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Votre avis sur The Crown ?
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32 critiques
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15 critiques
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Caine78
Sincèrement, au départ je n'étais pas spécialement parti pour regarder cette série, peu intéressé par le quotidien de la famille royale à travers les époques. Et puis l'occasion s'est présentée, aussi encouragée par les critiques à l'idée d'avoir un beau spectacle classique. De ce point de vue, « The Crown » ne déçoit pas, se révélant même un véritable travail d'orfèvre aussi bien dans la reconstitution que les costumes, somptueux et d'une précision impressionnante dans le détail.
Surtout, si certains aspects « people » (mais difficilement évitables) quant aux tensions existant entre certains membres royaux ne passionnent guère, le créateur Peter Morgan a l'intelligence de beaucoup s'attacher à l'Histoire, choisissant quelques chapitres très précis (dont certains que je ne connaissais pas du tout!) aussi bien pour retracer le destin d'un pays encore profondément marqué par la Seconde Guerre mondiale que de livrer un portrait presque intime d'une femme parfaitement consciente de n'être nullement préparée à la fonction de reine lui faisant porter un poids colossal au quotidien, l'amenant à de nombreux choix difficiles, voire à se renier.
Dans ce rôle subtil et beaucoup plus complexe qu'on aurait pu l'imaginer, Claire Foy offre une belle prestation, tout en fragilité, entourée avec talent par Matt Smith, Vanessa Kirby ou encore Ben Miles, sans oublier un très inattendu John Lithgow en Winston Churchill vieillissant, téméraire mais dos au mur, preuve que ce brillant acteur (américain!) est décidément capable de tout jouer.
Cette plongée dans le milieu politique de l'époque est sans doute ce qu'il y a de plus intéressant tant les grandes décisions et toutes les manœuvres les entourant dépendent infiniment plus d'eux que de la « Couronne », réussir à nous concerner par les atermoiements de cette dernière étant, déjà, une grande performance, malgré quelques longueurs et sous-intrigues trop présentes, notamment dans certaines épisodes. De quoi tout à fait envisager le visionnage d'une seconde saison, à la fois séduit par la dimension historique de l'œuvre et son talent narratif, preuve que c'est, parfois, la manière dont on raconte une histoire qui compte avant tout.
Surtout, si certains aspects « people » (mais difficilement évitables) quant aux tensions existant entre certains membres royaux ne passionnent guère, le créateur Peter Morgan a l'intelligence de beaucoup s'attacher à l'Histoire, choisissant quelques chapitres très précis (dont certains que je ne connaissais pas du tout!) aussi bien pour retracer le destin d'un pays encore profondément marqué par la Seconde Guerre mondiale que de livrer un portrait presque intime d'une femme parfaitement consciente de n'être nullement préparée à la fonction de reine lui faisant porter un poids colossal au quotidien, l'amenant à de nombreux choix difficiles, voire à se renier.
Dans ce rôle subtil et beaucoup plus complexe qu'on aurait pu l'imaginer, Claire Foy offre une belle prestation, tout en fragilité, entourée avec talent par Matt Smith, Vanessa Kirby ou encore Ben Miles, sans oublier un très inattendu John Lithgow en Winston Churchill vieillissant, téméraire mais dos au mur, preuve que ce brillant acteur (américain!) est décidément capable de tout jouer.
Cette plongée dans le milieu politique de l'époque est sans doute ce qu'il y a de plus intéressant tant les grandes décisions et toutes les manœuvres les entourant dépendent infiniment plus d'eux que de la « Couronne », réussir à nous concerner par les atermoiements de cette dernière étant, déjà, une grande performance, malgré quelques longueurs et sous-intrigues trop présentes, notamment dans certaines épisodes. De quoi tout à fait envisager le visionnage d'une seconde saison, à la fois séduit par la dimension historique de l'œuvre et son talent narratif, preuve que c'est, parfois, la manière dont on raconte une histoire qui compte avant tout.
Yves G.
"The Crown" est de retour. Un an après sa troisième saison, voici la quatrième dont la sortie en France a fort opportunément coïncidé avec le deuxième confinement.
On y retrouve tous les personnages qu’on connaissait déjà : la reine bien sûr, impeccablement interprétée par Olivia Colman, son mari, le duc d’Édinbourg, que les réalisateurs n’ont pas voulu dépeindre aussi réac qu’on le dit être, sa sœur Margaret, de plus en plus alcoolique, ses enfants, Anne, la préférée de son père, Charles, le mal aimé, etc.
