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Votre avis sur The Fall ?
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Une Série Anglaise excellente
Gillian Anderson / Stella Gibbs joue incroyablement bien le rôle d’une enquêtrice a la traque d’un tueur en série de sang froid Jamie Dornan /Paul Spector.
Ça faisait longtemps qu’on ne voyait pas des séries comme ça .
Gillian Anderson / Stella Gibbs joue incroyablement bien le rôle d’une enquêtrice a la traque d’un tueur en série de sang froid Jamie Dornan /Paul Spector.
Ça faisait longtemps qu’on ne voyait pas des séries comme ça .
Cette série est juste exceptionnelle , un jeu d'acteurs époustouflant, un psycho thriller incroyablement
Profond. Elle figure dans mon top 5. Je recommande.
Profond. Elle figure dans mon top 5. Je recommande.
Attiré par les bonnes critiques et après avoir visionné 2 épisodes de la version française "Insoupçonnable", décevante notamment par le choix des acteurs (en particulier Emmanuelle Seigner), j'ai visionné The Fall en entier en 2 ou 3 semaines. Là, on est à un autre niveau. Casting exceptionnel (extraordinaire Gillian Anderson), ambiance locale (Belfast), prises de vue et bande sonore, tout tend vers une qualité top. Seulement un gros défaut : beaucoup trop long (17 épisodes en 3 saisons), beaucoup trop de scènes pour "meubler". Je comprends mieux pourquoi la version française ne comprend que 10 épisodes.
.Vraiment dommage, car autrement c'était un must.
.Vraiment dommage, car autrement c'était un must.
Trois saisons. Un régal de bout en bout.
Réfléchie, sombre, intelligente, tendue, triste, axé sur les personnages, mais aussi terrifiante comme l'enfer (et c'est bien ce qu'on attend d'une série sur un tueur en série), il y a quelque chose de polar nordique dans 'The Fall".
un jeu de chat et souris impitoyable, le père de famille, beau et méthodique tueur psychologue qui terrorise Belfast. l'enquêtrice froide et tout aussi méthodique. Mais il s'avère qu'ils ne sont pas aussi différents que vous pourriez l'imaginer. Le retour de Gillian Anderson, la diva de la télévision des années 90, peu avant sous employé dans la série Hannibal. Une femme qui veut aboutir quoi qu'il faille faire , en évitant l'inefficacité des subordonnés masculins et féminins qui ne la comprennent pas. Un homme qui calcule soigneusement et morbidement tout dans les moindres détails, qui prend des photos de lui-même nu dans la salle de bain des victimes et cache ses traces, ses objets sombres de douleur et de plaisir dans la chambre de sa fille qui fait des cauchemars. Tension, intrigue, mélancolie, solitude et froideur dans l'approche. Magnifique contraste de plans délicats et sains avec d'autres morbides et malade. Réflexions éthiques, morales et philosophiques .Un nouvel proposition pour des séries de qualité loin des stéréotypes américains dépassés. Anderson est excellente, qu'est-ce que je l'aime! . Jamie Doran, mannequin de Calvin Klein peut provoquer peur ou rêves humides ...
Une série que l'on pourrait proposer à des étudiants en philosophie comme le point de réflexion sur le bien et le mal.
Réfléchie, sombre, intelligente, tendue, triste, axé sur les personnages, mais aussi terrifiante comme l'enfer (et c'est bien ce qu'on attend d'une série sur un tueur en série), il y a quelque chose de polar nordique dans 'The Fall".
un jeu de chat et souris impitoyable, le père de famille, beau et méthodique tueur psychologue qui terrorise Belfast. l'enquêtrice froide et tout aussi méthodique. Mais il s'avère qu'ils ne sont pas aussi différents que vous pourriez l'imaginer. Le retour de Gillian Anderson, la diva de la télévision des années 90, peu avant sous employé dans la série Hannibal. Une femme qui veut aboutir quoi qu'il faille faire , en évitant l'inefficacité des subordonnés masculins et féminins qui ne la comprennent pas. Un homme qui calcule soigneusement et morbidement tout dans les moindres détails, qui prend des photos de lui-même nu dans la salle de bain des victimes et cache ses traces, ses objets sombres de douleur et de plaisir dans la chambre de sa fille qui fait des cauchemars. Tension, intrigue, mélancolie, solitude et froideur dans l'approche. Magnifique contraste de plans délicats et sains avec d'autres morbides et malade. Réflexions éthiques, morales et philosophiques .Un nouvel proposition pour des séries de qualité loin des stéréotypes américains dépassés. Anderson est excellente, qu'est-ce que je l'aime! . Jamie Doran, mannequin de Calvin Klein peut provoquer peur ou rêves humides ...
