Blood Father de Jean-François Richet
Avec Mel Gibson, Erin Moriarty, Diego Luna...
Le saviez-vous ? Blood Father a été tourné autour de la ville d'Albuquerque au Nouveau Mexique (cadre spatial de la série à succès Breaking Bad). Jean-François Richet confie avoir en tête, au moment du tournage, l'oeuvre de John Ford. "Plus d’une fois, quand je tenais la caméra, j’avais en mémoire le principe « 1/3 de terre, 2/3 de ciel, l’homme et Dieu omniprésent »."
Mechanic Résurrection de Dennis Gansel
Avec Jason Statham, Jessica Alba, Tommy Lee Jones...
Le saviez-vous ? Jason Statham a réalisé lui-même la plupart de ses cascades. Une habitude pour ce comédien qui joue dans des films d'action depuis ses débuts et qui possède pas mal d'expérience en la matière puisqu'il pratique depuis longtemps plusieurs sortes d'arts martiaux et de la gymnastique (sans compter que, pendant plus de dix ans, il a fait partie de l'équipe de plongeon de Grande-Bretagne).
Avec Germán Alcarazu, Adil Koukouh, Joseba Ugalde...
Le saviez-vous ? Dans un souci d'authenticité, Mikel Rueda a choisi de jeunes acteurs non-professionnels. Pour les trouver, le cinéaste a interviewé plus de 4 500 jeunes dans toute l’Espagne. Il se rappelle : "Il nous fallait trouver ce regard et cette sensibilité dont nous avions besoin pour le film. De plus, à cet âge les jeunes sont en pleine construction identitaire, ils ne savent pas qui ils sont vraiment. Il a donc fallu envisager la difficulté de proposer le rôle d’un gay à ces jeunes, car cela n’est pas forcément facile à assumer à leur âge, même si ce n’est que pour un rôle. Seul un jeune avec une certaine maturité pouvait comprendre ce dont j’avais besoin. Et nous sommes tombés sur Germán (Rafa) et Adil (Ibrahim). Reste évidemment que ceux-ci ne sont pas acteurs et n’en ont pas la technique, ils ne savent pas mentir."
Un petit boulot de Pascal Chaumeil
Avec Romain Duris, Michel Blanc, Alice Belaïdi...
Le saviez-vous ? Cinq ans après L'Arnacoeur, Romain Duris retrouve le regretté Pascal Chaumeil qui signe pour l’occasion son quatrième long métrage. Le metteur en scène a tout de suite pensé à l’acteur pour jouer le rôle principal d'Un petit boulot : "Son énergie physique et la tension permanente qu’il amène dans le cadre aimantent la caméra. Et puis Romain possède un incroyable sens comique, une sincérité et un mystère qui convenaient à Jacques : on ne le cerne jamais complètement. Or, Jacques devait, jusqu’au bout, nous intriguer", confie-t-il.
Avec Oulaya Amamra, Déborah Lukumuena, Kevin Mischel...
Le saviez-vous ? Le personnage du dealer devait à l'origine être un homme et non une femme. C'est une vraie rencontre qui a fait changer d'avis Houda Benyamina : "Pendant mes recherches, j’ai rencontré Habiba, une dealeuse, et j’ai découvert que le caïd était une meuf ! Habiba est quelqu’un d’extraordinaire, d’une autorité fascinante, et je me suis beaucoup inspirée d’elle pour Rebecca", se souvient la cinéaste.
Avec Finnegan Oldfield, Vincent Rottiers, Hamza Meziani...
Le saviez-vous ? Avant dêtre rebaptisé Nocturama, le film avait pour titre Paris est une fête. Après les attentats de Paris du 13 novembre 2015, Bonello a préféré revoir sa copie : "Nocturama est le titre d’un album de Nick Cave. J’aimais l’idée de cet hybride entre le latin et le grec qui voudrait dire vision de nuit, je lui ai demandé l’autorisation. Il a accepté, et m’a expliqué qu’en fait le mot désignait dans un zoo la zone créée spécifiquement pour les animaux nocturnes. Ça m’allait très bien. Nocturama renvoie aussi à l’idée de cauchemar", confie le réalisateur.
Le Fils de Jean de Philippe Lioret
Avec Pierre Deladonchamps, Gabriel Arcand, Catherine de Léan...
Le saviez-vous ? C'est le roman Si ce livre pouvait me rapprocher de toi de Jean-Paul Dubois, que Philippe Lioret a lu il y a longtemps, qui lui a fourni l'inspiration nécessaire au Fils de Jean. Après Welcome et Toutes nos envies, le metteur en scène souhaitait faire un long métrage solaire et le livre lui en a inspiré le point de départ, à savoir celui d'un homme qui découvre qu’il a deux frères inconnus et veut les rencontrer. Il confie : "Nous avons pris les droits du livre, mais je ne l’ai pas rouvert ; il n’a été qu’une source d’inspiration, un point de départ, donc. Mais sans lui, il n’y aurait pas de film. Les fondements de son livre sont bien là, mais ce ne sont plus que des mots, comme des mots clés : père, découverte, fratrie, Canada, soeur. L’essentiel en fait."
Avec Parker Sawyers, Tika Sumpter, Vanessa Bell Calloway...
Le saviez-vous ? La voiture que conduit Barack Obama dans le film est une Nissan Circa 1982 jaune, trois portes. Elle a été prêtée par le frère de Robert Teitel, David Teitel, qui travaille sur des tournages à Chicago : "Je lui ai montré la voiture que Barack Obama conduisait et il l’a déniché dans le Kentucky, c’était une nécessité de l’avoir. David Teitel a également ajouté un trou au bas de la carrosserie pour rappeler les origines modestes de Barack Obama", confie Richard Tanne. "Il n’y avait pas d’air conditionné dans la voiture, il faisait très chaud, on a énormément transpiré", ajoute Tika Sumpter.
Olmo et la Mouette de Petra Costa, Lea Glob
Avec Olivia Corsini, Serge Nicolaï, Arman Saribekyan...
Le saviez-vous ? Tim Robbins est producteur exécutif sur Olmo et la Mouette. Le célèbre acteur et réalisateur américain avait beaucoup aimé le précédent film de Petra Costa Elena et, souhaitant le sortir au Etats-Unis, était devenu producteur exécutif dessus. "J’étais déjà en train de travailler sur Olmo et je lui en parlais beaucoup. Il se trouve qu’il a une compagnie de théâtre dont le fonctionnement s’inspire de celui du Théâtre du Soleil. D’ailleurs, il connaissait Serge Nicolaï et Olivia Corsini et c’est ainsi qu’il s’est investi sur ce nouveau projet", confie Petra Costa.
Avec Cydel Gabutero, Peter Millari, Jomar Bisuyo...
Le saviez-vous ? Ce qui intéressait avant tout Kohki Hasei dans Blanka, c'était de donner la parole à un enfant, du fait de son expérience personnelle. "Depuis de nombreuses années, je voyage beaucoup à travers le monde. Surtout là où la pauvreté est le plus grand fléau. Les enfants que j'y rencontre nourrissent mon inspiration et mes espoirs, plus que tout autre chose", confie le réalisateur. "La débrouillardise et l'imagination dont ils font preuve pour affronter leurs vies misérables - avec ce sourire rayonnant - est une source d'énergie incroyable pour ma créativité et ma façon de voir le monde. C'est pourquoi j'ai toujours eu envie de faire un film avec eux".