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Note moyenne
4,3
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Votre avis sur The Crown ?
5
109 critiques
4
148 critiques
3
60 critiques
2
32 critiques
1
15 critiques
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5 critiques
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la série a pris une ristourne chez un chirurgien esthétique pour faire aussi éloigné de la ressemblance des personnages principaux, et l’on démarre mal pour atteindre de fait l’intérêt des précédentes. De plus, la crédibilité par moments en prend un coup si on pense que les protagonistes de l’histoire était à ce niveau dadais qu’on nous montre,on se retrouve encore plus dans un jeu de voyeur , en pensant pauvres anglais. l’intérêt de l’histoire est son décorum, les relations avec le pouvoir politique et quelques personnages comme le père Al Fayed donnent un peu de piment contrairement à son fils qui d’après les photos de son vrai vivant avait plus un look de play-boy que celui qui joue son personnage, c’est comme Lady Di qu’on nous présente sans grand relief.Bon, je confirme saison inspiré, de loin la plus terne jouait par des acteurs ternes
La série est vraiment réaliste , je viens découvrir cette série car évidemment la date est importante avec la mort d'il y a quelques jours D'Elizabeth 2. Cette série à l'air très correct et colle assez bien à la réalité malgré quelques moments de fictions pure, hâte de découvrir la suite
Cette première saison est magistrale ! Excellent rythme, magnifiques décors et superbes acteurs ! J'adore découvrir l'histoire de cette grande reine ainsi !
Une saison qui n’est pas au niveau des précédentes, s’apparentant plus à une telenovela (de luxe) qu’à une série historique. Bien qu’assumée comme une fiction « inspirée de faits réels », la saison 5 ne parvient pas à susciter l’intérêt que j’ai porté au cours des quatre premières, peut-être est-ce dû à mon manque d’appétence à la vie privée des personnes (aristocrates ou non).
Bref, si vous voulez de la grande Histoire, passez votre chemin : la saison est principalement centrée sur le divorce inéluctable de Diana et Charles, en faisant l’impasse sur de nombreux évènements ayant marqué la monarchie britannique des années 90 : la crise de la vache folle, la sortie du mécanisme du taux de change européen ont été bien plus des faits politiques qui ont marqué le déclin du Royaume que l’image qu’a donné le divorce du couple princier…
Saison qui donne une image très favorable de Charles, héritier en quête de reconnaissance et voulant des réformes : on se demande même si Charles n’a pas été l’un des showrunners de « The Crown ». Diana montrée en midinette toujours au bord des larmes (par ailleurs très bien servie par le jeu d’Elizabeth Debicki, confondante de ressemblance), et une Reine décrite comme complètement dépassée par les évènements et ne vivant plus avec son temps.
Je ne dirai pas que j’ai été totalement déçu par cette saison, elle se regarde tout de même avec un certain intérêt (très mesuré), mais le côté romance et soap a pris le pas sur cette série qui initialement était de très grande qualité.
Bref, si vous voulez de la grande Histoire, passez votre chemin : la saison est principalement centrée sur le divorce inéluctable de Diana et Charles, en faisant l’impasse sur de nombreux évènements ayant marqué la monarchie britannique des années 90 : la crise de la vache folle, la sortie du mécanisme du taux de change européen ont été bien plus des faits politiques qui ont marqué le déclin du Royaume que l’image qu’a donné le divorce du couple princier…
Saison qui donne une image très favorable de Charles, héritier en quête de reconnaissance et voulant des réformes : on se demande même si Charles n’a pas été l’un des showrunners de « The Crown ». Diana montrée en midinette toujours au bord des larmes (par ailleurs très bien servie par le jeu d’Elizabeth Debicki, confondante de ressemblance), et une Reine décrite comme complètement dépassée par les évènements et ne vivant plus avec son temps.
