Matthieu Delormeau n’a pas pour habitude de faire dans la discrétion, et il a, une fois de plus, affiché une célébrité sur le plateau de TPMP People. Samedi 11 février 2023, il revenait sur les propos de Gérard Hernandez, acteur de Scènes de ménages. Ce dernier avait expliqué à Laurent Ruquier dans Les Grosses têtes le 20 janvier 2023 percevoir un faible revenu, que le comédien de 90 ans qualifie d’"aumône". Suite à ces propos, le présentateur de C8 a divulgué en direct le montant de son salaire. Matthieu Delormeau demandait à ses chroniqueurs qu’ils savaient à combien il s’élevait. "Il a eu 8.000 euros, je crois", s’interroge Déborah Tordjman. L’information qui devait être révélée par Jean-Michel Maire a ainsi été confirmée par ce dernier. Un vif débat s’en est suivi : Matthieu Delormeau voulait savoir si les propos de Gérard Hernandez, qui qualifie les 8.000 euros "d’aumône", étaient justifiés.
Un salaire "pas énorme"
La première à avoir prit la parole lors du débat, c’est Isabelle Morini-Bosc. La chroniqueuse a tenu à se faire l’avocate du comédien en prenant sa défense. "C’était une blague", assure-t-elle, précisant que dans Les Grosses têtes, les sujets sont légers et l’émission est supposée faire rire. De son côté également, Sophie Coste, qui a estimé que "ce n’est pas énorme pour une série comme ça [Scènes de ménages, ndlr]". C’est alors que la journaliste a demandé l’avis de Benoît Dubois, qui réalise des tournages pour des émissions de télé-réalité. Lui, s’est offusqué et a avoué être payé "une misère"… Tandis que les langues se délient, Florian Anselme a attaqué Gérard Hernandez, dénonçant une remarque qui n’est "pas démagogique, ce n’est pas drôle". Pour lui, la solution est simple : qu’il quitte son métier s’il n’est pas content.
La fin d’une passion
Si Gérard Hernandez s’est confié sur ses problèmes financiers, c’est avant tout parce que Laurent Ruquier l’a questionné sur sa passion, les courses hippiques. En 2012, dans les pages du Parisien, il révélait avoir recourt l’activité "à l’âge de 5 ou 6 ans". "Un jour, mon père m'a emmené aux courses. L'atmosphère m'a tout de suite plu. Ça sentait bon." Sa situation actuelle n’étant pas favorable, il a dû renoncer, déplorait-il.