La saison 18 de L’amour est dans le pré n’a pas encore réellement commencé, mais elle fait déjà beaucoup parler. Lors de la conférence de presse de l’édition, organisée la semaine dernière au siège de M6, on a appris que deux des agriculteurs présentés lors des portraits ne participeraient finalement pas au programme : Baptiste, l’éleveur de brebis de la région PACA, a a eu un retour de flamme pour une ancienne compagne et un autre célibataire, dont l’identité n’a pas été dévoilé, est tombé amoureux d’une prétendante venue à la base… pour un autre coeur à prendre. Une situation inédite, et qui a un peu agacée Karine Le Marchand, qui estime que ces candidats, et notamment Baptiste, ont volé la place d’autres célibataires qui avaient vraiment besoin de l’aide de M6.
David ne reçoit aucun courrier après la diffusion de son portrait, une situation incompréhensible pour Karine Le Marchand
Autre agriculteur de la saison 18 dont on ne pourra pas suivre les aventures sentimentales cet été : David. Cet éleveur de bovins de 42 ans n’a reçu aucun courrier à l’issue de la diffusion de son portrait, malgré une relance de la production il y a quelques semaines. Malgré tout, Fremantle et M6 veulent laisser une chance à ce célibataire de rencontrer quelqu’un et il est donc possible de lui écrire jusqu’à la diffusion du bilan de la saison 18, cet hiver.
Mais pour Karine Le Marchand, la situation de David est incompréhensible. L’animatrice a du mal à comprendre pourquoi il n’a reçu aucun courrier “sérieux”. “C'est compliqué de savoir ce qui ne fonctionne pas. Je le trouve très attachant. Il a peut-être fait le mec trop rigolo et sous-estimé sa douleur d'être seul. Mais il est comme ça. Il a toujours le sourire aux lèvres, a analysé l’animatrice en conférence de presse la semaine dernière, comme le rapporte Puremédias. Je ne sais pas ce qui fait qu'on va écrire à l'un plutôt qu'à l'autre, je n'ai pas d'explications. Il y en a qui ont eu trop de courriers. Certains en reçoivent plusieurs centaines. C'est trop”, a-t-elle conclu un brin désabusée.