Je ne dirai pas que j’ai été totalement déçu par cette saison, elle se regarde tout de même avec un certain intérêt (très mesuré), mais le côté romance et soap a pris le pas sur cette série qui initialement était de très grande qualité.
SEASON 1 : la très médiatisée famille royale britannique méritait une série de qualité, et c'est le cas avec "création originale" de Peter Morgan, ou le simple sujet peut, à travers les petites histoires et autres scandales, voir l'évolution de la maison Windsor. SEASON 2 : encore une fois les scandales pullulent, et il y a du lourd, du très très lourd. La pauvre Elisabeth II traverse tant bien que mal les tempêtes qui s'enchainent avec la froideur qui la caractérise. Les épisodes sont toujours de qualité malgré un point que je trouve déstabilisant : les lieux nommés (comme les châteaux de Balmoral et de Windsor) sont représenté par d'autres demeures.
RealPrime
Ayant volontairement sauter la 3ème, cette dernière saison connue et ayant reçu l'acclamation aux Emmy's, fut marquer en particulier par l'arrivée de Margaret Thatcher et Lady Diana dans le programme. Des femmes ayant eut un jeu impeccable de la part respective de Gillian Anderson et Emma Corrin qui apporte le coup d'élan à cette série qui manque depuis le début d'énergie dans bien trop de scènes. Une saison ou notre reine et sa sœur ont donc changer d'interprète puisque nous sommes passer des années 50 avec les 2 premières saisons, aux 80/90 en un instant, mais ça n'est pas plus mal. Des jeunes femmes devenues femmes de pouvoir mature et dont les récits de jeunesse ne sont plus qu'un lointain souvenir, ou presque. Changement de cap également avec notre prince Charles qui suite à une enfance marquer par une scolarité chaotique et une relation tout de même avec son père, passe au titre royal et se voit donc la "non joie" d'épousé une femme qu'il avait pourtant dès le premier regard, sut courtisé avec simplicité. Mais c'est une nouvelle fois la preuve que cette série veut montrer la dure réalité de cette famille ne voulant fonctionner uniquement selon les règles légendaires monarchique. Excepter le mariage d'Elizabeth et Philip, les autres ne furent que faussetés et obligations à l'image donc de notre duo royal, leur jeu est à souligner tant la sincérité de cette haine commune est grandissante. Le statut et grade de l'un face à la sensibilité et délicatesse d'une autre. Une saison marquer par la venue au monde de William ou là aussi la relation parentale est d'une évidence d'écart d'intérêt. 4 saisons, 2 interprètes pour une seule reine et sa sœur et comme souligner ci-dessus, 2 actrices pour 2 nouvelles venue impeccable qui m'ont carrément fasciner. Mais globalement, même si cette série montre avec sincérité la vie royal et l'acheminement d'une reine, celle-ci ne fait pas partie de mes favorites pour la simple et bonne raison d'un jeu parfois mou, d'un manque de fond sonore et de nombreuses longueurs, une photo saluer de tous mais qui ne m'à rien fait, un générique par contre royal, sublime et au thème musical virtuose.
RealPrime
L'une des plus vieilles monarchie du monde encore en activité, ici montrer dans une première saison phénomène pour Netflix qui en fera sa force et montrera les envers de décors de cette vie de château pas comme les autres. Une vie qui n'à rien d'un conte de fée avec de chevaleresque soldats romanesques en armure, non, cela est un bien trop lointain passé.
spoiler:
Ici tous se joue à coup de discours politique, d'échanges secret entre membres de la famille royale, des conseillers politique du gouvernement puisque oui, à mon grand étonnement le monde politique est ici au centre des affaires diplomatique avec un Winston Churchill remarquablement jouer par John Lithgow (découvert dans "Scancale") avec des discours et une mise en scène parfaite. Notre Reine elle, par Claire Foy, incarne la mythique Elizabeth 2 dont le règne d'envergure et d'une longévité démesurer déchaine encore les foules. Un jeu qui remet pas mal d'éléments en question, de son début de reine assez jeune, voir précocement et par accident, découvrir la prise de toutes les décisions plus ou moins crucial pour le bon maintiens de la couronne, les déplacements en province et aussi voir, le plus simplement du monde, vivre une vie sentimentale qui disons-le franchement, est plus une immense formalité qu'une vraie vie amoureuse.
