"Hello Tomorrow" peut sembler séduisante dans son curieux mélange en termes d'images, mais c'est plus frustrant et conventionnel qu'il n'y paraît. Jack a beau parler de rêves, il n'est pas Don Draper.
Ce n'est pas parce que l'héroïne est comme un poisson hors de l'eau, qu'elle peut se donner de l'importance en sortant des éléments de langage politiques à la mode. C’est paresseux. Et avoir un Oscar (ou deux) ne signifie pas que vous pouvez vous en tirer sans essayer de faire mieux.
Sans Harrison Ford, Shrinking aurait peut-être été insupportable, mais avec lui, je m'étonne à revisiter joyeusement les épisodes juste pour profiter de l'étincelle de l'acteur. Peut-être que je suis le seul à souffrir d'épuisement en ce qui concerne les personnages sensibles caricaturaux qu'incarnent Jason Segel.
The Last Of Us est meilleure que toutes les adaptations de jeux vidéo qui me viennent à l'esprit (désolé "Resident Evil"), et c'est une aventure zombiesque de haut niveau, souvent terrifiante (désolé encore "Resident Evil"). Mais reléguer The Last of Us à n'importe quel genre prédéterminé, à n'importe quelle case prédéfinie ou à n'importe quelle période de temps fixe, c'est ne pas rendre justice aux thèmes lourds et authentiques qui sont débattus tout du long.
Votre esprit est susceptible de vagabonder ailleurs – peut-être vers une émission spéciale de National Geographic sur les vrais koalas – puisque toutes les particularités poussives de Koala Man ne forment jamais un ensemble convaincant. C'est juste un autre imitateur, caché derrière un masque étrange.
The Watcher est une série de Ryan Murphy classique, c'est-à-dire qu'à chaque bonne idée, comme le rôle de Jennifer Coolidge, il y a un élément qui va vous faire lever les yeux au ciel et soupirer d'exaspération.
"1899", comme "Dark", tire certainement sa force de ses propres révélations. Que la rétention d'informations clés soit ou non quelque chose qui fonctionne en faveur de "1899", il existe au moins une structure méthodique à la folie du navire hanté. À bien des égards, il est utile d'être aussi à la dérive et désemparé que les personnages qui jouent l'histoire devant vous.
Station Eleven est probablement la dernière chose que vous voulez regarder en ce moment. Mais à l'aube de la troisième année de la pandémie, la façon dont cette histoire particulière recadre la façon de voir la fin du monde peut également s'avérer essentielle.
Cette série permet de nous évader et d'oublier la réalités déprimante, les politiciens corrompus, les institutions racistes financées par les contribuables, le manque général de courage - notamment venant des lus puissants. Surtout lorsqu'il s'agit de remettre en question le statu quo
"Wedding Season" est une combinaison de deux séries s'entrecroisent. Il y a suffisamment d'alchimichie entre Katie et Stefan pour que la moitié de la série fonctionne, mais la seconde rentre dans la surenchère scandaleuse.
Pour sa première saison, Resident Evil est un méli-mélo d'ambitions, susceptible de satisfaire très peu de fans de la franchise (qu'ils soient friands de jeux vidéo, de films ou des deux).
Même avec une dynamique classique de partenaires policiers et le cœur tendre de Big Jim, Black Bird doit une grande partie de son succès à son duo central. Egerton façonne son personnage d'ancienne star de football du lycée de manière à ce qu'il soit vraisemblablement charismatique, sans pour autant dépasser le cadre du mec normal.
La série ne se contente pas de raconter les détails juteux de l’histoire des Tudor, mais cherche au contraire à dresser un portrait de l’échiquier politique de l’époque. Imaginez Succession, mais avec des arcelets.
Alimentée par la colère plus que par les idées, [Super Pumped] ne semble pas conçue pour offrir une vision nouvelle de l'avidité et du pouvoir au 21e siècle. (...) Kalanick prend la majeure partie de l'oxygène, ce qui place la série d'anthologie de Showtime dans une boîte bien trop familière.
Après cette première heure, vous retenez peut-être vos larmes. Mais après sept autres, vos yeux sont vitreux, et même ces étoiles lumineuses ne peuvent pas vous ramener sur Terre.
Nous avons déjà vu Schumer en proie à une crise de la quarantaine précoce, mais jamais avec une une sincérité si brute. L'arrêt du développement de Beth, ainsi que ses déviations comiques, sont enracinés dans un traumatisme adolescent que même la série sous-estime.