Numéro 1 : Monstres : L'histoire de Lyle et Erik Menendez
L'histoire troublante de Lyle et Erik Menendez, deux frères qui ont été condamnés en 1996 pour le meurtre de leurs parents.
Note spectateurs : 3,8/5
Selon Pablo Laviolette (4,5 sur 5)
"J'ai adoré la série. Que ce soit au niveau de la bande son, la photographie et mais surtout avec ce grand jeu d'acteurs de la part du casting entier (surtout Bardem plus que crédible dans ce rôle et les fils que je découvre). J'ai apprécié l'incertitude laissée quant à ce qui s'est réellement passé au fil de chaque épisode, on a les différentes visions de ce qui aurait pu se passer d'un épisode à l'autre et les scénaristes nous mettent dans la peau des différents partis."
Selon Helenes (4,5 sur 5)
"L’épisode 5 : une seule scène en one shot, 1 personnage en plan fixe racontant les sévices qu’il a endurés durant 33 minutes, une masterclass d’acting ! Rien que pour cette scène, la série vaut la peine d’être regardée, par contre âmes sensibles s’abstenir… cette histoire tirée d’une histoire vraie nous tient en haleine jusqu’au dernier épisode, à voir !"
Selon Cubitus (2,5 sur 5)
"J'ai bien apprécié le début de la série mais ensuite ça s'enlise, ça tire en longueur. Les longs monologues sont interminables et répétitifs. L'affaire devient indigeste, même si elle était déjà très malsaine. Bien moins bien que Dahmer."
Pourquoi ça marche ?
Troisième semaine consécutive à la tête du top 5 pour Monstres, la saison 2 de l'anthologie imaginée par Ryan Murphy et Ian Brennan. Si on sent un essoufflement du nombre de visionnages, la série continue de faire couler beaucoup d'encre, entre la prise de parole d'Erik Menendez, de la famille et du showrunner... Une chose est sûre, Netflix a permis d'offrir aux deux criminels un coup de projecteur bienvenu et qui pourrait leur être favorable.
Numéro 2 : Nobody Wants This
La relation improbable entre une femme au franc-parler et agnostique et un rabbin non conventionnel.
Note spectateurs : 3,8/5
Selon Seb_1109 (5/5) :
"Gros gros coup de cœur. J'ai adoré les personnages, tous très bien dessinés, finalement assez complexes et globalement attachants. L'histoire n'est pas ultra captivante, il faut tout voir d'une traite car ce n'est pas le genre de série qui vous tient en haleine.
Mais c'est tellement frais et tellement sincère dans la démarche. Les acteurs portent ce film-série (car cela aurait dû être un film selon moi). Ils sont frais, ils sont bons, ils sont très convaincants. Bravo pour la distribution ! La mère juive dans son rôle ultra stéréotypé est excellente !"
Selon laurie james (4/5) :
"Oui, c'est vrai ! c'est plein de clichés. Mais l'essentiel est le plaisir que l'on prend au visionnage. La plupart des situations ont beau être convenues, on sourit sans cesse car ce qui fait le sel de cette série, ce sont les personnages.
Le rabbin et sa shiksa sont adorables et leur alchimie parfaite. Les frère/soeur boulets sont très drôles. Les parents sont impossibles comme dans toute bonne comédie. L'histoire ne fait que commencer, on espère vivement une saison 2."
Selon Marika1004 (3/5) :
"Série mignonnette qui se regarde. Assez romantique, bien joué et assez drôle. C'est très cliché et américain. C'est pas transcendant."
Pourquoi ça marche ?
Les abonnés Netflix avaient besoin d'une bonne dose d'humour et d'amour et ils l'ont trouvée grâce à Nobody Wants This. La série a su attirer un large public grâce à son casting d'icones pour les millennials nostalgiques ( Kristen Bell, connue pour Veronica Mars et Gossip Girl, et Adam Brody, connu pour Newport Beach), son intrigue fraîche et moderne et son format rapide à binge-watcher.
Numéro 3 : Heartstopper
Charlie a envie de dire à Nick qu'il l'aime. Nick a lui aussi quelque chose d'important à exprimer à Charlie. La fin des grandes vacances arrive à grands pas, et les amis réalisent que l'année scolaire sera pleine de joies et de défis. Ils se découvrent, explorent leurs relations, organisent des événements et des fêtes, commencent à penser à la fac et comprennent qu'il faut apprendre à s'appuyer sur ses proches quand rien ne se passe comme prévu.
Note spectateurs : 4,3/5
Selon Flo Szaro (5/5) :
"Mais qu'ils sont mignons !!! Cette série est d'utilité publique ! Un hymne contre l'homophobie, la transphobie... mais pour l'amour et le consentement (à chaque fois que ça devient un peu chaud, le/la protagonniste s'assure du consentement de son/sa partenaire !!!).