Car oui, devenir reine ne s'improvise pas en vue de toujours devoir élever la royauté au rang de n°1 mondiale, plusieurs scènes le montre avec des prises de convictions pouvant à tord, vous faire basculer d'un côté autoritaire. spoiler: La grande et assez mauvaise surprise de cette saison 1, est de voir que cette jeune reine se permette de choisir qui doit épouser qui et pour quel intérêt, des intérêt trop accentuer par les conseillers politique qui personnellement, n'ont pas à se mêler de ces affaires car personnelles et privées. Une saison montrant au départ la superbe complicité entre sœurs et autres membres familiaux, Mais lorsque Elizabeth de voit couronner suite au décès brutal de son père, tous change radicalement et un poids immense se place en elle.
Côté casting, on découvre quasiment des personnes que l'on ne connaissait soit que par quelques films ou quelques séries sans que personne n'atteigne le statut qu'ils ont puent à coup sûr obtenir ici, des actrices / acteurs très bon, respectant cette noblesse qui ne connait aucune modernité et reste dans l'éternelle ancienneté. Des personnes vivant bien plus dans un climat socio-politique que dans une sphère intime propre à chacun et plusieurs vont en faire les frais tel que Vanessa Kirby en princesse Margaret qui se verra refuser la main de son amis par décision de sa sœur. Une actrice absolument géniale qui pour moi, à voler la vedette à sa sœur tant son charisme et manière d'être sont plus "moderne, sexy, décontracter". Une évolution en 10 épisodes comprenant des longueurs clairement, mais expliquant avec plus ou moins de facilité, l'envers du décors, la forte complicité des membres du gouvernement et plus surprenant, l'acharnement des journalistes pour le moindre fait royal. Oui, la presse people existait pendant et après la guerre de 39/45. Globalement, une première saison correcte, un très bon casting et des évènements très bien montrer.
Comme le disais la mère ou plutôt la grand-mère d'Elizabeth : "La couronne doit toujours gagner"
Car oui, devenir reine ne s'improvise pas en vue de toujours devoir élever la royauté au rang de n°1 mondiale, plusieurs scènes le montre avec des prises de convictions pouvant à tord, vous faire basculer d'un côté autoritaire. spoiler: La grande et assez mauvaise surprise de cette saison 1, est de voir que cette jeune reine se permette de choisir qui doit épouser qui et pour quel intérêt, des intérêt trop accentuer par les conseillers politique qui personnellement, n'ont pas à se mêler de ces affaires car personnelles et privées. Une saison montrant au départ la superbe complicité entre sœurs et autres membres familiaux, Mais lorsque Elizabeth de voit couronner suite au décès brutal de son père, tous change radicalement et un poids immense se place en elle.
Côté casting, on découvre quasiment des personnes que l'on ne connaissait soit que par quelques films ou quelques séries sans que personne n'atteigne le statut qu'ils ont puent à coup sûr obtenir ici, des actrices / acteurs très bon, respectant cette noblesse qui ne connait aucune modernité et reste dans l'éternelle ancienneté. Des personnes vivant bien plus dans un climat socio-politique que dans une sphère intime propre à chacun et plusieurs vont en faire les frais tel que Vanessa Kirby en princesse Margaret qui se verra refuser la main de son amis par décision de sa sœur. Une actrice absolument géniale qui pour moi, à voler la vedette à sa sœur tant son charisme et manière d'être sont plus "moderne, sexy, décontracter". Une évolution en 10 épisodes comprenant des longueurs clairement, mais expliquant avec plus ou moins de facilité, l'envers du décors, la forte complicité des membres du gouvernement et plus surprenant, l'acharnement des journalistes pour le moindre fait royal. Oui, la presse people existait pendant et après la guerre de 39/45. Globalement, une première saison correcte, un très bon casting et des évènements très bien montrer.
