. L'ex-juge revient à la charge au mas ostréicole mais Alex n'a que faire de ses excuses. Elle explique avoir perdu pied une fois qu'elle a maquillé le meurtre de Lola, mais Alex refuse de l'écouter et lui dit qu'il ne veut plus jamais la voir.
Victoire n'en peut plus d'Amanda et le fait savoir
Victoire de son côté, n'en peut plus d'entendre Amanda crier durant ses ébats avec Georges. Et le côté sans gêne de la jeune femme, qui vient lui prendre ses céréales et son lait pendant qu'elle petit-déjeune, n'arrange rien. Alors Victoire en parle à Georges qui lui promet de parler à Amanda. Il ne tarde d'ailleurs pas à s'exécuter car, à l'hôpital, Amanda avoue à sa collègue qu'elle aurait préféré qu'elle lui dise les choses en face plutôt que de passer par Georges. Mais les choses prennent un tournant inattendu pour Victoire lorsque, en rentrant à la coloc en fin de journée, elle découvre que Georges a décidé d'aller dormir chez Amanda pour ne plus la déranger.