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Peer
3 abonnés
45 critiques
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Critique de la série
5,0
Publiée le 27 juin 2020
Les acteurs sont, encore une fois dans une série anglaise, particulièrement talentueux, les personnages sont d'une richesse rare, l'humour est bien là ravageur mais sophistiqué, le conformisme et politiquement correct sont anéantis tout en ayant un fil narratif tenant solidement la route. Pour ma part je place Dr Who meilleure série de tous les temps et maintenant The End Of The Fucking World seconde. Les anglais seraient ils les plus talentueux et créatifs actuellement ? En tout cas chapeau et merci à ceux qui nous ont pondu cette si belle œuvre.
Une seconde saison aussi délicieuse que la précédente. Un nouveau personnage rassembleur et aussi perturbé que les deux autres qui ajoute un attrait supplémentaire, celui de donner une raison à cette suite. On reste attentif et toujours aussi perplexe quant à la prochaine proposition.
La deuxième saison, sans changer significativement la recette de la première, parvient à lui rester fidèle tout en apportant des changements bienvenus. C'est donc toujours aussi noir et incongru, et toujours rythmé par une excellente bande originale ; mais le ton de la série se fait à la fois plus dur - rien n'est épargné aux personnages - et plus tendre.
Une série bien barrée qui change de ce que nous avons l'habitude de voir. Jessica Barden et Alex Lawther sont justes parfaits dans leurs interprétations. J'ai adoré cette première saison.
Une série déjantée, un peu trash par moment, j'avais peur de tomber sur une série d'ado, mais la série est plus subtile. On enchaîne les épisodes, même si parfois les situations semblent absurde, on comprend la critique contemporaine, l'éducation, et les jeunes en manque de repères
j'ai aimé - les acteurs surtout alex lawther( découvert dans un épisode d'anthologie de black mirror) - le scénario osé - le message - la durée d'un épisode, qui permet pas de temps mort
j'ai pas aimé
- pas assez d'épisode (8)
une très bonne série a découvrir, je vais pas tarder à regarder la saison 2
C'est vrai: c'est une pépite! Les gens qui n'ont pas reçu d'amour auront du mal a savoir aimer et ils se feront souvent avoir. Ils (elle et lui) cherche leur place et c'est terriblement violent quand on grandi dans ces conditions. La série ne tombe jamais dans le pathos. Elle est toujours juste. Lui s'excuse d'exister et elle, elle cherche a exister. Émouvant et très bien interprété (même si quelques longueurs sur la saison 2) même si l'autre n'est jamais la réponse mais l'amour qu'on lui porte, peut l'être par contre
A la fois profonde et déjanté, The End Of The F***ing World est une très bonne série (courte qui plus est) que je recommande. Parfois elle est émouvante, parfois hilarante et parfois stupéfiante. C'est un subtil mélange de toutes ces émotions. Je recommande !
pas mal mes l histoire est pas assez prenante est trop vide trop peu de personne mes de bonnes idées comme le mariage ou le pere totalement drogué j attends la prochaine saison pour voir se qu'elle a a nous offrir
Une série surprenante qui se binge très aisément. Le ton est décalé, noir, pessimiste et désenchanté mais l'ensemble n'est surtout pas dénué d'humour. Les personnages drolatiques sont plutôt attachants malgré leurs névroses et l'ambiance générale est vraiment top bien que l'on commençait légèrement à tourner en rond au cours de la seconde saison. Bonne surprise au final.
Une série britannique prenante et facile à suivre grâce à son format assez court. Malgré un rythme de croisière plutôt lent, il y a toujours un nouvel élément scénaristique pour nous surprendre. Si ce n'est pas vraiment une comédie, c'est en tout cas très plaisant, les acteurs jouent tout à fait correctement et les personnages se sont bien trouvés spoiler: ... ces deux psychopathes .
La série commence plutôt bien et donne envie de connaître la suite à chaque épisode, surtout le format 20 minutes qui est assez efficace. Les personnages sont originaux et attachants donc forcément un plus. L'histoire est assez banale en réalité mais avec une bonne photographie et bande originale, le tout prend dans sa globalité. Seulement, par moment c'est un peu répétitif et la saison 2 moins emballante. Je dis pas que tout est tombé à l'eau mais il est certain que pour moi, c'est moins bien réussi que dans la première partie. Cependant, ça reste correct dans l'ensemble. 12/20.
Je m'étais entiché de cette série lors de sa sortie et c'est avec une immense joie que je me lance dans cette suite. Si le redémarrage désarçonne le reste détonne et envoûte comme au début. Toujours ce chouette format, cette vivacité dans l'esprit, l'atmosphère est d'ailleurs unique et permet aux acteurs de pété les scores ! Dans le texte ou dans la gestuelle, la prestance de ses jeunes en perditions ( ou pas d'ailleurs ! ) donne à cette série une force inimitable. J'ai adoré suivre ces huit épisodes, pourvu que Netflix nous refasse le coup ...
Une atmosphère particulièrement prenante dans cette série à mini épisodes. Tout est bien aiguisé, cru et en même temps si réaliste. C'est même assez surprenant que l'on puisse s'attacher aux deux principaux protagonistes tant ils sont asociales.
Série à l'humour noir décapant, The End of the F***ing World est une sorte de "C'est Arrivé Près de Chez Vous" à la mode anglaise et ciblant l'adolescence. Le tout donne lieu des scènes à la fois drôles et déstabilisantes, grâce au savoir-faire indéniable des 2 acteurs principaux. A la fois décomplexés et bien ancrés dans la réalité, les épisodes de 20 minutes se regardent très rapidement et on ne s'ennuie pas un seul instant malgré un rythme qui peut paraître poussif, mais participe en fait à toute l'ambiance de la série. ça ne mettra pas tout le monde d'accord, mais c'est à voir, ne serait-ce que pour s'en faire sa propre opinion.
L'ajout de Bonnie dans cette saison est bien inspiré, donnant plus de profondeur à un personnage secondaire et intégrant un nouveau personnage qui, à l'image des autres, respire la joie de vivrespoiler: (ironie) . Toute once d'espoir est assassinée dès le début. La noirceur ambiante est toujours contre-balancée par l'espèce de je m'en-foutisme ambiant d'Alyssa, qui ne sait toujours pas où elle va. Leurs aventures, sans être transcendantes, nous passionnent toujours autant. L'épisode 7 et sa tension digne des westerns est une vraie réussite. La saison offre une vraie conclusion aux personnages, ce serait dommage de prolonger l'expérience, à moins que le roman graphique ait un arc narratif supplémentaire à vraiment explorer, sinon le destin de James et Alyssa convient parfaitement en l'état.