Comme le disais la mère ou plutôt la grand-mère d'Elizabeth : "La couronne doit toujours gagner"
RealPrime
Après avoir découvert les débuts de la jeune Elizabeth sur le trône d'Angleterre, rencontrer tous les membres dont sa sœur au tempérament très électrique et bien plus moderne, des décisions prises entre gouvernement et famille royale ainsi que tous les multiples enjeux que représente cette couronne, cette seconde saison est pour moi une moitié de satisfaction et l'autre d'ennuie quasi certains. la première partie sur 5 épisode ne montre aucune évolution des personnages si ce n'est la relation entre notre couple royale qui bas de l'aile de temps à autres, des déplacements officiels mais aussi, une franchise sur la lassitude du peuple face à une reine se faisant vieille et ringarde avant l'heure. De ses discours peut entrainant et trop scolaire à ses apparitions publique non moderne, les caricatures et critiques fusent.
spoiler:
Margaret sort encore du lot avec l'épisode 7 (Matrimonium) montrant sa relation et quelques révélations sur son compagnon. Mais réellement, si la première moitié est lourde de longueurs sans intérêt et peu passionnante, ce n'est qu'à partir du 6 que la série devient dynamique. Avec cette révélation fracassante du passé "nazis" d'Edouard 8 et un récit bien endiabler, sans suivra les Kennedy avec un déroulement tout aussi bougeant et vivant, découvrir enfin ces 2 grandes figures fut géniale. Puis l'enfance chaotique de Charles dans cette école autoritaire et malsaine ou son propre père n'en à que faire du ressenti de son fils, mais ne s'inquiète que de son statut et notoriété. Un père que l'on découvre indifférent aux douleurs psychologiques de son fils. Tout l'épisode montrera que c'est bien le prince et non le père qui aura ainsi, décider de la scolarité de Charles. Personnellement, s'en est pitoyable de la part d'un père
Une 2ème saison à demi- teinte, avec sa seule 2ème partie d'haletante et d'énergique, à découvrir pour la suite si notre reine passe enfin la vitesse secondaire en terme de jeu dans son quotidien puisque, vu que l'on passe à sa vie d'adulte, il serait plus que dommage de passer à côté, d'autant plus qu'il y à désormais, un tout nouveau casting.
Une 2ème saison à demi- teinte, avec sa seule 2ème partie d'haletante et d'énergique, à découvrir pour la suite si notre reine passe enfin la vitesse secondaire en terme de jeu dans son quotidien puisque, vu que l'on passe à sa vie d'adulte, il serait plus que dommage de passer à côté, d'autant plus qu'il y à désormais, un tout nouveau casting.
Une série qui conforte ce que je pensais de la reine (une potiche gourdasse ... sans parole, ça j'ai découvert), de la royauté (qui ne sert à rien et coûte cher) et du clergé (l'athé que je suis n'en dira pas plus ... mais, c'est à gerber). Sur le plan technique, c'est plutôt bien ficelé et sur le plan historique, globalement instructif.
Les séries de ce calibre sont rares à la télé. Une réalisation de tout premier ordre, tant par la qualité des dialogues, la richesse du scénario, s'appuyant manifestement sur une recherche d'archives poussée, la distribution, éblouissant, et une réalisation à la hauteur.
« The crown » n'est pas sans défauts cela dit, la série met beaucoup de temps à trouver ses marques, on note une étrange erreur de casting dans le choix de Michael C. Hall pour incarner Kennedy, auquel il ne ressemble pas du tout - et il se montre très mauvais dans ce rôle. Quelques lenteurs ici et là. Rien cependant pour gâcher la sauce, d'autant que l'actrice principale est tout simplement excellente.
