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sebou36
69 abonnés
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Critique de la série
5,0
Publiée le 22 janvier 2022
Nous ne cacherons pas notre fascination pour Nicole Kidman, toujours aussi radieuse et complexe. Au dela de l'interprétation ( même Hugh Grant est génial en toutou manipulateur), l'intrigue nous tient les tripes. Une excellente série, bien écrite, bien interprétée et possédant une excellente photographie. Que demander de plus?
Une mini série HBO avec un suspense haletant jusqu'à la dernière minute !! Crée et co-produit par David E. Kelley, réalisé en partie par Susanne Bier avec un casting choc comprenant Nicole Kidman, Hugh Grant, Edgar Ramirez, Donald Sutherland, rien qu'entendre ces noms m'a attisé ma curiosité pour regarder les six épisodes de "The Undoing" et il y a de la qualité dans différents niveaux, le scénario ou l'on se pose beaucoup de questions après le meurtre d'une énigmatique jeune femme, la maitresse du personnage joué par Hugh Grant dont il est le père de l'enfant mais il y a d'autres pistes comme le personnage de Nicole Kidman qui joue la femme de ce dernier qui joue sur le jeu de la psychologie, le fils, le richissime père, la mari de la femme assassiné, le tout médiatisé avec des procès, du suspense etc.. J'ai apprécié cette mini série événement qui tient ses promesses, les comédiens sont remarquables, mention à Hugh Grant dans un role dramatique dont c'est son année après un passage remarqué au cinéma chez Guy Ritchie "The gentlemen". L'ensemble est palpitant a suivre et j'encourage les curieux a y jeté un oeil.
La série est tirée du roman “Les premières impressions” de Jean Hanff Korelitz. Je ne pourrais pas dire si l’adaptation est bien ou non par rapport au livre parce que je ne l’ai pas lu. Tout ce que je peux dire c’est que le casting est très bien choisi. Cela faisait quelques temps que l’on avait pas vu Hugh Grant et je dois dire que le voir dans ce rôle m’a ravi. On ressent son côté humour et on doute clairement de lui. Il joue parfaitement le personnage. Le spectateur a le doute du début à la fin. Nicole Kidman joue une psychologue, mais même elle n’arrive pas tout à fait à cerner le vrai du faux. Leur fils joué par Noah Jupe joue également très bien et Donald Sutherland n’est pas sans reste dans le rôle du beau père riche qui n’aime pas son gendre. Que s’est il passé pour cette femme ? Qui l’a tué ? Est-ce vraiment le mari de Grace ou est-ce quelqu’un d’autre ? Tous les doutes se portent sur lui au début, puis les flash de Grace nous perturbe. Est-ce que elle pourrait être la tueuse surtout que Elena Alves l’avait approché de très près peu de temps avant les faits. Enfin on a même le doute sur le fils. C’est le genre de série qui donne beaucoup de suspens dans les épisodes et surtout les rebondissements sont multiples ce qui permet de perdre encore plus le spectateur. Même les attitudes des acteurs sèment le doute.
En résumé, The Undoing est une excellente série. Le spectateur est baladé sur son avis concernant le tueur et surtout ses motivations. J’ai adoré le casting ++ qui donne une excellente dimension à la série. Elle m’a fait pensé à Défendre Jacob (critique ici) dans le concept. Je ne peux que vous encourager à vous lancer dedans, en plus c’est assez court, ça se regarde très bien.
