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3,8
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Votre avis sur Les Tudors ?
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L'histoire en elle-même est si dense et riche en rebondissements qu'il n'est nul besoin de trop romancer pour rendre cette série passionnante... Intrigues, trahisons, mensonges, sexe et hémoglobine, tout y est ! Il ne restait qu'à trouver d'excellents interprètes pour porter ces personnages hors du commun. C'est chose faite. Une belle réussite. On regrette simplement qu'elle prenne fin alors qu'il y aurait eu matière à continuer avec les querelles de succession...
Les premières saisons sont convaincantes et plaisantes à regarder mais par la suite on a compris le principe, on retombe dans les mêmes histoires et l'originalité perd peu à peu son charme au fur et à mesure des saisons. La série reste tout de même intéressante avec de très bons acteurs et une intrigue captivante.
Je viens de découvrir cette série j'en suis à la deuxième saison et je suis fan, j'adore Jonathan Rhys Meyers
Super série
Super série
Passionnante, épique, flamboyante, tumultueuse. Tel était la vie du souverain Henry VIII, et tel est la série racontant son histoire. Entre manipulation, trahison et mensonges, " The Tudors " nous montre un monarque despote, autant attiré par les femmes que par le pouvoir. Bénéficiant d'une intrigue de grande qualité (surement l'une des meilleurs série historique jamais produite), de comédien épatant (Mention spécial à l'incroyable Jonathan Rhys-Meyers et à la divine Natalie Dormer.) et à des décors, costume incroyable (sans parler de la bande-son, tout simplement magistral), " The Tudors " est une série dense, captivante, sombre, sexy. En bref, une série parfaite !
lhomme-grenouille
Non… Là je dis non... Est-ce que je me suis fourvoyé en imaginant que cette série allait nous offrir autre chose qu’une simple accumulation d’amourettes répétitives ? Peut-être... Après tout l’auteur reste le seul vrai maître de son œuvre. Peut-on vraiment le blâmer pour nous avoir offert ce qu’il voulait et non ce que moi, en tant que spectateur, j’attendais ? Certes non... Mais cela ne m’interdit pas de dire que ça ne me plait pas et que j’estime qu’en fin de compte la série est passé à côté de son sujet et du potentiel qu’il offrait. Alors certes, une fresque historique est toujours un peu prisonnière de la réalité des faits. Henri VIII a eu six femmes : c’est un fait, difficile de le zapper. Mais pourquoi finalement ne s’être attardé que sur cela ? D’une part les Tudor, ce n’est pas qu’Henri VIII... C’est aussi Bloody Mary et la grande Elisabeth. C’est surtout une période de troubles et de mutations d’ordre religieux, social, politique et culturel. Tout ça est certes abordé, il est vrai, mais pourquoi passer cette dernière saison à nous gonfler pendant des heures avec les amourettes entre Henri « beau-gosse (?) » VIII et Catherine Howard alors qu’on s’était déjà bouffé auparavant la même plâtrée avec Anne Boleyn et Jane Seymour pendant des dizaines d’épisodes durant ? Une fois ça va ; deux fois c’est déjà un peu rude, mais trois fois c’est clairement trop. Pourquoi s’étendre là-dessus alors que la campagne de France – élément politique majeur – est expédiée et même pas expliquée ? Pourquoi conclure sur un Henri VIII subitement vieillissant (et dans la cour duquel il n’y a subitement plus aucun jeune) qui se contente juste de se lamenter devant les fantômes de ses femmes passées au lieu de conclure la saison sur le conflit de succession entre Bloody Mary et le camp Seymour ? Pourquoi ne pas aller jusqu’au règne d’Elisabeth ?!! Mais quel gâchis d’avoir relégué ces deux personnages à deux simples midinettes en quête d’amour paternel et conjugal ! Au départ ça ne me dérangeait pas car je pensais que la série allait logiquement faire basculer ces deux personnages clefs vers ce qu’elles sont vraiment devenues... Mais non... Cette dernière saison m’a planté un véritable pieu dans le cœur. J’avais beau le sentir venir lors de la saison précédente, la réalité ne fut que la plus froide des désillusions. Réduire les Tudor à ça... Ne pas savoir donner de l’ampleur à un matériau de base pourtant aussi riche et intrigant... C’est pire que du gâchis, c’est une trahison. Rah la gueule de bois...