La saison 4 raconte les années 80, dont les vieux quinquagénaires de mon espèce ont gardé un souvenir vibrant. Elles voient apparaître autour de la reine – comme l’illustre l’affiche de la saison 4 – deux personnalités importantes. D’un côté Margaret Thatcher, Premier ministre de 1979 à 1990, qui engagea le pays dans une révolution libérale qui le guérit de la récession dans laquelle il était englué mais qui en aggrava ses inégalités sociales. L’actrice américaine Gillian Anderson prend un plaisir communicatif à caricaturer la Dame de fer dont l’image sort sérieusement écornée de cet étrillage en règle. Un épisode est consacré au conflit frontal qui l’oppose à la Reine au sujet des sanctions décidées par le Commonwealth contre le régime sud-africain d’apartheid.
L’autre personnalité dont on attendait impatiemment l’arrivée est bien entendu Lady Di. Le parti a été pris de pousser la ressemblance à son paroxysme – comme d’ailleurs pour quasiment tous les personnages de la série. La jeune Emma Corrin s’en sort avec les honneurs, qui réussit à dresser le portrait d’une jeune fille névrosée, projetée trop jeune dans un milieu hostile qui réussit fort bien ses débuts à Balmoral où Philipe l’adoube. Mais elle souffrit bien vite de la froideur de son époux qui ne l’aimait pas et ne l’aimera jamais – même si une visite officielle en Australie laisse apercevoir l’espoir d’une trop courte réconciliation. On assiste à son éclosion et à son accession inattendue – et fort peu méritée – au statut de star planétaire.
Le Prince Charles est sans doute le personnage qui s’en sort le plus mal. D’ailleurs son personnage est devenu un sujet politique outre-Manche. Il faut saluer la prestation de Josh O’Connor dans ce rôle ingrat qui réussit à rendre le prince de Galles à la fois attachant et horripilant. Déjà dans la saison 3, on avait touché du doigt le besoin éperdu d’amour et de reconnaissance dont l’héritier du trône était sevré. Dans la saison 4, on le retrouve indéfectiblement lié à Camilla Parker-Bowles qui fut tour à tour sa première amante puis sa maîtresse – et qui deviendra, on le sait, son épouse après la mort de Lady Di. Marié trop hâtivement à la jeune Diana, de treize ans sa cadette, pour le seule motif qu’il devait à tout prix, à trente ans bien sonnés, convoler en juste noces et donner à la Couronne un héritier, Charles ne connut aucune félicité avec son épouse. Pire, il revécut auprès de Lady Di ce qu’il vivait depuis sa naissance dans l’ombre de sa mère : le douloureux sentiment d’être éclipsé par plus brillant que lui.
Deux saisons restent à tourner dont la diffusion pourrait avoir lieu dès 2021. Le casting en sera entièrement renouvelé. On annonce Imelda Staunton dans le rôle d’une Elizabeth II vieillissante, Dominic West ("The Wire", "The Affair") dans celui du Prince Charles et la vertigineuse Elizabeth Debicki dans celui de Diana. On en salive d’avance…
On y retrouve tous les personnages qu’on connaissait déjà : la reine bien sûr, impeccablement interprétée par Olivia Colman, son mari, le duc d’Édinbourg, que les réalisateurs n’ont pas voulu dépeindre aussi réac qu’on le dit être, sa sœur Margaret, de plus en plus alcoolique, ses enfants, Anne, la préférée de son père, Charles, le mal aimé, etc.
La saison 4 raconte les années 80, dont les vieux quinquagénaires de mon espèce ont gardé un souvenir vibrant. Elles voient apparaître autour de la reine – comme l’illustre l’affiche de la saison 4 – deux personnalités importantes. D’un côté Margaret Thatcher, Premier ministre de 1979 à 1990, qui engagea le pays dans une révolution libérale qui le guérit de la récession dans laquelle il était englué mais qui en aggrava ses inégalités sociales. L’actrice américaine Gillian Anderson prend un plaisir communicatif à caricaturer la Dame de fer dont l’image sort sérieusement écornée de cet étrillage en règle. Un épisode est consacré au conflit frontal qui l’oppose à la Reine au sujet des sanctions décidées par le Commonwealth contre le régime sud-africain d’apartheid.