Une série que l'on pourrait proposer à des étudiants en philosophie comme le point de réflexion sur le bien et le mal.
A la longue liste des séries policières modernes vient s’ajouter The Fall, thriller en trois temps, trois années de diffusions, 17 épisodes. La série de la BBC Two et d’Alan Cubitt se démarque-t-elle d’une concurrence féroce et si oui, de quelle manière? Telle est la question alors que les différentes chaînes, les distributeurs, nous inondent perpétuellement de polar et autres récits d’influences policières, judiciaires. Dans le cas présent, The Fall, pour la qualité de ses comédiens, pour la finesse de son écriture, pour le cadre nord-irlandais corrosif qu’il propose, mérite clairement le détour. Oui, la série britannique se démarque du tout-venant, se développant très vite comme un brûlot intimiste, une confrontation entre un chasseur et sa proie, l’étiquette étant variable à bien des égards.
Belfast, Irlande du Nord, cité balafrée par des années de conflits indépendantiste, se retrouve être le terrain de jeu d’un tueur en série, un étrangleur fétichiste mettant la police locale dans un fort embarras. Débarque alors de la maison mère, Londres, une commissaire divisionnaire méticuleuse, passionnée, une enquêtrice très vite obnubilée par sa proie. Le jeu du chat et de la souris commence, tout s’enchaînant dans une logique narrative parfaitement maîtrisée, entre avancées significatives dans la traque policière du monstre et roublardises dudit monstre pour se soustraire à ses poursuivants tout en assouvissant ses pulsions. Certes, The Fall ne peut pas éviter les poncifs du genre, ne peut esquiver les clichés, mais la série parviendra, de par sa structure en trois temps distincts, de par quelques-uns de ses retournements, à faire oublier ses petites lacunes inévitables. Oui, si la trame générale est passionnante de par une remarquable découpe narrative, le projet souffre toutefois, petit bémol qui pourrait ne gêner personne, de quelques errements dans sa manière un peu cavalière d’amorcer des intrigues annexes pour ne jamais aboutir. On pense ici, notamment, aux péripéties d’une poignée de flics ripoux durant la première saison ou encore des influences du passé indépendantiste de l’Irlande du Nord, sous-thème jamais réellement bien exploité. Mais qu’importe. Ne sommes-nous pas là pour assister au duel entre le dénommé Paul Spector et sa poursuivante, le commissaire Stella Gibson? Oui.
Les deux personnages principaux, chacun de son coté de la barrière mais toujours vivement reliés, interprétés par une Gillian Anderson remarquable, retour gagnant sur le petit écran dans le rôle de cette femme forte aux petites faiblesses destructrices, et un certain Jamie Dornan, qui se révèle ici, littéralement, sont tous les deux impeccables. Si l’on ne peut rien reprocher au casting secondaire, avouons que les deux comédiens s’attirent toutes les attentions de par leurs présences dévorantes à l’écran. Le choix du casting porte ses fruits, entre le retour d’une actrice au passé glorieux et l’introduction d’un talent du cru qui a depuis fait ses preuves sur grand écran. La force, sans doute, première de la série sera la qualité de ses deux comédiens principaux. Avouons-le d’emblée, et ce même si narrativement, The Fall se veut parfaitement précise, soignée.