On nous montre une femme qui, derrière la façade froide et guindée, est à la fois déterminée et peu sûre d'elle, nous la rendant humaine et attachante.
« The crown » n'est pas sans défauts cela dit, la série met beaucoup de temps à trouver ses marques, on note une étrange erreur de casting dans le choix de Michael C. Hall pour incarner Kennedy, auquel il ne ressemble pas du tout - et il se montre très mauvais dans ce rôle. Quelques lenteurs ici et là. Rien cependant pour gâcher la sauce, d'autant que l'actrice principale est tout simplement excellente.
On nous montre une femme qui, derrière la façade froide et guindée, est à la fois déterminée et peu sûre d'elle, nous la rendant humaine et attachante.
J'ai vraiment eu du mal avec cette saison, je sais pas si c'est le changement des acteurs ou les thèmes traités !! Sur les 10 épisodes j'ai adoré 2 ou 3 maximum les autres étaient ennuyeux et interminables. Une des choses qui reste positive c'est la réalisation exceptionnelle, on prend un réel plaisir à regarder !
Complètement sous le charme de cette première saison, je l'ai fini en 24 h. C'est un cours d'histoire sur l'Angleterre.
La saison 2 de The Crown (série de Peter Morgan 2016-2018 racontant la vie de la reine actuelle du Royaume uni, Netflix) est à la fois meilleure en général et parfois moins bonne que la saison 1: au début on était surpris de la qualité de l'interprétation Claire Foy (Élisabeth II) ; Matt Smith (Philip Mountbatten) et Vanessa Kirby ( Margaret du Royaume-Uni) sont tous trois excellents, crédibles et émouvants. Les épisodes de la saison 1 campent le décor de manière remarquable et nous font entrer dans la machine royale de la Grande-Bretagne. La saison 2 est plus incisive : elle est assez critique et parfois même méchante mais l'épisode avec les Kennedy est complètement raté en raison des acteurs qui jouent les Kennedy et qui ne sont pas crédibles. En revanche le dernier épisode 10 sur l'affaire Profumo est parfaitement documenté même s'il pousse le bouchon contre Philip.
On pourrait dire que Philip et Margaret ne sont pas gâtés, on aurait tort. La série développe une certaine tendresse pour la famille royale (sentiment que je ne partage pas) mais elle est cependant très caustique. La famille royale apparaît comme un ensemble de personnages assez bornés (sans parler de l'ex roi Edouard7 David Windsor clairement pronazi), carrément inutiles (et Elisabeth le dit plusieurs fois), croulant sous les privilèges, s'ennuyant beaucoup (ce qui explique les scandales à répétition) et dépensant beaucoup d'argent. Tout cela satisfait plus un républicain qu'un monarchiste contrairement à ce qu'on pourrait penser d'une série anglaise. Une belle réussite pour l'instant en tout cas.
On pourrait dire que Philip et Margaret ne sont pas gâtés, on aurait tort. La série développe une certaine tendresse pour la famille royale (sentiment que je ne partage pas) mais elle est cependant très caustique. La famille royale apparaît comme un ensemble de personnages assez bornés (sans parler de l'ex roi Edouard7 David Windsor clairement pronazi), carrément inutiles (et Elisabeth le dit plusieurs fois), croulant sous les privilèges, s'ennuyant beaucoup (ce qui explique les scandales à répétition) et dépensant beaucoup d'argent. Tout cela satisfait plus un républicain qu'un monarchiste contrairement à ce qu'on pourrait penser d'une série anglaise. Une belle réussite pour l'instant en tout cas.
Quatrième saison couvrant l’ère Thatcher : « The Crown » demeure une série majestueuse,
avec une excellente réalisation, le jeu des actrices étant stupéfiant de réalisme ; même si au
premier abord la ressemblance n’est pas si évidente (Gillian Anderson en Margaret
Thatcher, Emma Corrin en Lady Diana), on ne peut qu’être immergés par leur
investissement dans leur rôle.