L’autre personnalité dont on attendait impatiemment l’arrivée est bien entendu Lady Di. Le parti a été pris de pousser la ressemblance à son paroxysme – comme d’ailleurs pour quasiment tous les personnages de la série. La jeune Emma Corrin s’en sort avec les honneurs, qui réussit à dresser le portrait d’une jeune fille névrosée, projetée trop jeune dans un milieu hostile qui réussit fort bien ses débuts à Balmoral où Philipe l’adoube. Mais elle souffrit bien vite de la froideur de son époux qui ne l’aimait pas et ne l’aimera jamais – même si une visite officielle en Australie laisse apercevoir l’espoir d’une trop courte réconciliation. On assiste à son éclosion et à son accession inattendue – et fort peu méritée – au statut de star planétaire.
Le Prince Charles est sans doute le personnage qui s’en sort le plus mal. D’ailleurs son personnage est devenu un sujet politique outre-Manche. Il faut saluer la prestation de Josh O’Connor dans ce rôle ingrat qui réussit à rendre le prince de Galles à la fois attachant et horripilant. Déjà dans la saison 3, on avait touché du doigt le besoin éperdu d’amour et de reconnaissance dont l’héritier du trône était sevré. Dans la saison 4, on le retrouve indéfectiblement lié à Camilla Parker-Bowles qui fut tour à tour sa première amante puis sa maîtresse – et qui deviendra, on le sait, son épouse après la mort de Lady Di. Marié trop hâtivement à la jeune Diana, de treize ans sa cadette, pour le seule motif qu’il devait à tout prix, à trente ans bien sonnés, convoler en juste noces et donner à la Couronne un héritier, Charles ne connut aucune félicité avec son épouse. Pire, il revécut auprès de Lady Di ce qu’il vivait depuis sa naissance dans l’ombre de sa mère : le douloureux sentiment d’être éclipsé par plus brillant que lui.
Deux saisons restent à tourner dont la diffusion pourrait avoir lieu dès 2021. Le casting en sera entièrement renouvelé. On annonce Imelda Staunton dans le rôle d’une Elizabeth II vieillissante, Dominic West ("The Wire", "The Affair") dans celui du Prince Charles et la vertigineuse Elizabeth Debicki dans celui de Diana. On en salive d’avance…
Yves G.
Série porte-étendard de Netflix, censé lui rallier l'audience des boomers (dont je suis), "The Crown" raconte la vie d'Elizabeth II. Les deux premières saisons, sorties en 2016 et 2017, racontaient la jeunesse de la reine, interprétée par Clare Foy (couronné en 2017 par le Golden Globes de la meilleure actrice dans une série dramatique). La troisième saison, sortie en novembre 2019, retrouve la reine en 1964 à l'approche de la quarantaine sous les traits de Olivia Colman (Oscar et Golden Globes 2019 de la meilleure actrice pour son interprétation dans "La Favorite").
Vous avez aimé "Downton Abbey" ? Vous adorerez "The Crown". On y retrouve les mêmes qualités : l'élégance aristocratique de la haute noblesse britannique, une intrigue foisonnante, des décors et des costumes à couper le souffle…
La comparaison s'arrête là : "Downton Abbey" était une fiction feuilletonesque, "The Crown" est un biopic scrupuleusement attaché à la vérité historique.
Le défi était imposant : comment raconter la vie de la souveraine britannique sans verser dans l'hagiographie ni dans le procès à charge ? Peter Morgan, qui avait signé en 2006 le scénario de "The Queen" de Stephen Frears, le relève avec brio. Il ne pare pas la reine de qualités qu'elle n'a pas ; il braque sans complaisance les projecteurs vers ses secrets les plus honteux (l'infidélité de son mari, les excentricités de sa soeur...). Mais il lui reconnaît une qualité : le sens du devoir. Il présente la couronne non pas comme un privilège indu mais comme une charge qui a échu à une reine que rien ne prédestinait à régner et dont la seule passion était l'élevage de chevaux. Son rôle constitutionnel lui impose une stricte neutralité politique. Constamment sous le regard du public, qui juge chacun de ses gestes, elle n'a pas le droit de se défendre des attaques dont elle fait l'objet.
La série est construite autour d'un principe simple, au risque d'être répétitif. Chaque épisode évoque un événement majeur de l'actualité politique et internationale qui met en lumière un aspect plus intime de la personnalité de la reine ou de ses proches. Ainsi les premiers pas de Neil Armstrong sur la Lune à l'épisode 7 sont-ils l'occasion pour le prince Philip de prendre conscience de la dépression qui le mine. Ainsi l'intronisation de Charles comme prince de Galles à l'épisode précédent fait-il le constat désabusé de l'impossible émancipation de l'héritier de la couronne.
La saison 3 se termine en 1977. Elle enterre le duc de Windsor ; elle révèle Camila Shand, l'amour de jeunesse de Charles. On attend avec impatience l'arrivée de Margaret Thatcher et de Diana Spencer à la saison 4, avant l'ultime saison qui verra Imelda Staunton reprendre le rôle principal.