Sur un rythme lancinant, au son d’une bande sonore toute aussi lancinante, Alan Cubitt privilégie les dialogues aux actions. Nous pénétrons, par l’analyse des uns et des autres, dans l’esprit d’un sadique, d’un assassin fascinant, mais aussi dans l’esprit d’une enquêtrice qui cache son jeu, qui masque ses faiblesses de femme à responsabilités sous une carapace de froideur professionnelle. Comme le passé nous l’aura démontré, le succès d’une telle série, il pourrait tout aussi bien s’agir d’un film, provient de la capacité du narrateur de faire se confronter deux personnages, ou d’avantages, charismatiques, puissants et imprévisibles. Un très joli coup que celui réussi ici par la BBC Two. 16/20
Belfast, Irlande du Nord, cité balafrée par des années de conflits indépendantiste, se retrouve être le terrain de jeu d’un tueur en série, un étrangleur fétichiste mettant la police locale dans un fort embarras. Débarque alors de la maison mère, Londres, une commissaire divisionnaire méticuleuse, passionnée, une enquêtrice très vite obnubilée par sa proie. Le jeu du chat et de la souris commence, tout s’enchaînant dans une logique narrative parfaitement maîtrisée, entre avancées significatives dans la traque policière du monstre et roublardises dudit monstre pour se soustraire à ses poursuivants tout en assouvissant ses pulsions. Certes, The Fall ne peut pas éviter les poncifs du genre, ne peut esquiver les clichés, mais la série parviendra, de par sa structure en trois temps distincts, de par quelques-uns de ses retournements, à faire oublier ses petites lacunes inévitables. Oui, si la trame générale est passionnante de par une remarquable découpe narrative, le projet souffre toutefois, petit bémol qui pourrait ne gêner personne, de quelques errements dans sa manière un peu cavalière d’amorcer des intrigues annexes pour ne jamais aboutir. On pense ici, notamment, aux péripéties d’une poignée de flics ripoux durant la première saison ou encore des influences du passé indépendantiste de l’Irlande du Nord, sous-thème jamais réellement bien exploité. Mais qu’importe. Ne sommes-nous pas là pour assister au duel entre le dénommé Paul Spector et sa poursuivante, le commissaire Stella Gibson? Oui.
Les deux personnages principaux, chacun de son coté de la barrière mais toujours vivement reliés, interprétés par une Gillian Anderson remarquable, retour gagnant sur le petit écran dans le rôle de cette femme forte aux petites faiblesses destructrices, et un certain Jamie Dornan, qui se révèle ici, littéralement, sont tous les deux impeccables. Si l’on ne peut rien reprocher au casting secondaire, avouons que les deux comédiens s’attirent toutes les attentions de par leurs présences dévorantes à l’écran. Le choix du casting porte ses fruits, entre le retour d’une actrice au passé glorieux et l’introduction d’un talent du cru qui a depuis fait ses preuves sur grand écran. La force, sans doute, première de la série sera la qualité de ses deux comédiens principaux. Avouons-le d’emblée, et ce même si narrativement, The Fall se veut parfaitement précise, soignée.
Sur un rythme lancinant, au son d’une bande sonore toute aussi lancinante, Alan Cubitt privilégie les dialogues aux actions. Nous pénétrons, par l’analyse des uns et des autres, dans l’esprit d’un sadique, d’un assassin fascinant, mais aussi dans l’esprit d’une enquêtrice qui cache son jeu, qui masque ses faiblesses de femme à responsabilités sous une carapace de froideur professionnelle. Comme le passé nous l’aura démontré, le succès d’une telle série, il pourrait tout aussi bien s’agir d’un film, provient de la capacité du narrateur de faire se confronter deux personnages, ou d’avantages, charismatiques, puissants et imprévisibles. Un très joli coup que celui réussi ici par la BBC Two. 16/20
Enfin une série vraiment intelligente,complexe psychologiquement mais accessible car clairement conçue et énoncée sans être confuse (comme ils font outre Atlantique)Les européens,et notamment les britanniques,c'est quand-même autre chose que les américains.Après un épisode pour rentrer dedans,on est vraiment tenu en haleine jusqu'au bout même si on devine la fin inéluctable.Un petit bémol,les deux derniers épisodes sont un peu lents ,un peu bavards et trop psychologisants avec les explications par l'enfance maltraitée et les dialogues trop longs avec le psychiatre.Gillian Anderson est définitivement magnifique.L'acteur principal est excellent,complexe:le pire des monstres avec parfois des cotés touchants.Pas ou très peu d'incohérences scénaristiques,ce qui est exceptionnel aujourd'hui.Les scènes hospitalières en réanimation et au bloc opératoire sont d'une précision et d'un réalisme jamais vus au cinéma,à croire que les acteurs sont des professionnels de santé.Pour une fois les réalisateurs ont eu de très bons conseillers techniques.Là aussi,c'est autre chose que ces ridicules séries hospitalières américaines.Sauf peut-être en unité psychiatrique pour malades très dangereux,j'ai trouvé les patients un peu trop libres,chez nous,il y a plus de précautions.Les procédures policières et juridiques ont aussi un côté documentaire et semblent fidèles à la réalité ,même si là,c'est plus difficile de savoir.En tout cas ,on y croit,ça fait plaisir et c'est rare.Une vraiment très très bonne série,qu'on ne lâche plus quand on a commencé.