L’ennui avec « Les Tudors », c’est qu’on n’éprouve pas de sympathie pour les personnages principaux. Ce n’est pas la faute des acteurs, qui font le job. Mais je n’ai eu aucune empathie pour Henri VIII, qui m’a laissé un sentiment d’égoïsme cruel et sans repentir. Malgré les scènes qui essaient de souligner son côté humain, il ressemble au Barbe-Bleue qui a pu inspirer le conte de Perrault, comme certains le disent. Peu à peu, je me suis mise à espérer que quelqu’un le zigouille enfin... Idem pour Anne Boleyn : j’aurais pu m’attrister de sa condamnation injuste, eh bien même pas. J’ai presque pensé : bien fait pour elle, elle n’a pas eu de compassion pour Catherine alors c’est son tour. Pas mieux pour Cromwell, ni pour les ducs de Suffolk ou de Somerset, etc. Les personnages attachants ne durent pas longtemps… En bref, un bel emballage, avec un fruit que j’ai trouvé amer dedans.
Eric C.
Cela demarre lentement le temps que tous les personnages et le contexte se mettent en place. Petit a petit on est emporte dans ce temps historique et le jeu des alliances et combinaisons de cette epoque a l'echelle de l'Europe. L'interaction de la religion et surtout des guerres de clerges est bien mise en valeur. Il est certain que la serie saison 1 redouble d'interet avec l'arrivee progressive puis omnipresente de l'envoutante Natalie Dormer. La narration autour de la tragedie veritable que fut la suette, notre Ebola de l'epoque, est elle aussi passionnante. Serie historique remarquable, filmee avec de gros moyens, avec un casting impeccable et surtout une modernite des series actuelles comme Rome ou Games of Thrones. Machinations, violence, realisme, sexe, ... On est dans la realite des enjeux de cette epoque avec classe, talent et beaute des images, des decors et des costumes tout en incorporant les petites histoires dans la grande Histoire.
Je pense avant tout à la chance que donne Michael Hirst, de réconcilier certains d'entre nous qui étaient fâchés avec l'Histoire.... au lycée. Le récit qu'il fait de la vie et du règne de l'un des monarques les plus sulfureux de l'Histoire, est tout simplement éblouissant. Si le physique avantageux de Jonathan Rhys Meyers se glissant dans la peau d'Henry VIII est pour beaucoup dans l'intérêt qu'on porte à la série, (car il est très éloigné de celui de feu Henry VIII, beaucoup moins sexy et athlétique et autrement plus enveloppé) les réalisateurs des saisons successives parviennent néanmoins à rester fidèles à l'Histoire en nous dépeignant une fresque majeure de l'Histoire de l'Europe au XVIème siècle, avec, entre autres,l'avènement de l'Eglise Anglicane. La distribution des rôles est parfaite, chaque personnage portant sa propre igure historique avec talent et conviction, jusqu'à nous faire plonger totalement dans cette peinture à la fois sombre, sulfureuse, abominablement cruelle, teintée ça et de là d'érotisme, sa Majesté étant extrêmement "porté sur la chose", nous montrant les intrigues et complots qui se tramaient de toutes parts, dépeignant le caractère incroyablement versatile, influençable et cruel du roi Henry VIII et la servilité de sa cour..Tout y est. (Je déplore cependant le début de la saison 4 qui est par trop léger et vide d'intérêt, particulièrement en raison du jeu excessivement pénible de Tamzin Merchant,incarnant Katherine Howard,) J'ai autrement apprécié le jeu de Natalie Domer, incarnant Anne Boleyn; la 2ème épouse du roi qui l'aimât à la folie et la fit pourtant décapiter, porté par la haine et berné par ceux qui voulaient la perte de cette reine,miroir de son roi, passionnée, extrêmement intelligente et cultivée, arriviste et cruelle). Il y a souvent des lueurs à la fois de folie et de tristesse dans les yeux de Jonathan Rhys Meyers. Il est parier qu'on devait trouver les mêmes chez Henry VIII.Cette série n'est à manquer sous aucun prétexte.
