Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur les épisodes d'Un Si Grand Soleil diffusés cette semaine sur France 2 !
Gaëlle dans le collimateur de Manu
Jo avoue à Manu soupçonner sa collègue, Gaëlle Lestrac, de lui faire porter le chapeau de la mort d'André Faure. En effet, elle était présente le soir de son arrivée dans la colocation, et l'a vue boire de la Slivovitch, l'alcool utilisé pour l'empoisonner et que Jo était la seule à boire. Mais elle peine à trouver un mobile... Peu convaincu, Manu monte un dossier à charge contre la journaliste. Gaëlle, elle, toujours mis en examen par l'IGPN après ses petits arrangements pour faire innocenter Sofia, fait profil bas. Enric tente d'aider Jo à trouver des preuves contre la brigadière : il fait le lien entre des articles que Jo avait écrit sur de la corruption au sein de la BAC dans le 93... Or Gaëlle travaillait aux stups au même moment là-bas. De son côté, Manu tente de vérifier les accusations de JO et cherche à savoir pourquoi Gaëlle est descendue à Montpellier. Il apprend par son ancien supérieur que ce n'était pas lié à sa rupture avec son ex-conjoint, contrairement à ce qu'elle prétend... Davia, ayant entendu les soupçons portés sur Gaëlle, finit par craquer et avoue à la petite amie de son frère ce dont on l'accuse. Alexandre s'emporte face à l'attitude instransigeante de Manu vis-à-vis de sa petite-amie. Mais Manu commence à voir Gaëlle sous son vrai visage, alors qu'elle tente maladroitement de le séduire pour qu'il cesse de la suspecter en permanence. Manu met en garde son collègue : il se fait manipuler. En salle d'interrogatoire, Manu demande à Jo de lui donner le contact de son fournisseur pour la Slivovitch, un alcool qui ne se trouve qu'au marché noir. En interrogeant le fournisseur, il apprend que Gaëlle est bien venu se procurer une bouteille trois semaines plus tôt... Acculée par ces preuves, Gaëlle s'inflige une blessure dans le bureau de Manu pour le discréditer, et retarder son enquête. Désormais, c'est sa parole contre la sienne...
Gary, serial gaffeur ou génie ?
Chez L Cosmétiques, la visite de la cliente américaine est un échec. Julien ne sait plus quoi faire pour éviter que la société ne retombe entre les mains d'OCI. Mais Gary est sur le coup... Il monte un plan de toutes pièces pour retenir la cliente à Montpellier et l'accueillir "généreusement" dans l'appartement pittoresque de sa mère. Mais lorsque l'américaine comprend qu'il lui a tendu un guet-apens, elle le menace d'un procès, lui, sa mère et L Cosmétiques ! Mais sur le trajet qui la reconduit à l'aéroport, elle révèle à Gary qu'elle bluffait pour leur faire peur, et veut volontiers connaître l'histoire de la crème après-solaire, et son secret de fabrication. Pour elle, Maryline serait l'égérie parfaite de la marque - elle est si authentique ! Convaincu d'avoir réussi son coup, Gary revient au bureau en s'attendant à être couronné de lauriers, mais il se fait licencier par Julien, excédé par ses frasques et ses absences répétées. Quelques heures après, Julien reçoit un bon de commande impressionnant de la cliente américaine, et un mail de remerciements à l'attention de Gary...
A la colocation, Bilal apprend que Simon s'apprête à repartir à Paris. Il l'interpelle sur le quai de la gare et lui demande de rester à Montpellier car il tient à lui. Tous deux se rapprochent. Simon s'interroge sur le fait que Bilal ne veuille pas révéler son homosexualité à ses proches. Pour Bilal, c'est trop tôt; il a besoin de temps. Mais alors qu'il prend le thé avec sa famille en faisant passer Simon pour un ami, sa mère lui raconte la disparition de leur père, enlevé par le GIA en Algérie dans les années 1990. Elle est touchée par la sympathie de Simon.
Théo innocente Dylan
Inès doit témoigner contre Dylan lors de son jugement pour l'agression de Théo. Tous leurs amis du lycée sont en ébullition : Manon tente de la dissuader de faire un témoignage à charge pour ne pas briser l'avenir de Dylan, tandis que Léa lui conseille de dire la vérité. Théo, lui, reste silencieux. Le jour du procès, le témoignage d'Inès sans équivoque fait sortir de sa réserve le père de Dylan, qui accuse tout l'auditoire de se liguer contre un fils de prolétaire. Mais contre toute attente, Théo déclare avoir provoqué Dylan le premier, ce qui allège considérablement son cas devant le juge. Il écope de trois mois de prison avec sursis. Mais Dylan ne montre pas vraiment de gratitude envers Théo, convaincu qu'il se donne le beau rôle pour impressionner Inès... Manon, elle, pense que la voie est désormais libre pour sortir avec Dylan.