Lovesick, de quoi ça parle ? Dylan apprend qu'il est atteint de la Chlamydia, une maladie infectieuse qui se transmet sexuellement. Le jeune homme est alors contraint de revoir ses ex-petites amies afin d'éclaircir sa situation...
D’abord diffusée outre-manche sur la Channel 4, Lovesick est arrivée discrètement sur Netflix au début du mois d’août. Cette romcom d’un nouveau genre se veut courte (6 épisodes de 20 minutes seulement), efficace et drôlement addictive. Dans la ligné de You’re The Worst, Casual ou du plus récent Love de Judd Appatow, Lovesick décrypte d’une manière décalée les relations homme/femme. Pourquoi décalée ? Parce qu’elle aborde sans complexe les MST et n’a pas peur d’être crue. D’ailleurs à l’origine, la série s’appelait Scrotal Recall (tout un programme).
Le synopsis de départ n’empêche pas Lovesick d’être très attachante, grâce notamment à son héros principal, Dylan (joué par Johnny Flynn), un mec un peu looser qui aime bien se faire marcher sur les pieds et qui est secrètement amoureux de sa meilleure amie (la jolie Antonia Thomas). Tout l’inverse de son meilleur pote, Luke (Daniel Ings), coureur de jupon invétéré dont la liste de ses conquêtes pourrait s’étaler sur trois bonnes saisons. Car oui dans Lovesick, chacun des épisodes se concentre sur l’une des ex-conquêtes de notre héros (Anna, Cressida, Jane…). On l’observe à chacun des épisodes tenter de contacter ses femmes qui lui ont brisé le cœur et inversement. Mélangeant subtilement passé et présent pour nous narrer les aventures du beau blond, Lovesick sait divertir et fait rire avec son humour britannique et décomplexé.
La saison 2 de Lovesick sera diffusée dès le 17 novembre sur Netflix. La saison 1 est à rattraper sur la plateforme de streaming.