Troisième et dernier acte de la confrontation entre la commissaire-divisionnaire Stella Gibson et le tueur en série, l’étrangleur de Belfast, Paul Spector. Une dernière saison, oui, qui fait suite à la chasse, à l’enquête, à l’arrestation et aux évènements surprenants ayant clos la deuxième saison. Une nouvelle volée de 6 épisodes dans la lignée des précédents, ou il s’agira pour la police d’aboutir et pour le tueur de sauver les meubles, autant que faire se peut. Mais tout n’est pas simple, tout n’est ni noir ni blanc, plus globalement gris. Les conséquences des actes passés, de nouvelles découvertes, l’usure d’une enquête, d’un face-à-face éreintant, le tout dans un climat politico-judiciaire volatile, qu’adviendra-t-il donc du monstre et des individus impliqués jusqu’à la psychose dans sa poursuite judiciaire?
Allan Cubitt, en bon showrunner qu’il est, nous réserve bien évidemment quelques surprises, prenant des chemins de traverses certes assez étonnants mais toujours convaincants pour nous mener vers un final relativement puissant, tel qu’attendu. Le rythme est lent, très lent, là où la série préfère miser sur les longs face-à-face, la clarification par le parole. The Fall, dans sa dernière cuvée, c’est un peu comme si tout le monde se mettait autour de la table et faisait le point sur ce qui les a amenés là. Notons que par la force des choses, les différents protagonistes du show se confrontent ici à un univers médical remarquablement documenté, précis.
Soignée, habile, au suspens indéniable, cette troisième et ultime saison répond parfaitement aux deux précédentes. La qualité persiste, les comédiens sont excellents, Gillian Anderson et Jamie Dornan en tête. Indéniablement une réussite de la part de la BBC Two, une série policière nord-européenne, britannique, froide, austère, mais toujours passionnante. 16/20
Allan Cubitt, en bon showrunner qu’il est, nous réserve bien évidemment quelques surprises, prenant des chemins de traverses certes assez étonnants mais toujours convaincants pour nous mener vers un final relativement puissant, tel qu’attendu. Le rythme est lent, très lent, là où la série préfère miser sur les longs face-à-face, la clarification par le parole. The Fall, dans sa dernière cuvée, c’est un peu comme si tout le monde se mettait autour de la table et faisait le point sur ce qui les a amenés là. Notons que par la force des choses, les différents protagonistes du show se confrontent ici à un univers médical remarquablement documenté, précis.
Soignée, habile, au suspens indéniable, cette troisième et ultime saison répond parfaitement aux deux précédentes. La qualité persiste, les comédiens sont excellents, Gillian Anderson et Jamie Dornan en tête. Indéniablement une réussite de la part de la BBC Two, une série policière nord-européenne, britannique, froide, austère, mais toujours passionnante. 16/20
Probablement une des meilleures séries de la BBC, qui n'a pas produit que des navets, loin de là. Superbe casting, avec Gillian Anderson en tête, excellent scénario, très belle réalisation.
C'est un excellent thriller, pas trop long (saisons de 5 / 6 épisodes) qui vaut vraiment le détour.
Attention cependant : la saison 3 est très mauvaise (peu de suspense, peu de rythme, il n'y avait pas la matière pour faire une saison complète).
C'est un excellent thriller, pas trop long (saisons de 5 / 6 épisodes) qui vaut vraiment le détour.
Attention cependant : la saison 3 est très mauvaise (peu de suspense, peu de rythme, il n'y avait pas la matière pour faire une saison complète).
Excellente série portée par une Gillian Anderson exceptionnelle dans son rôle d'enquêtrice sexy et mystérieuse et un Jamie Dornan dont la folie fait froid dans le dos.
Alors oui, la lenteur parfois excessive pourra en rebuter certains.
Oui, le débit lent de l'enquêtrice pourra en agacer d'autres (n'oublions pas que l'actrice ne joue pas comme elle le veut mais comme le réalisateur le lui demande!)
Mais quel suspens, quelle puissance psychologique, quels frissons!
Je recommande vivement.
Alors oui, la lenteur parfois excessive pourra en rebuter certains.
Oui, le débit lent de l'enquêtrice pourra en agacer d'autres (n'oublions pas que l'actrice ne joue pas comme elle le veut mais comme le réalisateur le lui demande!)
Mais quel suspens, quelle puissance psychologique, quels frissons!
Je recommande vivement.
Supers acteurs, une approche inédite du sujet, pas de sensationalisme inutile, épuré, des moments de vérité, un face à face larvé de haut vol.