Vous avez aimé "Downton Abbey" ? Vous adorerez "The Crown". On y retrouve les mêmes qualités : l'élégance aristocratique de la haute noblesse britannique, une intrigue foisonnante, des décors et des costumes à couper le souffle…
La comparaison s'arrête là : "Downton Abbey" était une fiction feuilletonesque, "The Crown" est un biopic scrupuleusement attaché à la vérité historique.
Le défi était imposant : comment raconter la vie de la souveraine britannique sans verser dans l'hagiographie ni dans le procès à charge ? Peter Morgan, qui avait signé en 2006 le scénario de "The Queen" de Stephen Frears, le relève avec brio. Il ne pare pas la reine de qualités qu'elle n'a pas ; il braque sans complaisance les projecteurs vers ses secrets les plus honteux (l'infidélité de son mari, les excentricités de sa soeur...). Mais il lui reconnaît une qualité : le sens du devoir. Il présente la couronne non pas comme un privilège indu mais comme une charge qui a échu à une reine que rien ne prédestinait à régner et dont la seule passion était l'élevage de chevaux. Son rôle constitutionnel lui impose une stricte neutralité politique. Constamment sous le regard du public, qui juge chacun de ses gestes, elle n'a pas le droit de se défendre des attaques dont elle fait l'objet.
La série est construite autour d'un principe simple, au risque d'être répétitif. Chaque épisode évoque un événement majeur de l'actualité politique et internationale qui met en lumière un aspect plus intime de la personnalité de la reine ou de ses proches. Ainsi les premiers pas de Neil Armstrong sur la Lune à l'épisode 7 sont-ils l'occasion pour le prince Philip de prendre conscience de la dépression qui le mine. Ainsi l'intronisation de Charles comme prince de Galles à l'épisode précédent fait-il le constat désabusé de l'impossible émancipation de l'héritier de la couronne.
La saison 3 se termine en 1977. Elle enterre le duc de Windsor ; elle révèle Camila Shand, l'amour de jeunesse de Charles. On attend avec impatience l'arrivée de Margaret Thatcher et de Diana Spencer à la saison 4, avant l'ultime saison qui verra Imelda Staunton reprendre le rôle principal.
3 saisons qui frisent la perfection (en attendant les 3 dernières) ! Épopée historique didactique, filmée avec soin, des plans séquence incroyable, musique superbe (et minimaliste), jeux d'acteurs au top et faits historiques pertinents. Que manque t-il ?Peut-être l'attachement des acteurs qui changent tous les vingts ans.
Episodes de Churchill, Aberfan et Man on the moon sortent, pour ma part, du lot. 4.5/5 !!!
Episodes de Churchill, Aberfan et Man on the moon sortent, pour ma part, du lot. 4.5/5 !!!
j'ai visionné les 3 premières séries.
Tout d'abord je voudrais dire bravo pour le casting des actrices et acteurs. Les ressemblances sont frappantes.
The crown est une série de qualité, bien écrite.
J'ai appris pas mal de choses sur la famille royale, c'est pas toujours rose.
Cette série n'hésite pas à nous montrer l'envers du décor et surtout à nous brosser des portraits pas très flatteurs des différents personnages de cette famille.
Une très belle reconstitution d'époque notamment pour les costumes.
j'espère que cette série se prolongera jusqu'à notre époque.
Tout d'abord je voudrais dire bravo pour le casting des actrices et acteurs. Les ressemblances sont frappantes.
The crown est une série de qualité, bien écrite.
J'ai appris pas mal de choses sur la famille royale, c'est pas toujours rose.
Cette série n'hésite pas à nous montrer l'envers du décor et surtout à nous brosser des portraits pas très flatteurs des différents personnages de cette famille.