lhomme-grenouille
J’avoue que j’avais quelques craintes pour cette saison 2 : la crainte de voir la série sombrer dans une sorte de romance princière, reléguant au second plan les enjeux de société. Ma crainte fut dissipée par les premiers épisodes qui savent clairement explorer ce qui fait le sel de cette série : le rapport entre équilibre politique et pulsion d’un monarque. Seulement, encore une fois, le choix du beau-gosse Jonathan Rhys-Meyers apporte une touche un peu trop mièvre à ce très bel édifice, ce qui me laisse toujours un petit arrière-goût de « et si seulement ils avaient… » Malgré tout, je dois bien reconnaitre que le final de cette saison a su dissiper mes réserves tant le regard porté sur Anne Boleyn est très pertinent et surtout fort touchant. Là, pour l’occasion, émotion et raison ont su parfaitement se combiner dans un seul élan. C’est de bon augure pour la suite. Du moins je l’espère…
lhomme-grenouille
S’arrimant sur une période de l’Histoire peu traitée et pourtant passionnante, ces « Tudor » me séduisaient déjà pour leur seule démarche. Encore fallait-il tenir la dragée haute à toutes ces séries américaines qui nous ont tant habituées à l’excellence. Eh bien, pour moi, ce fut le cas. Bien écrite, bien réalisée, bien interprétée… peu de choses à redire pour une série historique qui remplit son cahier des charges sans fausse note. Reste malgré tout la petite réserve… Jonathan Rhys-Meyers. J’adore cet acteur – vraiment ! – et il se débrouille très bien dans le rôle d’Henri VIII… Mais pourquoi lui ? Henri VIII était justement un gros porc qui n’avait que le pouvoir pour satisfaire ses passions et pour combler ses frustrations. Le rendre ténébreusement beau, c’est édulcorer tous les enjeux de cour de l’époque. C’est certes se faciliter la vie aussi. Le grand public aurait-il pris le temps de s’intéresser à un Henri VIII au premier abord repoussant ? La réponse des producteurs de ces « Tudor » a le mérite d’être sans équivoque, même si je pense que ne n’est pas la plus judicieuse. Dommage donc qu’un choix de prudence vienne quelque peu rendre plus mielleux l’ensemble car, sinon, mis à part cela, on touchait presque le sans faute.
Le règne houleux d'Henry VIII prend fin dans cette quatrième et dernière saison. Michael Hirst, qui a écrit tous les épisodes de la série, sait concentrer le temps et l'ellipser suivant ses besoins scénaristiques mais s'en sort toujours habilement et nous dépeint un personnage complexe. Jonathan Rhys-Meyers est particulièrement en forme dans cette saison, nous offrant un roi qui vieillit et qui se fait un peu plus mature. Le début de la saison semble un peu tourner en rond (encore une reine qui va se faire décapiter !) mais la suite est beaucoup plus intéressante, abordant des thèmes comme la peur du temps qui passe et montrant certains personnages tenter d'anticiper la succession du royaume. Henry Cavill est tout aussi convaincant que Rhys-Meyers et les deux hommes imposent une véritable présence à l'écran qui est complétée par la jeune et fougueuse Tamzin Merchant et la sage Joely Richardson. Malgré ses défauts de vraisemblance parfois et d'écriture rarement, "Les Tudors" finit de manière royale, imposant la série historique comme un genre à part avec ses superbes costumes et décors.