Cette série policière Britannique était passé un peu inaperçu à sa sortie et pourtant quelle claque ! J'ai dévoré les 3 saisons en quelques jours.
C'est tellement rare d'avoir un tel sentiment d'authenticité en visionnant une œuvre de fiction. Les dialogues et surtout les actions et réactions des personnages, tout sonne incroyablement vrai et vous pouvez oublier les twists improbables en fin d'épisodes, tout est parfaitement écrit.
Coté acteurs c'est un sans faute également, Gillian Anderson retrouve enfin enfin le devant de la scène depuis X-Files mais c'est surtout le bluffant Jamie Dornan qui crève totalement l'écran. Son personnage restera longtemps dans les mémoires.
Hormis un début de saison 3 légèrement poussif, cette série est excellente.
C'est tellement rare d'avoir un tel sentiment d'authenticité en visionnant une œuvre de fiction. Les dialogues et surtout les actions et réactions des personnages, tout sonne incroyablement vrai et vous pouvez oublier les twists improbables en fin d'épisodes, tout est parfaitement écrit.
Coté acteurs c'est un sans faute également, Gillian Anderson retrouve enfin enfin le devant de la scène depuis X-Files mais c'est surtout le bluffant Jamie Dornan qui crève totalement l'écran. Son personnage restera longtemps dans les mémoires.
Hormis un début de saison 3 légèrement poussif, cette série est excellente.
Chaque saison est différente des deux autres mais c'est la troisième que je préfère. Elle nous donne les clefs pour comprendre Paul Spector, mais aussi d'autres personnages. C'est ce qui s'avère exceptionnel dans cette série, cette capacité à prendre du temps pour démêler les ressorts psychologiques.
ATTENTION: Il est conseillé de prendre un comprimé de Prozac avant chaque épisode.
Le premier épisode de la 3eme Saison étant tout à fait déconseillé aux hyper-actifs il est prudent de demander l'avis de son médecin, avant de se lancer dans l'aventure palpitante de l’héroïne qui n'a rien d'autre à faire que de passer une demi-heure à attendre dans les couloirs de l'hosto. Il faut s'accrocher pour tenir jusqu'au bout !
Bon courage !
Le premier épisode de la 3eme Saison étant tout à fait déconseillé aux hyper-actifs il est prudent de demander l'avis de son médecin, avant de se lancer dans l'aventure palpitante de l’héroïne qui n'a rien d'autre à faire que de passer une demi-heure à attendre dans les couloirs de l'hosto. Il faut s'accrocher pour tenir jusqu'au bout !
Bon courage !
Malgré quelques lenteurs et quelques dégressions, cette série s'avère excellente d'abord sur la façon dont le sujet est traité, On nous présente un personnage de tueur dextrement complexe limite schizophrène interprété avec talent par Jamie Dornan. Face à lui, Gillian Anderson crève l'écran, elle l'illumine, elle rayonne. Les sous intrigues qui en fait se raccrochent plus ou moins à la principale sont très bien gérés avec des seconds rôles plausibles. Le film s'émaille de réflexions intelligentes et assez rares à l'écran pour être souligné (je pense par exemple au "coup d'un soir"
La saison de trop. C’est lent, lent, lent…2 épisodes complets sur l’opération de l’ablation de la rate du tueur qui a pris une balle dans l’abdomen dans la saison précédente. Et on suit de surcroît les soins post-opératoires. Une infirmière dont on ne sait si elle est enamourée et dont on peut s’imaginer par ses mimiques qu’elle fomente un mauvais coup tant la manière dont elle est filmée est outrée. La cheffe de la police qui s’exprime d’un ton doucereux et larmoyant les yeux baignés de larmes telle une mater dolorosa. Des interrogatoires où l’on reprend les mêmes déclarations et où l’on revoit les mêmes photos.Il ne se passe en fait que peu de choses par épisode. Et puis, que de bla-bla, que de prêchi-prêcha. Estimant sans doute que ce n’était pas assez lent le réalisateur a pris le parti de filmer quelquefois les personnages au ralenti. J’ai souvent eu envie de prendre la manette pour accélérer. Quant au tueur on le voit se laver, plier sa serviette, rouler des yeux, faire des exercices de gym. Pfff…que c’est pénible ! Bref j’ai regardé jusqu’au bout car je voulais savoir jusqu’où cette bouillie allait aller
spoiler:
et je dois dire que j’ai eu peur qu’à la fin ils n’arrivent à le sauver. Je n’aurais absolument pas pu supporter une 4ème saison et une autre opération chirurgicale.