Une très belle reconstitution d'époque notamment pour les costumes.
j'espère que cette série se prolongera jusqu'à notre époque.
stallonefan62
Place aux années 90 dans cette nouvelle saison !! Une décennie tumultueuse pour la royauté notamment le divorce entre Charles et Diana qui prend une place importante dans cette saison !! Comme pour les autres saisons, le rythme n'est pas rapide mais l'interprétation sans faute du nouveau casting fait que l'on ne s'ennuie jamais !! Le nouveau casting est génial notamment Elizabeth Debicki bluffante de ressemblance en Diana !!
stallonefan62
Une 1ère saison très captivante !! Une réalisation soignée, du réalisme et une histoire captivante avec plusieurs histoires !! Le casting est sans fausse note !! Claire Foy est impérial dans son rôle de reine aux pouvoirs en fin de compte assez limité !! et Mention spéciale à John Lithgow bluffant en Winston Churchill !!
stallonefan62
une saison riches en tensions, turbulences, trahisons et moments très fort pour cette décennie des années 80 !! Le casting est génial avec des acteurs jouant très juste !! Mention spéciale à Gillian Anderson incroyable en Margareth Tatcher !! On a le droit à des épisodes toujours intéressants avec des faits historiques relatés !! Le rythme n'est pas toujours énergique mais voulu pour laisser les acteurs s'exprimer !
stallonefan62
Une 2ème saison réussies, toujours aussi captivante !! Les quelques petites longueurs par moment ne peuvent entacher la réussite de cette nouvelle saison, pleines de rebondissements, coups bas au travers des différentes histoires !! Les décors sont superbe et l'interprétation toujours aussi juste !!
stallonefan62
Toujours aussi intéressant d'apprendre des choses sur le règne incroyable d'Elisabeth II !! Quelques longueurs sur certains épisodes mais l'ensemble est de bonne qualité !! Par contre, il faut au moins 2 épisodes pour ce faire à l'idée que le casting a complétement changé !! C"est assez déroutant et j'ai préféré le casting des 2 premières saisons !! Seul Olivia Colman sort du lot en interprétant magnifiquement la reine !! Les décors et costumes sont une réussite une fois de plus
Ma note baisse par rapport aux précédentes saisons car le nouveau casting ne ressemble pas assez aux membres de la famille royale. Le prince de Galles en particulier est trop différent de Charles 3. Alors certes, c'est une fiction, seulement tout l'intérêt réside dans sa ressemblance avec l'histoire de la famille royale britannique et le physique est un facteur essentiel. Seul le premier ministre Major est vraiment ressemblant. Cela ne met pas en cause les acteurs qui font bien leur travail, seulement c'est difficile de s'habituer à ces nouvelles têtes. Sinon, il y a toujours une grande qualité dans les dialogues, dans les décors et reconstitutions diverses.
Les saisons se suivent et se ressemblent dans l'exception, cette série reste le joyau de Netflix tant elle subjugue par la qualité de sa réalisation et de son interprétation. Pour cette saison 5, le casting connaît une nouvelle révolution, puisqu'il y a encore un saut dans le temps. Les événements des années 90 sont mis en lumière avec la relation contrariée du Prince Charles et de Lady Di jusqu'à la séparation. D'ailleurs si Dominic West, soit l'acteur qui interprète le 1er est trop charismatique (et antipathique) par rapport à l'original, Elisabeth Debicki est juste parfaite en Lady Di. La couronne garde son pouvoir intact au gré des saisons, et la suite va être passionnante.
Une très bonne série "biographique", qui respecte relativement bien l'Histoire. Si le personnage du Prince d'Edimbourg m'insupporte totalement dans le deux première saisons, le reste des acteurs est parfait, aussi bien dans le jeu que dans la ressemblance. Attendons 2022 pour la suite !
Exceptionnelle docu-série historique sur le début de règne d'Elisabeth II, sur la famille royale et le gouvernement de Winston Churchill. Ce qui est remarquable, ce sont les moyens mis en œuvre pour suivre les voyages de la reine avec beaucoup de figurants et aussi de montrer le poids des décisions à prendre. La reine est tiraillée entre son désir d'accéder aux demandes de sa sœur Margaret et sa position officielle de reine. Les péripéties du début de règne sont montrées de l'intérieur afin de permettre au spectateur de comprendre la position délicate de la reine mais aussi de son mari, de sa mère, de sa sœur et même de son oncle. Car tout n'est pas idyllique, loin de là !
Globalement, voici une série historique d'exception. Même si la famille royale d'Angleterre désire qu'elle soit considérée comme une fiction, tout est mis en œuvre pour coller à la réalité, jusqu'au moindre détail comme les chiens Welsh Corgi Pembroke. Étant nos contemporains, on relie plus facilement les faits et les personnages qui gouvernent l'Angleterre comme Margaret Thatcher ou Winston Churchill. Le fait que les membres de la famille royale changent toutes les deux saisons est ce qui m'a le plus dérangé. Tout en comprenant la raison, on voit trop de changement de personnalité, en particulier la reine Élisabeth et le prince Philip. Le poids des traditions intervient tellement dans leurs relations et leurs choix sentimentaux que l'on ressent une sorte de malaise par moment.