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    The End Of The F***ing World
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    208 critiques spectateurs

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    Ufuk K
    Ufuk K

    524 abonnés 1 488 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 1 août 2023
    Cette série britannique produite par Netflix est une petite pépite . En effet durant deux saisons je fus emporté par les aventures de Alyssa et James très bien interprété par ailleurs par Jessica Barden et Alex Lawther dans des séquences parfois drôle, trash mais très souvent émouvante et triste décrivant très bien les différents traumatisme que peut subir un enfant ou un adolescent et ses conséquences à l'âge adulte . La deuxième saison est excellente grâce au personnage de Bonnie joué par l'excellente Naomi Ackie qui apporte une noirceur à la série.Dommage que la série s'arrête seulement au bout de deux saisons mais c'est peut être mieux ainsi.

    .
    Wasapat
    Wasapat

    24 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 16 décembre 2019
    je viens de finir la première saison et je ne sais pas comment ils font mais dans ce genre ( voir dans tous les genres ) ils sont vraiment trop fort ses anglais et avec des budgets toujours raisonnables
    ils sortent toujours des acteurs inconnus mais au talents remarquable
    cette série est vraiment trop bonne ,déjantée à souhait un coup reposante et dans la seconde qui suit explosive
    on pense toujours savoir ce qui va ce passer et non l' écriture ou la réalisation nous amène autre part
    ses anglais sont à part et c 'est très bien
    Clement C
    Clement C

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 10 juin 2020
    Série complètement decalée et remplie d'humour noir. Des decors magnifiques et une atmosphere indescriptible. Les acteurs sont exceptionels. A regarder de tout urgence.
    Aurélia R
    Aurélia R

    16 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 24 janvier 2022
    Un petit bijou britannique ! La relation d'Alyssa et James est singulière, touchante et authentique... Elle découle sur une histoire d'une justesse folie...
    Cette série t'interpelle et t'amène à réfléchir sur ta propre relation aux autres et au monde...Percutant ! Bravo !
    Pierre-Jean B
    Pierre-Jean B

    19 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 8 novembre 2019
    Les plans, les dialogues, l'atmosphère, les acteurs, l'histoire, le rythme, le choix des musiques... tout est impressionnant de qualité et d'efficacité dans cette escapade de minis Bonnie & Clyde accidentels. Originale et décalée, cette série est un diamant brut de comédie noire qui jamais ne sombre dans un cynisme facile, gras et outrancier. "The End of the F***ing World" est une très bonne surprise. La seconde saison est tout aussi délectable que la première. Pour moi, c'est un grand OUI !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 17 janvier 2020
    J'ai regardé beaucoup de séries mais là c'est la meilleure série que j'ai vu (film et série confondu) les acteurs sont parfait les scénarios aussi et la bande son passe toujours trop bien "chef d'oeuvre"
    Irene Scott
    Irene Scott

    5 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 18 septembre 2021
    Ça y est, j'ai fini ! En trois jours, quatre tout au plus, j'ai intégralement regardé cette courte série. Alors, verdict :
    J'ai d'abord été un peu déstabilisée par le format des épisodes. 21 minutes, ça semble court. En fait, ça doit être un choix réfléchi, car les actions s'enchaînent très rapidement, si bien qu'on en voit beaucoup en peu de temps.
    La série est très bien filmée, la musique excellente, et le tout est étrange, dynamique, mélancolique souvent, drôle parfois, le tout porté par les deux acteurs principaux, incroyablement attachants. Si la première saison ressemble à un road-trip un peu barré, la deuxième semble montrer les conséquences de leurs actes, et leur (lente) reconstruction. Cela donne une série très émouvante, plus que ce que laissait augurer la bande-annonce, qui était pourtant très alléchante. N'hésitez pas, allez-y !
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    12 abonnés 665 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 14 mars 2024
    « Being shit runs in my family. It’s in my blood. Which means I can’t help it. »

    OVNI britannique aux dialogues incisifs et aux voix offs croisées exprimant les pensées en direct des deux personnages principaux, The End of the Fucking World ne laisse pas indifférent contrairement à ce que peut faire penser la froideur apparente des personnages.

