Isabelle, championne emblématique de Tout le monde veut prendre sa place, a fait ses débuts dans l'émission avec Jarry, qui animait alors le jeu avant de céder la présentation à Cyril Féraud. Avec son incroyable parcours de 104 victoires et un gain total de 121 700 euros, Isabelle a marqué les esprits. Mais, après une série impressionnante, elle a été éliminée, créant une grande surprise parmi les fidèles téléspectateurs de l'émission.
Le soutien de Jarry après l'élimination
L'animateur Jarry, qui avait quitté l'émission alors qu'Isabelle y brillait encore, a réagi avec émotion à la nouvelle de son élimination. Sur Instagram, il a partagé son admiration pour la championne en écrivant : "J'ai appris aujourd'hui qu'Isabelle la championne de Tout le monde veut prendre sa place a perdu. Elle avait commencé l'aventure avec moi, une personne formidable. Ma Isa, j'espère que tu vas kiffer maintenant et que tu vas t'offrir des milliers de cadeaux avec la somme que tu as remportée. Je te fais des bisous et merci pour ton cœur que je te renvoie." Ces mots reflètent bien la complicité entre l'animateur et la championne, qui ont partagé ensemble les débuts de ce parcours mémorable !
Une fatigue accumulée et des conditions difficiles
Après 107 victoires et un parcours impressionnant, Isabelle a finalement été battue par une nouvelle candidate, Anne, qui a marqué 19 points contre les 10 d’Isabelle lors du défi final. Un dénouement que la championne attribue en partie à l’épuisement accumulé au fil des semaines de tournage. "C’était la toute dernière émission de la session, alors il y avait beaucoup de fatigue, et je n’y étais plus du tout", a-t-elle confié. De plus, elle a révélé être affaiblie par un gros rhume, et n’ayant pu bien se reposer, elle n’était pas au sommet de sa forme pour affronter ce défi. Bien qu’elle ait regretté la défaite, Isabelle a expliqué qu’elle était mentalement prête à ce que son aventure prenne fin. "C'est la seule émission où je n'ai pas pleuré parce que j'étais prête. Ça faisait un petit moment dans ma tête où je me disais : 'Tu peux perdre à n'importe quel moment', donc j’étais préparée." Un parcours qui mérite le respect !