« The Undoing », thriller juridique décliné sous forme d’une mini-série confirme s’il en était encore besoin le grand savoir-faire des Etats-Unis et d’Hollywood dans ce genre dont les codes sont certes relativement basiques mais guère aisés à manier. Ne pas tomber dans la redondance, savoir maintenir le suspense et le rythme sont parmi les clefs du succès pour éviter au spectateur l’ennui ou l’impression de déjà-vu. A partir d’une nouvelle de Jean Hanff Korelitz parue en 2014 (« You should have knwon »), HBO en confie à l’expérimenté scénariste et producteur David E. Kelley l'adaptation dans l’optique d’une série en six épisodes. La réalisation en sera confiée à la talentueuse Susanne Bier, spécialisée dans les drames psychologiques (« After the wedding » en 2006, « Nos souvenirs brûlés » en 2007, « A second chance » en 2014). Nicole Kidman, Hugh Grant et Donald Sutherland rejoignant le casting, finissent de crédibiliser le projet. Le résultat sera à la hauteur de l’attente suscitée. Dans le Manhattan des classes dirigeantes, Grace (Nicole Kidman) et Jonathan Fraser (Hugh Grant) ont toutes les apparences du couple modèle, alliant réussite sociale et entente conjugale. Tout semble se dérouler pour le mieux malgré une surcharge d'activité du couple qui laisse peu de temps pour l’éducation de leur fils unique. Lui est un oncologue de renom, elle est psychanalyste. La découverte du corps atrocement mutilé d’une jeune artiste (Matilda De Angelis) dans son atelier va venir brutalement bouleverser la vie des deux conjoints. Jonathan a en effet soigné le fils de la jeune femme. Le scénario parfaitement structuré prend son temps pour dévoiler des personnalités beaucoup moins lisses qu’elles n’y paraissent. Le spectateur ravi, découvre après chacun des épisodes que tout ce qu’il tenait pour acquis se trouvera remis en question la fois suivante. Nicole Kidman et Hugh Grant se renvoient la balle avec dextérité et jubilation pour entretenir le trouble sur les sentiments qui unissent leurs personnages. Hugh Grant notamment dont la silhouette alourdie et les traits épaissis lui donnent l’occasion de se débarrasser avec brio de son costume de beau gosse endimanché qui à près de soixante ans ne peut plus lui offrir de perspectives crédibles. Il peut ainsi démontrer que sa palette de jeu est plus large que ce qu’il avait pu montrer jusqu’ici. La caméra inquisitrice de Susanne Bier plonge au plus profond des regards afin d’impliquer le spectateur dans une intrigue qui vaut surtout pour ce que chacun tente de cacher aux autres. New York est de surcroît magnifiquement filmée pour rappeler combien l’univers des puissants peut-être aussi fascinant que désincarné. On notera la présence d’un Donald Sutherland cynique à souhait qui n’est pas pour rien dans l’ambiance générale de cette mini-série de très haute tenue dont l’équilibre narratif (ni trop long ni trop court) est tout-à-fait addictif. Que demander de plus ?
La mini-série ”Undoing” (6 épisodes) est l’adaptation du roman ”Les Premières Impressions” (You Should Have Known”) de l’americaine Jean Hanff Korelitz.
Un couple aisé, Grace et Jonathan Fraser, qui semble avoir tout pour lui va être ”atomisé” par un meurtre sordide, celui de la maitresse de Jonathan Fraser.
Jonathan Fraser (Hugh Grant) est médecin (oncologue). Son épouse, Grace Fraser (Nicole Kidman) est une thérapeute spécialisée dans les relations de couple. Ils ont un fils unique, Henri, qui fréquente l'école d'élite Reardon.
Elle est sur le point de voir publié son livre basé sur ses 15 ans de pratique. Pour elle, dans les relations d'un couple, les premières impressions sont les meilleures et définissent même l'avenir de ce couple. Elle est une praticienne reconnue pour voir les vices des gens et les réparer.
l’ironie de la situation est que son prétendu sixième sens ne fonctionne visiblement pas si bien que ça pour les gens qui sont pourtant les plus proches d’elle.
Les acteurs s’en sortent tous très bien. J’ai beaucoup aimé le jeu de l’avocate de Jonathan Fraser, interprétée par Noma Dumezweni et eu du plaisir à retrouver Sofie Grabol, la ”Sarah Lund” de la série The Killing, qui interprète l’avocate de la partie adverse.
L’intrigue toutefois n’offre rien de bien nouveau..
Pour piquer notre curiosité, chaque fin d’épisode remet en doute ce que nous pouvions croire (ou penser) dans l’épisode précédent...
En effet, on joue au petit ”Columbo” d’un épisode sur l’autre. Ainsi on peut penser, toutes les extrapolations étant possibles, que le ”tueur” est tantôt pourquoi pas elle ? pourquoi pas le fils ? pourquoi pas l’amie ? pourquoi pas le père de Grace ? etc. etc..
