Dès l’âge de 7 ans, Jim Carrey se découvre un talent pour la comédie, s’entraînant notamment à faire des grimaces devant un miroir. Débarquant à Los Angeles douze ans plus tard, il commence par être humoriste, avant de se tourner vers la télévision.
En 1983, la comédie Copper Mountain exploite déjà son incroyable plasticité, mais ce n’est que 11 ans plus tard que sa carrière cinématographique prend un tournant décisif, grâce à The Mask.
Dans la peau de Stanley Ipkiss, timide et modeste employé de banque se transformant en personnage loufoque et sûr de lui quand il porte un masque aux pouvoirs surnaturels, Jim Carrey démontre toute l’étendue de son talent.
De sa capacité à improviser (comme dans la scène où il fume, déguisé en Français, ou dans celle où il embrasse une vieille femme après avoir chanté Cuban Pete Song), à son étonnante élasticité physique (qui a d’ailleurs permis à l’équipe d’économiser sur les trucages).
Plus déjanté et désopilant que jamais, face à une Cameron Diaz pétillante, également débutante dans le métier, Jim Carrey est ainsi révélé au grand public. Nommé au Golden Globe du Meilleur acteur dans une comédie pour sa performance, il enchaînera avec Dumb and Dumber, puis Ace Ventura, détective chiens et chats ; deux autres films mettant en valeur son comique extrêmement visuel.
The Mask de Chuck Russell avec Jim Carrey, Cameron Diaz, Peter Greene...
Ce soir sur TFX à 21h05