Deux grandes lignes directrices dans cette saison : l’évolution de Lady Diana (et de ses
problèmes naissants dans son couple), et la politique menée par Margaret Thatcher. Ce
n’est que mon humble avis, mais j’aurai préféré que la saison soit un peu plus « politique »
(l’intervention dans les Malouines, la crise irlandaise, ne sont traités que superficiellement),
Lady Diana et ses doutes existentiels étant trop au premier plan à mon goût. Personne n’est
épargné, notamment Charles jaloux de la popularité de Diana.
Moins en sauts de puce que la précédente, avec une réelle continuité dans la narration,
cette saison se concentre plus sur les aspects personnels de la famille royale et la reine
se retrouve de fait au centre du jeu familial et étatique. Certes, la réalisation laisse une
part non négligeable à la fiction, notamment lors de l’épisode 5 : certains pourront le
contester, mais j’ai trouvé qu’au final cela apportait un point de vue subjectif intéressant à la
critique de la politique britannique des années 80, à défaut d’être rentré factuellement dans
le vif du sujet.
« The Crown » reste donc une série très agréable à regarder, de bonne qualité, même si la
saison 4 retranscrit une réalité de manière un peu trop fictive.
avec une excellente réalisation, le jeu des actrices étant stupéfiant de réalisme ; même si au
premier abord la ressemblance n’est pas si évidente (Gillian Anderson en Margaret
Thatcher, Emma Corrin en Lady Diana), on ne peut qu’être immergés par leur
investissement dans leur rôle.
Deux grandes lignes directrices dans cette saison : l’évolution de Lady Diana (et de ses
problèmes naissants dans son couple), et la politique menée par Margaret Thatcher. Ce
n’est que mon humble avis, mais j’aurai préféré que la saison soit un peu plus « politique »
(l’intervention dans les Malouines, la crise irlandaise, ne sont traités que superficiellement),
Lady Diana et ses doutes existentiels étant trop au premier plan à mon goût. Personne n’est
épargné, notamment Charles jaloux de la popularité de Diana.
Moins en sauts de puce que la précédente, avec une réelle continuité dans la narration,
cette saison se concentre plus sur les aspects personnels de la famille royale et la reine
se retrouve de fait au centre du jeu familial et étatique. Certes, la réalisation laisse une
part non négligeable à la fiction, notamment lors de l’épisode 5 : certains pourront le
contester, mais j’ai trouvé qu’au final cela apportait un point de vue subjectif intéressant à la
critique de la politique britannique des années 80, à défaut d’être rentré factuellement dans
le vif du sujet.
« The Crown » reste donc une série très agréable à regarder, de bonne qualité, même si la
saison 4 retranscrit une réalité de manière un peu trop fictive.
Ma note ne reflète pas mon opinion sur le contenu de cette saison mais sur le fait qu'il a fallu que je m'assure que c'était bien la suite de la saison 2!
Sérieusement ? Olivia Colman (au demeurant une comédienne incroyable) dans le rôle ? Elle n'a même pas de lentilles bleues! Absolument ridicule ! Ratage intégral ! 1964, année où naît Edouard fin de saison 2, Elizabeth et Philipp ont pris 10 ans en début de saison 3! Et alors Helena Carter Bonham en Margaret (yeux noirs!)? WTF! Bref, casting aberrant.
Sérieusement ? Olivia Colman (au demeurant une comédienne incroyable) dans le rôle ? Elle n'a même pas de lentilles bleues! Absolument ridicule ! Ratage intégral ! 1964, année où naît Edouard fin de saison 2, Elizabeth et Philipp ont pris 10 ans en début de saison 3! Et alors Helena Carter Bonham en Margaret (yeux noirs!)? WTF! Bref, casting aberrant.