Grandiose. Cette Série Historique est une fabuleuse réussite en nous racontant la vie Tumultueuse et Mouvementer du roi Henry 8. Avec des Décors vraiment Pharaoniques ainsi que des somptueux costumes en collant au point a l'époque. Ensuite la série est rempli d'une multitude de personnages remarquables mener par l'acteur Jonathan Rhys-Meyers qui incarne a merveille le Roi Henry VIII ainsi que le talentueux comédien Henry Cavill qui livre une très bonne performance dans la peau du meilleur ami du roi,ajouter a cela que le reste de la distribution est parfaite avec une mention spéciale pour la ravissante Natalie Dormer qui campe la vénéneuse Anne Boleyn. Toutefois,la série est réserve a un public averti en raison de nombreuses scènes de sexes très explicites ainsi que quelques séquences lors de la mort brutal de quelques personnages lors de moments assez forts que réserve les 4 la Bande Son est envoûtante avec la formidable musique du générique au service d'intrigue captivantes en respectant assez l'histoire ou se mêle avec brio Passion,Complot,Religion,Amour et Trahison avec un final très émouvant et a la hauteur de la série. En Résumer,Les Tudors est une série a la fois Épique,Dense,Fascinant et Sensuel a travers ces 4 saisons majestueux et qui passionnera beaucoup les fans d'Histoires ainsi que les non-initiés.
Eric C.
Exceptionnelle deuxieme saison, la meilleure de toutes. Grand spectacle, grande fresque historique, filmee magistralement avec des moyens impressionnants dignes des plus beaux films d'epoque. Les acteurs sont fantastiques. Helas la mort de Anne Boleyn en fin de saison, nous privera de la somptueuse, sensuelle, talentueuse Natalie Dormer ce qui affadira un peu la suite de la serie. Sur le plan de l'intrigue et du scenario, c'est aussi la partie la plus interessante avec la rupture consommee d'Henri VIII avec Rome et la naissance de l'eglise anglicanne due a une simple passion pour Anne Boleyn qui deviendra reine d'Angleterre contre l'avis de tous. Une serie haut de gamme et une 2eme saison 5 etoiles.
orlandolove
Critique saison 1... Les bases sont solides et laissent présager de belles choses. Cependant la série déçoit peu à peu, la faute à un scénario montrant de plus en plus de faiblesse. Autant dire que malgré le jeu flamboyant de Rhys Meyers, le show tourne un peu en rond. On retrouve davantage de rythme pour les deux épisodes, histoire de conclure cette saison 1 de belle manière.
En dépit d'un démarrage un rien hésitant et d'un background qui n'a jamais attiré mon regard, cette première saison a su me maintenir concerné par ce jeu d'alliances personnelles autant que politiques, de la versatilité des rois et des humeurs, teinté d'arrogance, de désirs et parfois étonnement d'attachements envers sa majesté le Roi ...
Personnages éminement appréciables pour la plupart (citons la grande classe digne et fière de Catherine d'Aragon dans cette tragédie ou le jeu brillant de Sam Neil dans un rôle marqué par le déclin, et la lucidité), le manichéisme de base est évité au profit de l'échiquier politique raconté avec sobriété et classe, le tout accompagné de tractations à grande échelle en fond, malheureusement parfois un rien éclipsée au profit de certaines longueurs ...
Cohérente et intéressante, cette première saison donne indéniablement envie de voir de quoi sera fait la suite, à l'image d'une partie d'échec loin d'être terminée ...
Personnages éminement appréciables pour la plupart (citons la grande classe digne et fière de Catherine d'Aragon dans cette tragédie ou le jeu brillant de Sam Neil dans un rôle marqué par le déclin, et la lucidité), le manichéisme de base est évité au profit de l'échiquier politique raconté avec sobriété et classe, le tout accompagné de tractations à grande échelle en fond, malheureusement parfois un rien éclipsée au profit de certaines longueurs ...
Cohérente et intéressante, cette première saison donne indéniablement envie de voir de quoi sera fait la suite, à l'image d'une partie d'échec loin d'être terminée ...