Après les remarqués Martha Marcy May Marlene (2011) et The Nest (2021), le réalisateur Sean Durkin revient avec Iron Claw. Sorti cette semaine, ce biopic se centrant sur une famille de catcheurs au destin tragique a été bien reçu par la presse. La moyenne de ce film porté par un Zac Efron tout en muscles est de 4 sur 5, et ce pour 21 supports.
Iron Claw est non seulement le meilleur long métrage de la semaine, devant May December, La Grâce ou encore Le Dernier des Juifs, mais aussi de ce début d'année 2024, devant Priscilla et Pauvres créatures.
De quoi ça parle ?
Les inséparables frères Von Erich ont marqué l’histoire du catch professionnel du début des années 80. Entrainés de main de fer par un père tyrannique, ils vont devoir se battre sur le ring et dans leur vie. Entre triomphes et tragédies, cette nouvelle pépite produite par A24 est inspirée de leur propre histoire.
Ce qu'en pense la presse :
Selon CinemaTeaser :
"The Iron Claw capte comme peu de films le déchirement qu'est la perte d'un être cher et le trou béant que forme son absence." (Aurélien Allin) 5/5
Selon Voici :
"Du grand cinéma américain." (La Rédaction) 5/5
Selon Le Journal du Dimanche :
"Avec Sean Durkin aux manettes, le récit privilégie les tourments physiques et psychologiques endurés par ces jeunes hommes idéalistes, évoquant leur courage et leur résilience face à l'adversité, tout en gratifiant le public de séquences sur le ring très spectaculaires." (Stéphanie Belpêche) 4/5
Selon Les Echos :
"A travers l'histoire vraie d'une famille de catcheurs, Sean Durkin signe une saga texane et une réflexion sur la force du destin. Des muscles, de la sueur… et du coeur." (Adrien Gombeaud) 4/5
Selon Les Inrockuptibles :
"Outre l’excellente reconstitution des scènes de catch, la grande qualité du troisième film de Sean Durkin, dont on a compris que le thème de prédilection était les mécanismes d’emprise masculine, est de raconter les dégâts de cette paternité toxique sans en grossir le trait, en en laissant décanter les vapeurs à mesure que le film avance." (Bruno Deruisseau) 4/5
Selon Ecran Large :
"Iron Claw évite les écueils du biopic en présentant son histoire comme une prophétie, une tragédie annoncée et patiemment orchestrée, tout en subjuguant par sa mise en scène très expressive et les nombreuses nuances de ses personnages meurtris." (Déborah Lechner) 4/5
Selon Le Dauphiné Libéré :
"Porté par un très bon casting (Maura Tierney, Jeremy Allen White…), Iron Claw réussit à monter quel est le combat le plus important à mener dans une vie." (Thibault Liessi) 4/5
Selon Le Figaro :
"Zac Efron, bodybuildé comme ça n’est pas permis, mène la danse avec un regard d’une tristesse à fendre les banquises. (...) Sa virilité en bandoulière, cet acteur jadis anodin rayonne dans cette chronique qui a l’air de surgir du meilleur cinéma indépendant des années 1970." (Eric Neuhoff) 4/5
Selon Télérama :
"Un film inégal mais pertinent sur les dégâts du virilisme." (Joseph Boinay) 3/5
Selon Critikat.com :
"Porté par des acteurs remarquables, Iron Claw est toutefois entravé par une mise en scène qui pêche par sa retenue, au point de frôler la platitude." (Damien Bonelli) 2/5