    Dans la première saison, Alyssa, incarnée par l’éblouissante Jessica Barden, et James, Alex Lawther lunaire, sont deux adolescent·es largué·es en cavale. Elle est impulsive et a l’art de jeter les gens, lui se pense psychopathe. Le scénario, une double quête initiatique en forme de road trip, est d’une réelle densité, abordant des thèmes propres à la fin de l’adolescence, certes, mais aussi des problématiques universelles sur le sens de la vie.

    Dans la seconde saison, on suit Bonnie, interprétée par Naomi Ackie, dans un audacieux spin-off interne qui introduit l’intrigue principale. Le thème de l’incommunicabilité, déjà abordé dans la première partie et rehaussé par les pensées en voix off, devient plus prégnant, avec un rythme narratif un peu plus lent cette fois.

    L’ensemble est découpé en épisodes d’une vingtaine de minutes, format rare pour une série à tendance dramatique, ce qui évite les longueurs et équilibre parfaitement le récit, à la manière des feuilletons romanesques d’antan, avec une incroyable tendance à l’inattendu. Les décors naturels nous permettent par ailleurs de plonger dans une Angleterre méconnue, aux frontières de la civilisation, banlieues moches et vides, côtes désertes et forêts humides et sombres où se cachent bars, auberges et restaurants en bois, comme on peut en deviner l’existence plutôt aux Etats-Unis, ce qui renforce l’ambiance décalée.

    Portée par une bande son éclectique et réjouissante, notamment agrémentée par la guitare de Graham Coxon (Blur), une réalisation chorale digne d’un long métrage qui rend hommage au cinéma anglais indépendant des années ’90, une qualité de montage et de photo impressionnantes, et une interprétation parfaite, la série créée et scénarisée par Charlie Covell et adaptée de la BD américaine de Charles Forsman est noire et drôle, décalée et jouissive, bougrement intelligente et absolument captivante.
    Fanny
    Fanny

    28 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 22 mai 2021
    Autant la saison un se laisser bien regarder, autant la seconde est d'un ennui mortel. Suivre des personnages pas intéressants dans une histoire sans intérêt c'est vite chiant. La fille est vite garante à être en permanence méprisante envers tout le monde
    Jeune Ras
    Jeune Ras

    9 abonnés 469 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 14 janvier 2022
    Singulière série et son thème sur la psychologie de ceux que la société dénomme “les rejetés, les cassos”. L’histoire est poignante, le jeu d’acteur impeccable
    Adrien M
    Adrien M

    25 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 6 janvier 2018
    Irrévérencieux, politiquement incorrect, exactement ce qu'il me fallait.

    Ne vous fiez pas à la bande-annonce, c'est pas une série spécialement gore, juste bourré d'humour noir.

    Les acteurs sont parfaits, l'alchimie aidant, et rendent leurs personnages, antipathiques, très attachants.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 2
    5,0
    Publiée le 7 novembre 2019
    Cette saison 2 est exceptionnelle. On retrouve nos deux protagonistes plongés dans une nouvelle complication inattendue et cette complication (je parle ici de l'actrice) colle magnifiquement bien à l'univers de TEOTFO. Tout est bien ficelé encore une fois, la réalisation, le scénario ; la mise en scène; le casting et j'en passe.. Bref, tout relève de l'exploit.
    Merci à toute l'équipe pour cette saison, et bravo aux acteurs, ils n'auraient pas pu être mieux choisi.

    Vous m'aurez compris, JE CONSEILLE CETTE SAISON 2! Vous ne serez pas déçus!
    Cassie
    Cassie

    10 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 26 février 2020
    Je n'aime pas beaucoup cette série
    L'ambiance est froide, malsaine
    Le format est assez court et va vite à regarder
    Cinememories
    Cinememories

    488 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 9 juin 2021
    Prometteur dans de nombreuses tentatives, Netflix semble poursuivre sur un flux de séduction. Cette toute nouvelle série, dans un style décalé et déjanté, est adapté des planches de l’Américain Charles Forsman. Fort en caractère du fait d’une révolte évidente, l’auteur ancre notamment son récit dans l’adolescence. Les personnages y sont préalablement perturbés, déprimés et restent fermés à l’ennui. C’est à partir de cette rupture que l’on identifie toute la peine et les difficultés des choix que l’on doit prendre dans une vie et le masque de l’adolescence est un thème qui relate, ô combien l’auteur à dû se chercher avant de devenir l’artiste qu’il est aujourd’hui.