Ceux qui s’attendaient à un twist final des plus ”éblouissants”, à en lire certaines critiques, ont été bien déçus.
Personnellement, je ne qualifie pas la fin de pitoyable mais c’est sûr quand même que je n’ai pas eu une fin à en rester bouche bée.
Insidieuse, la paranoïa s'infiltre tout au long de ces six épisodes réussis, passionnants, et parfaitement interprétés, dans un jeu de faux-semblant à tiroir très efficace. Le tout, dans le milieu privilégié de Manhattan, transcendé par de très beaux plans de la grande pomme fascinante. Le spectateur reste en apnée en se transformant en juré, baladé par le scénario redoutable jusqu'à la dernière minute. Une très bonne série.
Cette histoire ne casse pas trois pattes à un canard . le seul canard que vous verrez c'est la bouche botoxée de Nicole Kidman . ça ne vaut pas le coup de regarder cette minuscule série . dans la même ambiance, préférez Big Little Lies .
Nicole Kidman est vraiment resplendissante dans cette série. Dès le premier épisode elle en impose énormément. Le suspense est présent jusqu'à la fin j'ai cru à un notre dénouement ! Même si les "séries procès" sont à la mode on s'en réjouit encore une fois, car bien tourné sans être parmi la meilleure !
The Undoing est une très bonne mini-série, au scénario original, avec un bon suspense, des personnages convaincants et des acteurs de premiers rôles épatant !
Chaque épisode traîne en longueur. Nicole Kidman passe son temps à vagabonder et pleurer, la bouche entrouverte pour se donner un air sensuellement boudeur (résultat non atteint, son front botoxé à l'excès rendant le tout encore + pitoyable). Elle échoue lamentablement à nous faire ressentir de l'émotion ou de l'empathie pour elle. Elle joue particulièrement mal dans cette série. Sa perruque n'arrange rien à la caricature, tout comme ses vêtements d'ado attardée. Rien à sauver, là-dedans🤷🏻♀️
Casting très alléchant pour cette mini-série, nouveauté HBO. Un polar prenant sous forme de thriller psychologique et familiale. Le suspens est bien préservé, jusqu'au bout on reste dans le doute quant à l'identité de l'assassin. Mais deux choses m'ont gêné : la fin, un peu bâclée et trop facile, et le personnage de Nicole Kidman. Je ne l'ai pas trouvé très crédible, ou est-ce l'actrice qui n'était pas bonne, elle roule souvent des gros yeux impressionnés, presque comique. A 53 ans il faut arrêter de rajeunir là, et puis mère d'un ado de douze ans ça commence à ne plus passer. Hugh Grant est très bien, avec aussi Donald Sutherland, Edgar Ramirez, Lily Rabe et Noah Jupe, le petit garçon (Sans un bruit). Au final, une série qui se laisse regarder mais qui ne tient pas toutes ses promesses.
Très mauvais jeu, scénario et dialogues très peu crédibles, on va pas parler du procès qui est complètement ridicule ... Nicole Kidman plus tirée que jamais le visage figée pendant toute la série.
Cette série cumule tout les cliché de la fiction policière/ juridique Chaque fin d’épisode a son twist inutile et grossier
Sur le même sujet je conseille the night off, excellente série policière sur une erreur juridique!
Une série qui surfe sur le succès de BIG LITTLE LIES : avec notamment à l'écriture, le retour du scénariste David E Kelley et celui-ci de Nicole Kidman, qui revient avec un nouveau rôle de femme forte. Même si il faut avouer que "THE UNDOING" est plaisant, on reste encore très loin du niveau d'excellence de son ainé. Toutefois l'intrigue est assez bien construite et captivante pour qu'on s'y intéresse, et le couple former par Nicole Kidman/Hugh Grant ( qui ironiquement tenait respectivement les rôles des méchants dans Paddington 1 & 2) élève un peu plus le niveau. Leurs performance sont incroyable, Kidman est comme à son habitude magistrale et on s'étonne que Hugh Grant joue dans un registre dramatique et d'une justesse surprenante. Puis, si vous n'êtes pas séduit par ces images, vos oreilles le seront peut-être par le générique culte inspirée d'une chanson de Doris Day reprise par...spoiler: Nicole Kidman elle-même.