Je regrette de n'avoir pas eu ce modèle lorsque j'étais plus jeune, pour remplacer ce modèle patriarcal du couple qu'on m'a vendu pendant des années. Hétérosexuelle de bientôt 40 ans, je savoure chaque saison et je les trouve tous adorables."
Selon golum2310 (4/5) :
"Une saison définitivement plus adulte, des sujets plus matures. La série grandit avec son public, mais manque peut-être des scènes poignantes et pleine d'étincelles des débuts."
Selon Gentilbordelais (2/5) :
"Cette 3ème saison démarre sous les mêmes auspices et mêmes tergiversations. L'étonnante diversité pour plaire étonne et l'acceptation naturelle générale de l'entourage pose question véhiculant un message quelque peu faussé à sa cible adolescente.
Naïve et édulcorée, au récit qui tourne beaucoup en rond, la saison se clôture avec ses interrogations, impliquant une suite. Mais, on se demande si finalement la série ne devrait pas s'arrêter là !"
Pourquoi ça marche ?
Heartstopper est l'une des séries pour ados préférées des abonnés de la plateforme pour sa pédagogie, sa bienveillance, son côté feel-good et sa grande diversité dans ses personnages qui permet au public de s'identifier. Après deux saisons plutôt légères, la série adaptée des romans graphiques d'Alice Oseman prend un virage plus adulte et fait passer la vitesse supérieure à la relation entre Charlie (Joe Locke) et Nick (Kit Connor).
Numéro 4 : Un couple parfait
Un mariage somptueux se termine en catastrophe avant même d'avoir commencé quand un corps est découvert dans le port de Nantucket, quelques heures seulement avant la cérémonie. Tous les invités deviennent soudainement suspects.
Note spectateurs : 3,1/5
Selon Oana R (3/5)
"On va dire que cela m'a plus dans l'ensemble, j'ai passé un bon moment, il ne faut pas la prendre au sérieux, c'est juste une série pour s'évader sans penser à rien, les acteurs sont bons, le casting est sympa, seule "intruse" Isabelle Adjani qui fait figuration, elle n'est pas à sa place, je ne vois vraiment pas ce qu'elle fait là, mais bon....ce n'est pas un drame non plus, bref je ne me suis pas ennuyée"
Selon Marika1004 (2,5/5)
"Série sympathique en mode Agatha Christie chez les riches en huis clos. Ça se regarde. Mais rien d'extraordinaire. Le jeu des comédiens et les discours sont assez peu élaborés."
Selon odile304 (3/5)
"3* 'pas mal', sans plus. Il manque du sel et du poivre à cette série qui du coup est trop longue et sans saveur. Nicole Kidman et Isabelle Adjani sont tellement botoxées que c'est très désagréable de les regarder, elles n'ont aucune expression dans leur visages, un comble pour des actrices! Dommage."
Pourquoi ça marche ?
Il faut croire que Nicole Kidman est devenue la nouvelle cash machine de Netflix. Avec pratiquement aucune promotion, la série maintient sa place dans le top 5 de la plateforme depuis des semaines. On ne peut pas attribuer tous les mérites de ce succès à Nicole Kidman. Un couple parfait, sans être follement originale, bénéficie d'une intrigue policière efficace. Suffisamment en tout cas pour qu'on ait envie à chaque fois de voir l'épisode suivant.
Numéro 4 : The Amazing Digital Circus
Après avoir mis un casque de réalité virtuelle, une humaine se retrouve piégée dans un univers numérique sur le thème du cirque, où elle prend l'avatar d'une bouffonne et rencontre cinq autres personnes qui partagent sa situation, incapables de se souvenir de leurs noms ni des détails de leur passé. La jeune femme reçoit le nouveau nom de « Pomni » par le chef du cirque, une intelligence artificielle nommée Caine, qui a l’apparence d’un dentier, qui contrôle le monde numérique et leur propose des aventures pour les empêcher de devenir fous. Les six luttent désormais pour garder la raison dans le monde numérique, tandis que Pomni cherche une sortie insaisissable.
Note spectateurs : 3,1/5
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Pourquoi ça marche ?
Initialement une websérie, The Amazing Digital Circus semble être devenu un véritable phénomène sur les réseaux lors de la publication du premier épisode sur YouTube en octobre 2023. Son histoire originale et son design insolite semblent interpeler le public. Surtout, c'est sa thématique sur l'abîme existentiel que peut représenter le monde numérique pour la génération Z qui fait mouche. Avec seulement 3 épisodes de 25mn chacun environ, The Amazing Digital Circus réalise une belle performance en intégrant ce top.