Comme le rapporte Variety, Gerard Butler, invité du Drew Barrymore Show, est revenu sur la fois où il a entaillé le visage de sa partenaire de jeu, Hilary Swank, avec... des pinces de bretelles ! P.S. I Love You, réalisé par Richard LaGravenese et basé sur le roman du même nom de 2004, met en vedette cette dernière dans le rôle d’une veuve qui reçoit des lettres de son défunt mari (Gerard Butler) écrites avant sa mort qui l’encouragent à passer à autre chose et à partir à l’aventure. Gerard Butler a dès lors déclaré qu’une scène du film avait “presque tué” l’actrice.
Vous voyez la scène où je danse et je porte des bretelles ? J’ai tourné cette scène pendant un jour et demi et j’ai dû danser comme un idiot avec les bretelles. À un moment donné, la pince, qui était une pince crocodile, est restée coincée dans la télévision alors que je rampais vers [Hilary], et elle est juste devant moi, riant hystériquement. Les caméramans avaient ces visières en plastique pour se protéger de [cette pince] crocodile parce que je devais la faire cliqueter, et ça devait [voler] au-delà de mon visage. Je rampe vers le lit, ça coince, ça se dégage, vole au-dessus de ma tête, la frappe à la tête, lui entaille la tête.
L’acteur continue : “Je l’ai coupée. On pouvait même voir les dents du [clip crocodile]. Elle a dû être transportée à l’hôpital. Je suis juste assis là dans mon caleçon, avec mes bottes et une paire de chaussettes, et j’ai juste commencé à pleurer.”
La scène en question est à retrouver ci-dessous :
Hilary Swank s’est bien évidemment remise de l’accident et le tournage s’est ensuite poursuivi. P.S. I Love You a ainsi vu le jour en décembre 2007 et a rencontré un beau succès au box-office, rapportant 156 millions de dollars dans le monde contre un budget de production de 30 millions de dollars.
Mais Gerard Butler ne blesse pas que les autres : il a lui-même été sa propre victime. En effet, l’acteur a récemment raconté à Seth Meyers comment il s’était brûlé sans le savoir sur le tournage de son dernier film d’action, Mayday.
“Peu importe ce que je fais, j’arrive à me faire mal. Je mets ma main entre ces deux roues, en prétendant en quelque sorte que je sais ce que je fais. Chaque fois que je sors mes mains, elles sont couvertes de sang et de liquide vert, n’est-ce pas ? Et je me dis : ‘Je ne sais pas ce qu’est ce liquide vert.’ Je me frotte le visage et, tout à coup, c’est dans ma gorge. C’est dans ma bouche. C’est dans mon nez. C’est dans mes yeux. Ça me brûle le visage, et je veux dire ça brûle vraiment. Il s’avère qu’il s’agit essentiellement d’acide phosphorique.”
Mayday est actuellement à découvrir dans votre salle de cinéma la plus proche.
