Dans les années 1990, ils étaient les rois de la comédie romantique et leur association dans Coup de foudre à Notting Hill a fait des étincelles. Nous parlons, bien sûr, de Julia Roberts et Hugh Grant, qui, dans ce film de Roger Michell, incarnent respectivement une vedette d'Hollywood et un libraire, qui vont tomber éperdument amoureux.
A l'occasion de la diffusion du long-métrage hier sur TMC, nous vous proposons de jouer avec la carrière de sa star féminine qui ne s'est pas illustrée que dans des romances et qui a même reçu en 2001 un Oscar de la Meilleure actrice. Mais avant de tenter de reconnaître 11 films de Julia Roberts (qui a un lien étonnant avec Martin Luther King), voici quelques anecdotes sur l'œuvre qui a rendu le quartier anglais de Notting Hill populaire dans le monde entier.
Le saviez-vous ?
Richard Curtis, spécialiste de la comédie romantique
Né en Nouvelle-Zélande en 1956, Richard Curtis a commencé à écrire des textes comiques après avoir quitté l'université d'Oxford en 1978. C'est à l'université qu'il rencontre Rowan Atkinson (alias Mr Bean) avec qui il a continué à travailler à la télévision, une fois ses études achevées. Pour le cinéma, il a écrit les scénarios de plusieurs comédies romantiques incontournables comme Quatre mariages et un enterrement, Le Journal de Bridget Jones ou encore Love Actually, toutes avec Hugh Grant au casting !
15 millions de dollars
Lors du dîner, quand le personnage de Julia Roberts dévoile le salaire qu'elle a touché pour jouer dans son dernier film, il s'agit en fait du vrai cachet qu'a perçu l'actrice pour incarner Anna Scott dans Coup de foudre à Notting Hill : 15 millions de dollars. A cette époque, la fin des années 1990, l'actrice était la mieux payée du monde et enchaînait les cartons comme les comédies romantiques Le Mariage de mon meilleur ami, Coup de foudre à Notting Hill ou encore Just married (ou presque).
Mike Newell fait le mauvais choix
Le cinéaste de Quatre mariages et un enterrement, Mike Newell, avait été approché pour réaliser Coup de foudre à Notting Hill mais a préféré faire Les Aiguilleurs. Le cinéaste a reconnu par la suite avoir mal calculé son coup d'un point de vue commercial sans pour autant regretter son choix.