    On nous aborde alors avec des airs haineux, portés par James (Alex Lawther), jeune garçon s’autoproclamant psychopathe. Connaissant ses activités hautement fictives, malgré les aspects, il dévoile autant d’humour noir qu’il peut en cacher dans sa simple gestuelle. Sa passivité est traduite par ses pensées, récurrentes en aparté. Voilà d’où vient principalement le côté humoristique. On peut dire certaines choses, dire des mots, mais on ne se ment pas à soit même, lorsqu’on le pense très fort. Cela permet de mieux cerner les personnages, tout en conservant le mystère sur leur sort. On ne s’éloigne jamais de la situation qui se déroule, basculant l’utilité de cet outil à une narration récurrente. Il fallait donc que James accepte ses pulsions afin d’exploiter ce qui l’apaisait au fond de lui. Mais cela n’est qu’une couverture en vue d’un road-trip afin de découvrir sa véritable nature.

    La rencontre avec Alyssa (Jessica Barden) est d’une jouissance sur le plan émotionnel. Pas manipulatrice, plutôt axée sur l’autorité, elle incarne même le visage de l’émancipation qui est en marche. Elle dévoile alors un caractère peu négligé, en plus d’un ton très sarcastique. Elle rejette son dévolu, soit sur James, soit sur le premier passant. Les illustrations se succèdent ainsi, précisant son entêtement très prononcé pour l’excès et la peur. C’est une fonceuse qui garde toujours un œil derrière elle, ou du moins sur ce qui compte pour elle. On notera que chaque épisode commence par un tronçon de l’histoire qui va suivre. Tout est relié aux décisions des héros, qui ne les assument pas toujours. Cela induit une prise de conscience des faits. Leurs actes sont irréversibles et ils se doivent d’aller de l’avant, malgré la douleur. Sa complicité avec James est touchante et régale par sa sensibilité. Pourtant, elle n’a rien de la victime que l’on nous sert constamment. Et finalement, la seule chose que James souhaite vraiment tuer, c’est son ennui et sa routine affreusement humiliante pour le moral, chose qu’il apprendra à déléguer à sa compagne de voyage.

    Nos pensées se tournent peu sur les piliers que l’on pose en début de série, mais sur les échappatoires qui s’offrent aux héros. La réalité les rattrape alors, les piégeant dans leur décalage que la société n’est pas prête à accepter. C’est pourquoi « The End Of The F***ing World » conte essentiellement road-trip vers la sagesse. Il était nécessaire de se plier à la violence et aux décisions hasardeuse pour que les héros parviennent à découvrir les revers de leurs fantasmes. Le sens de la vie est une question de perspective, comme beaucoup le dirait. Ce qu’il faudrait avant tout, c’est d’avoir le recul sur la manière d’aborder ses problèmes personnels, avant de penser à grandir. En l’occurrence, le couple que forme James et Alyssa démontre clairement cette volonté et cet état d’esprit. Bien qu’ils partagent un amour très subtil, leurs soucis d’ordre familial ne divergent pas pour autant.
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈

    145 abonnés 1 143 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 21 février 2020
    -The end of the f***ing world est une série Netflix réalisé par Jonathan Entwistle. La série contient deux saisons aux épisodes très courts, seulement 25min. Les acteurs principaux sont Jessica Barden (Alyssa) ainsi que Alex Lawther (James).
    Saison 1 : 2,6/5
    Décevante. C'est une série assez spéciale, c'est particulier, ça ne plaira pas à tout le monde. Le casting est correcte. J'espère que la saison 2 sera meilleure, puis les notes sont assez impressionnante pour ce que reflète la série.
    Saison 2 : 2,9/5
    Certes c'est mieux mais c'est toujours aussi glauque...
    L'histoire est déjà plus attirante, elle donne envie de savoir comment tout ces problèmes vont se terminer.
    C'est sympa à suivre mais c'est une série qui s'ououbliera assez vite malheureusement.
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